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L'arbre assassiné
Oh Aimé, te souviens-tu
De cet arbre aux branches déployées vers le ciel
Au sommet de la côte qui conduit au bourg
Oh Aimé, te souviens-tu
Qu’un jour, le feu de l’acier, la rage des machines ;
L’a abattu, terrasser par la mécanique
Oh Aimé, te souviens-tu
Entre les herbes et le trottoir,
La route sans accueil, mutilée
Le temps reprend ses dons.
Oh Aimé, te souviens-tu
A l’instant de la mort
L’arbre se souvient-il
De nos amitiés câlines à son égard.
Oh Aimé, te souviens-tu
Je pleure sans rien dire
Mémoires des Hommes
Assassins des vivants.
De cet arbre aux branches déployées vers le ciel
Au sommet de la côte qui conduit au bourg
Oh Aimé, te souviens-tu
Qu’un jour, le feu de l’acier, la rage des machines ;
L’a abattu, terrasser par la mécanique
Oh Aimé, te souviens-tu
Entre les herbes et le trottoir,
La route sans accueil, mutilée
Le temps reprend ses dons.
Oh Aimé, te souviens-tu
A l’instant de la mort
L’arbre se souvient-il
De nos amitiés câlines à son égard.
Oh Aimé, te souviens-tu
Je pleure sans rien dire
Mémoires des Hommes
Assassins des vivants.
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