lundi 31 août 2020

Discours de Robert Kennedy Jr. du samedi 29 août 2020 à Berlin...


Discours de Robert Kennedy Jr. du samedi 29 août 2020 à Berlin

 

Merci à tous [applaudissements]. De retour chez moi aux États-Unis, les journaux disent que je suis venu ici aujourd’hui pour parler à cinq mille nazis. Mais demain, ils vont raconter que, oui, j’étais ici et j’ai parlé à trois mille cinq cents nazis. Et je regarde cette foule et je vois le contraire du nazisme. Je vois des gens qui aiment la démocratie, des personnes qui veulent un gouvernement ouvert. Les gens veulent des dirigeants qui ne vont pas leur mentir. Les dirigeants n’inventeront pas de règles et de règlements arbitraires pour orchestrer l’obéissance de la population. Nous voulons des officiels de la santé qui n’ont pas de liens financiers avec l’industrie pharmaceutique et qui travaillent pour nous, pas pour Big Pharma. Nous voulons des représentants qui se soucient de la santé de nos enfants et non des profits pharmaceutiques ou du contrôle gouvernemental. Je regarde cette foule, je vois tous les drapeaux de l’Europe, je vois des gens de toutes les couleurs, je vois des gens de toutes les nations, de toutes les religions, tous soucieux de la dignité humaine, de la santé des enfants et de la liberté politique. C’est le contraire du nazisme.

 Les gouvernements aiment les pandémies, et ils aiment les pandémies pour les mêmes raisons qu’ils aiment la guerre. Parce qu’elle leur donne la possibilité d’imposer à la population des contrôles que celle-ci n’accepterait jamais autrement… Ils ont créé des institutions et des organismes pour orchestrer et imposer l’obéissance. Je vais vous dire une chose : c’est un mystère pour moi. Et toutes ces hautes personnalités comme Bill Gates, Anthony Fauci, ont planifié et réfléchi à cette pandémie depuis des décennies, la planifier de manière à ce que nous soyons tous en sécurité lorsque la pandémie arrivera enfin et pourtant, maintenant qu’elle est là, ils ne semblent pas savoir de quoi ils parlent. Ils semblent inventer au fur et à mesure, ils intègrent des chiffres qu’ils n’ont pas, ils ne peuvent tout simplement pas vous dire quel est le taux de mortalité du covid-19. Ils ne peuvent pas nous donner un test PCR qui fonctionne réellement. Ils doivent constamment modifier la définition du covid sur le certificat de décès pour qu’il ait l’air de plus en plus dangereux. La seule chose pour laquelle ils sont doués, c’est pour alimenter la peur.

 Il y soixante-quinze ans, Hermann Göring a témoigné au procès de Nuremberg et on lui a demandé : « Comment vous avez fait pour que les Allemands acceptent tous cela ? » et il a dit : « C’est une chose facile, ça n’a rien à voir avec le nazisme. Cela a à voir avec la nature humaine. Vous pouvez le faire dans un régime nazi, dans un régime socialiste, dans un régime communiste, vous pouvez le faire dans une monarchie et une démocratie, la seule chose dont un gouvernement a besoin pour transformer les gens en esclaves, c’est la peur. Et si vous pouvez trouver quelque chose pour les effrayer, vous pouvez leur faire faire tout ce que vous voulez. ».

 Il y a soixante ans, mon oncle John Kennedy est venu dans cette ville. Il est venu à Berlin parce que Berlin était la ligne de front contre le totalitarisme mondial. Et aujourd’hui encore, Berlin est en première ligne contre le totalitarisme mondial. Mon oncle est venu ici et il a dit fièrement au peuple allemand « Ich bin ein Berliner » [Je suis un Berlinois]. Et aujourd’hui tous ceux d’entre nous qui sont présents ici peuvent fièrement dire une fois de plus Ich bin ein Berliner. Et vous êtes aux avant-postes de la lutte contre le totalitarisme. Et j’ajoute une chose, ils n’ont pas fait un très bon travail en matière de protection de la santé publique,  mais ils ont fait un très bon travail en utilisant la quarantaine pour introduire la 5G dans toutes nos communautés. Et pour nous transférer tous, pour commencer le processus de transfert vers une monnaie numérique qui est le début de l’esclavage. Parce qu’ils contrôlent votre compte bancaire, ils contrôlent votre comportement. Et nous voyons tous ces publicités à la télévision disant que la 5G arrive dans votre communauté. Ce sera une grande chose pour vous tous, cela va changer vos vies, cela va rendre toutes vos vies tellement meilleures. Et c’est très convaincant, je dois dire, parce que je regarde ces annonces et je pense que c’est génial, j’ai hâte que ça arrive. Et puis, parce que je vais pouvoir télécharger un jeu vidéo en six secondes au lieu de seize secondes. Et c’est pourquoi ils dépensent cinq billions de dollars sur la 5G ?

 Non ! la raison est la surveillance et la collecte de données. Ce n’est pas pour vous et moi. C’est pour Bill Gates, pour Zuckerberg et pour Jeff Bezos et tous les autres millionnaires. Et Bill Gates a dit que sa flotte de satellites pourra observer chaque centimètre carré de la planète 24 heures sur 24. Ce n’est que le début, il sera également en mesure de vous suivre sur tous vos appareils intelligents grâce à la reconnaissance faciale biométrique, via votre GPS. Vous pensez qu’Alexa travaille pour vous ; elle ne travaille pas pour vous ; elle travaille pour Bill Gates qui vous espionne. Et La pandémie est une crise de convenance pour les élites qui dictent ces politiques. Elle leur donne la possibilité d’anéantir la classe moyenne pour détruire les institutions de la démocratie, de transférer toutes nos richesses à une poignée de milliardaires pour s’enrichir en appauvrissant le reste d’entre nous. Et la seule chose entre eux et nos enfants, c’est cette foule qui est venue à Berlin… Et nous leur disons aujourd’hui : vous n’allez pas prendre notre liberté, vous n’allez pas empoisonner nos enfants, nous allons exiger le retour de notre démocratie !... Merci beaucoup à tous de vous battre !... Thank you !...

L’attitude...

 Urabe Kenkô écrit au quatorzième siècle dans "Les heures oisives" : « Toutes les erreurs viennent d'une attitude de spécialiste et de grand connaisseur, non sans orgueil et mépris à l'égard des autres ». Une bonne description de l’attitude des dirigeants des gouvernements et des experts responsables de la crise actuelle ; le coronavirus est innocent…

Une société sans visage ?

 Poésie du moment

Une société sans visage

Est-ce vraiment sage ?

Une société sans sourire

Est en train de la pourrir

Chaque regard devient méfiance

La population perd confiance


Avec le masque

Chacun devient menace

Faisons-nous encore société

Quand les autorités alimentent l’anxiété

Une communauté d’anonyme

À la face sans aucune mine

Est-ce vraiment sage

Une société sans visage ?

mercredi 26 août 2020

Mobilisations citoyennes...

 Deux tracts de Catherine Courson pour les mobilisations citoyennes :

Face à la tyrannie, la désobéissance civique devient véritablement un devoir !...

 Le suspect est mal barré !

 

Newsletter de Néosanté du mercredi 26 août 2020 www.neosante.eu/le-suspect-est-mal-barre-2/ :

 

Ça y est, tout le monde a compris maintenant ? Tout le monde a capté que le COVID est le nom donné cette année à la grippe saisonnière, elle-même n’étant qu’un label affublant l’ensemble des syndromes grippaux hivernaux ? Tout le monde a saisi que le cru 2019-2020 de cette affection respiratoire annuelle était exceptionnellement clémente envers les enfants, un tantinet sévère pour les adultes stressés sujets à l’hyperventilation et relativement meurtrière pour les vieillards en fin de vie ? L’adverbe « relativement » s’impose, car la plupart des vieux ne sont pas morts de la virose : ils ont succombé à la terreur répandue par les autorités, à leurs comorbidités préexistantes, à leur séquestration et à leur immobilisation forcée, au report de soins urgents, au recours massif à l’intubation et à l’interdiction de traitements plus légers. Bref, à la panique et à l’hystérie collective répandues par les experts, les politiques et leurs larbins médiatiques. Ce gâchis humain aurait pu être évité, comme l’a clamé le Pr Christian Perronne et comme vient encore de le démontrer un article scientifique publié par le chercheur canadien Denis Rancourt. Ce rapport technique indique que les mesures gouvernementales mises en place pour juguler l’épidémie ont provoqué plus de 30 000 décès rien qu’en France ! Preuve parmi d’autres, les 34 états américains qui n’ont pas appliqué le confinement strict n’ont pas connu le « pic Covid » du printemps. Selon les auteurs de l’article, « le mécanisme médical expliquant ce pic passe principalement par le stress psychologique et l’isolement social des personnes vulnérables au niveau de leur santé. »

 

 

Interférences fatales

 

Mais n’y a-t-il pas un facteur particulier qui aurait aggravé cette vulnérabilité ? Dans notre infolettre du 25 mars intitulée « On tient un suspect », nous avons émis l’hypothèse que les tragédies survenues en Espagne et en Italie n’étaient pas sans rapport avec les campagnes de vaccinations contre la méningite et les pneumocoques déployées l’année dernière à Madrid et en Lombardie. Nous nous basions également sur une étude de la revue Vaccine montrant que les militaires américains vaccinés contre la grippe étaient 36% plus à risque de développer une infection à coronavirus l’année suivante. Les vaccins pourraient donc attiser, voire générer de nouvelles épidémies ? Ce n’est pas seulement une possibilité, c’est une réalité bien documentée que nous avons expliquée dans la revue Néosanté du mois de mai. En interférant avec les bactéries et virus évoluant dans l’environnement ou déjà présents dans le corps humain, les souches vaccinales peuvent en effet susciter ce que les spécialistes appellent des « remplacements » épidémiques. Par réaction à l’introduction artificielle d’agents infectieux, l’écosystème microbien en produit de plus agressifs et de moins reconnaissables par le système immunitaire. Ce phénomène bien connu a été souligné par la généticienne Alexandra Henrion-Caude dans une vidéo qui a fait le tour de la toile il y a quelques semaines. Lancée aux trousses du suspect, notre journaliste Pryska Ducoeurjoly n’a pas chômé durant l’été et a trouvé d’autres indices accréditant le rôle délétère des vaccins. Dans son article à paraître très bientôt dans le Néosanté de septembre, elle évoque plusieurs travaux scientifiques troublants, notamment une étude randomisée et contrôlée montrant que le vaccin antigrippal multiplie par cinq le risque d’infections respiratoires sévères chez l’enfant, infections étrangères à Influenza mais impliquant d’autres virus, y compris ceux de la famille Corona. Pour son enquête, notre collaboratrice a interrogé le Dr Michel de Lorgeril, qui s’apprête justement à sortir un livre dédié aux vaccins antigrippaux. Lui aussi désigne notre suspect et évoque une « toxicité sociétale » résultant des interférences virales. Pryska a aussi découvert que la Grande-Bretagne et l’Italie, pays qui ont payé un lourd tribut à l’épidémie, ont expérimenté un nouveau vaccin cultivé pour la première fois sur des cellules rénales de chien. Simple coïncidence, comme le fait que les pays vaccinant le plus contre la grippe ont été les plus touchés par le Covid ? Si la corrélation ne suffit pas à affirmer un lien de causalité , elle autorise certainement à se poser des questions !

 

 

Quand les anticorps facilitent la mort

 

Notre suspicion est d’autant plus légitime que la vaccination consiste à stimuler la production d’anticorps. Or si on les sollicite intempestivement ou à contretemps, ces agents de l’immunité peuvent faciliter une deuxième infection et la rendre redoutable. Dans son article de septembre, Pryska Ducoeurjoly décrit également ce phénomène découvert dans la maladie de la dengue. En résumé, une première infection à un virus peut déclencher une réaction immunitaire normale, mais une seconde infection peut entrainer une tempête immunitaire appelée orage de cytokines, maintes fois observé chez les patients covidés. Dans le jargon des immunologistes, le « péché antigénique originel » désigne cette propension de l’immunité à cibler un antigène précis, celui lié à l’infection première, tandis que les « anticorps facilitateurs » ( antibody-dependent enhancement, ADE en anglais) sont responsables de l’emballement cytokinique. De tels anticorps, qualifiés aussi de « non neutralisants », ont été identifiés pour la grippe, le sida, ebola…et le SRAS. Il est permis de penser qu’un tel processus a pu être à l’œuvre lors des pics épidémiques affectant particulièrement les populations âgées résidant en maison de retraite, c’est-à-dire surmédicalisées et multi-vaccinées. Vous voulez en savoir plus sur ces anticorps facilitant la mort ? Par l’entremise de la virologue Emma Khan, l’AIMSIB (Association Internationale pour une Médecine Scientifique Indépendante et Bienveillante ») vient précisément de publier un article sur ce thème. Pour son auteure, la physiopathologie du Covid-19 doit faire songer à une responsabilité des ADE dans son évolution péjorative. Il a déjà été démontré in vitro que la fameuse protéine pointue du virus à couronne était capable de provoquer leur apparition. Notre principal suspect, le vaccin antigrippal, est décidément bien mal barré !

 

 

Appel à témoignages

 

Mais comment démontrer sa culpabilité ou sa complicité dans l’hécatombe ayant frappé les ainés ? À notre connaissance, aucune étude n’a été entreprise pour tenter d’établir un lien éventuel. L’idéologie vaccinaliste domine tellement la science médicale qu’aucun chercheur n’a encore pensé à investiguer dans cette direction. À l’inverse, une étude brésilienne également citée par Pryska Ducoeurjoly tendrait à montrer que le vaccin contre la grippe aurait légèrement protégé les victimes du Covid. Au Brésil, cette vaccination préalable aurait diminué la nécessité d’hospitaliser en soins intensifs et offert un tout petit bénéfice en terme de mortalité. Nonobstant ses lacunes méthodologiques qui permettent de mettre en doute ses conclusions, cette recherche a au moins un mérite : elle soutient le concept d’interférence virale entre virus influenza et virus corona. Entre ces deux types de particules, les interactions et les échanges protéiques sont manifestement la règle. Il est assez incohérent de présumer un effet positif du vaccin grippal et d’évacuer son implication possible dans le désastre coronaviral. En l’absence d’une telle vérification, il y a cependant des éléments qui alimentent le soupçon : les témoignages provenant du personnel soignant. Ces derniers mois, j’ai reçu plusieurs messages de gens me disant que leur médecin s’étant confié à eux avait constaté une mortalité anormalement élevée parmi la patientèle vaccinée. Certains généralistes auraient même acquis la conviction que le Covid-19 a frappé exclusivement les vieilles personnes ayant reçu le vaccin en 2019. Mais comme ils ne peuvent pas le prouver et que cela engagerait leur responsabilité, ils n’osent pas en parler. Je comprends cette réserve, mais l’enjeu ne mérite-t-il pas de lancer l’alerte ? J’aimerais que les langues se délient et que les médecins me contactent directement pour épaissir le dossier à charge du suspect. Dimanche dernier, lors d’une petite manifestation anti-masques à Bruxelles, une infirmière indépendante a pris la parole pour expliquer qu’aucun de ses patients très âgés (90 ans en moyenne) visités à domicile n’avait eu le Covid, alors qu’elle-même avait été diagnostiquée. Après son intervention, elle m’a certifié que toutes ses consoeurs itinérantes étaient dans la même situation : aucun malade et aucun mort à déplorer parmi leurs clients retraités dans leur propre maison. Pour cette blouse blanche en colère, la clé de l’énigme pourrait être la rareté de la vaccination antigrippale dans cette catégorie de seniors. Elle-même décommande fortement l’injection annuelle et refuse de la faire pour en avoir trop souvent observé les effets secondaires. À défaut d’enquêtes épidémiologiques initiées par des autorités sanitaires (trop occupées à préparer…une nouvelle campagne vaccinale automnale), c’est ce genre de récits qui pourraient faire bouger les lignes et prévenir une nouvelle catastrophe. Pour m’envoyer vos témoignages (anonymat garanti), utilisez l’adresse info@neosante.eu. Merci d’avance aux courageux soignants qui oseront briser le tabou !

 

Yves Rasir

 

 

P.S. : Allemagne, USA, Canada, Espagne, Belgique… les peuples se réveillent enfin et les manifestations se multiplient contre les mesures liberticides et le traquenard vaccinal tendu par les gouvernements. Notre collaboratrice Catherine Courson a rédigé deux textes qui peuvent constituer autant de tracts à distribuer lors de ces mobilisations citoyennes. Vous les trouverez en cliquant ici, en français et en anglais. Face à la tyrannie, la désobéissance civique devient véritablement un devoir !

dimanche 23 août 2020

Le port obligatoire du masque pour les enfants, c’est de la maltraitance !...

 www.francesoir.fr/opinions-tribunes/le-port-du-masques-pour-les-enfants-cest-de-la-maltraitance

Le port obligatoire du masque pour les enfants, c’est de la maltraitance !

 Publié le 21/08/2020 à 17:15 - Mise à jour à 18:52
Le port obligatoire du masque pour les enfants est de la maltraitance !
Pixabay
PARTAGER :
  • Auteur(s): Dr G. Delépine, chirurgien oncologue et Dr N. Delépine pédiatre cancérologue


    TRIBUNE : Au secours, ils s’en prennent encore à nos enfants !

    Veut-on vraiment casser nos enfants tant que le plan scolaire que psychique ?  L’incroyable prise de position exposée à nouveau dans Libération(1)  nous a fait bondir, voire désespérer. Qu’est-ce que ce pays qui sacrifierait ses enfants au nom d’intérêts financiers et de querelles politiques et certainement pas médicales ?  Nous pouvons admettre qu’en mars, les autorités craignaient que les petits transmettent le covid comme la grippe, mais cinq mois plus tard, l’ignorance n’est plus acceptable, ni des politiques, ni des médecins, surtout lorsqu’ils s’adressent au public. Les enfants ne sont pas à risque (les enfants ou adolescents de moins de 15 ans représentent moins de 1% des personnes contaminées(2)  et moins de 0,01% des morts(3) ) et ils ne transmettent pas le virus ni aux autres enfants, ni aux adultes.(4) 

    Alors pourquoi cette rechute de folie par rapport à l’école ? Faire peur à tout prix pour imposer in fine un vaccin qui n’existe pas, mais fait déjà gagner des milliards en Bourse sans hésiter à sacrifier les petits et les jeunes dont le risque de covid grave est extrêmement faible ?
     

    S’il est traité à temps, le Covid19 est curable

    L’énorme majorité des médecins du monde ont expérimenté la chloroquine ou d’autres antipaludéens contre le Covid19, l’utilisent, affirment son efficacité et le publient. Alors pourquoi entrainer des généralistes, longtemps sincères et efficaces, dans un combat qui n’est pas le leur ? Et l’épidémie est finie (une épidémie se caractérise par des malades qui nécessitent des soins, des lits, ce n’est plus le cas depuis plus de 2mois). Si par hasard elle revenait, traitons les malades avec le traitement Raoult et il n’y aura pas de morts ou seulement les ainés qui seraient morts de la grippe une autre année. Stoppons enfin la farce tragique comme le réclament des milliers de médecins à travers le monde.
     

    Oui Mr le Ministre, la rentrée doit être complètement normale ! Résistez, vous y gagnerez en crédibilité.

    Une vingtaine de médecins menée par Karine Lacombe, (Mme Gilead et remdesivir) ose appeler le ministre de l’éducation nationale à renoncer à la rentrée quasi normale qu’il avait prévue. Les enfants, selon ces vingt médecins dont aucun pédiatre (sauf un radiologue pédiatre ce qui est différent), ni aucun pédopsychiatre, ni psychologue (ils ont préféré un vétérinaire et un légiste) n’hésitent pas à pousser le gouvernement à entrer à nouveau dans ce cercle infernal de la privation de scolarité normale et à conseiller des mesures aussi aberrantes pour un enfant que le port du masque et l’enseignement à distance.

    Pourtant s’ils avaient pris le temps de lire les témoignages des psychiatres et psychologues, mais aussi de tous ceux qui s’occupent d’enfants, adolescents et jeunes adultes, y compris les familles, ils auraient pu approcher la gravité des séquelles de ces cinq mois d’hystérie collective et de mesures délirantes prises sans évaluation préalable de leur gravité à court moyen et long terme. N’en rajoutons pas.
     

    Sacrifier nos enfants pour une mesure d’intérêt non démontré

    Nos ministres de la santé ont interdit la prescription de chloroquine par les médecins en prétextant qu’il n’existait pas d’études randomisées de la chloroquine contre le Covid19. Mais pour les masques pas de problème : le gouvernement a affirmé pendant deux mois qu’ils étaient inutiles (sans études le démontrant). Maintenant il prétend qu’ils sont indispensables (sans plus d’études randomisées) et il nous oblige à vivre masqués. Tous les médias reprennent en chœur « Sans masque pas de salut. Les cas augmentent. Vous serez confinés de nouveau si vous n’êtes pas obéissants ». Et les croisés du masque veulent maltraiter les enfants par une mesure sans aucune justification scientifique.  
     

    Rien ne prouve que les masques soient utiles contre une épidémie de Covid19

    Libération publie une tribune orchestrée par la désormais célèbre K Lacombe(5) ,l’apôtre du remdesivir, le dr Jérôme Marty, président de l’UFML, qui en son temps s’était bien battu contre la loi de santé Touraine Véran et pour la liberté et l’indépendance des médecins (que vient-il faire dans cette galère ?), et les créateurs du collectif Stop-Postillons, réclamant partout et toujours le port du masque en exhibant de « nombreuses études » qui démontreraient que le masque pourrait prévenir la transmission du covid19.  Oubliant au passage que le covid19 est curable si on accepte de le traiter, comme plus des trois quarts des médecins au monde.
     

    Pourquoi ce déni et cette obsession du masque qui ne fait que « cacher ce traitement efficace que je ne saurais voir » ?

    Des articles non convaincants éloignés de la pratique clinique

    Nous avons personnellement relu tous les articles qu’ils citent à l’appui de leur obsession et aucun d’entre eux n’a étudié l’effet du masque sur la transmission du Covid19 dans la vraie vie.

    L’article de Yu I.T date de 2004, bien avant le covid19 qu’il n’a donc pas pu étudier. Celui de Dyani Lewis parle de « preuve » mais n’en apporte aucune et se contente de formuler des hypothèses sur des éléments biologiques et non médicaux. Celui de Lidia Morawska relate des expériences de laboratoire qui ignorent le contact du virus avec l’homme. Celui de John A. Lednicky étudie l’air de la chambre d’un patient hospitalisé et détecte des traces de virus, ce qui ne prouve en rien que ces résidus puissent être contaminants, ni qu’un masque pourrait servir de protection. Celui de Jayaweera conclue que : « la transmission nosocomiale par des aérosols chargés de virus SARS-CoV-2 en suspension dans les établissements de santé peut être plausible». Il émet une hypothèse au conditionnel et en précisant qu’il ne la formule que pour des espaces médicaux (pas pour les entreprises ou les écoles).

    Et c’est sur ces pseudo-preuves qu’ils veulent nous bâillonner partout et toujours, pour une maladie en voie disparition en Europe(6) ! Que leur arrivent-ils ? Tout au moins à ceux que l’on a connu valeureux soldats sincères contre la prise de pouvoir par l’état de la santé par l’article 1 de la loi santé, comme les membres de l’UFML ? La fréquentation des plateaux télé est-elle si toxique qu’elle fait perdre le bon sens aux meilleurs défenseurs de la liberté et de l’indépendance médicale ?
     

    L’épidémie est terminée en France.

    « Les cas augmentent » répètent ils en boucle, mais les cas ne sont que des tests positifs ; ce ne sont pas des malades, mais seulement des témoins de rencontre avec le coronavirus ou un de ses cousins germains.  Le célèbre Dr Fauci lui-même parle de 50 % de sujets immunisés, ce qui au passage rendrait le vaccin et son hypothétique existence inutile. Cet aveu vient-elle du fait que les russes lui auraient piquer la politesse pour le fameux vaccin? 

    D’après santé Publique France , il n’y a eu le 15/8 pour l’ensemble des 100 départements français que 71 nouveaux hospitalisés, dont 11 en réanimation et 4 décès attribués au Covid19, alors que nous disposons de 395 000 lits d’hospitalisation (estimation 2018), 7 000 lits de réanimation et enregistrons environ 1400 à 1700 décès quotidiens dont 500 cancéreux oubliés des amoureux du Covid. L’amour efface le reste, c’est connu. Même pas une goutte d’eau, même pas une gouttelette, alors qu’ils nous annoncent un tsunami de malades, plusieurs fois par jour. Quel raisonnement peut-il mener des médecins autrefois attentifs à vouloir imposer une mesure inutile, sans raison objective ?

    Il faut se réjouir que les cas augmentent sans malades, car ces cas renforcent l’immunité de groupe tant désirée par les apôtres de la vaccination ; et c’est très heureux que ces nouveaux cas concernent les jeunes, car ceux -ci ne risquent presque rien(7)  , et ils constitueront la barrière qui protégera les gens âgés des infections futures, si elles voulaient revenir dans notre pays.
     

    Les auteurs de la tribune de Libération pointent l’incohérence des autres sans voir la leur (la paille et la poutre)

    Imposer le port du masque à l’extérieur est effectivement incohérent avec le caractère très peu probable de la contagion en milieu ouvert (elle non plus n’a jamais été démontrée). Mais ce qui est encore plus incohérent, est de réclamer des masques quand la maladie a disparu alors qu’ils ne les réclamaient pas(8) et encore moins l’obligation d’en porter, quand leur utilité éventuelle pouvait se discuter (en février et mars).

    Il est très incohérent et extrêmement grave de réclamer des masques pour les enfants, car ils ne contaminent pas les autres.

    C’est totalement illogique de réclamer des masques pour les enfants en classe alors que, contrairement aux épidémies de grippe, l’école ne constitue aucunement un lieu de propagation du Covid19 (9). 

    Sur les plus de 3700 articles ayant pour sujet l’enfant et le Covid répertoriés par Pubmed le 17/8/2020 et les 70 spécifiquement dédiés à la transmission éventuelle par les enfants, aucun n’apporte la preuve d’une transmission d’un enfant à un autre enfant ou à un adulte dans le monde réel (10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22).

    Ces articles confirment tous, sans exception, que le Covid 19 est rare et presque toujours bénin chez l’enfant, que les enfants de moins de 19 ans ne sont pas contaminés par les camarades d’école, mais habituellement par les parents à domicile, qu’ils ne contaminent pas les adultes et que le confinement des enfants et l’arrêt des activités scolaires sont responsables de troubles psychologiques comportementaux(23)  et sociaux fréquents, en plus d’une incidence évidente sur leur scolarité. 

    L’agence statistique norvégienne a ainsi évalué les dommages permanents causés aux élèves par les fermetures d’écoles : « chaque semaine d’enseignement en classe refusée aux élèves freine les chances de réussir sa vie et réduit de façon permanente le potentiel futur des revenus ».

    Sur les plus de 21 294 845 cas répertoriés par l’OMS(24) le 17/8/2020, aucune observation publiée n’a démontré formellement qu’un enfant pouvait contaminer un autre enfant ou un adulte. Si une telle transmission ne peut théoriquement être exclue, elle serait rarissime.

    Plus de 20 études épidémiologiques dans plus de dix pays ont recherché opiniâtrement des contaminations à partir d’enfants de moins de 18 ans : aucune n’a pu mettre en évidence un seul exemple réellement probant. 

    La première étude française réalisée(25), l’étude de Santé Publique France est très démonstrative. L’enfant infecté des Contamines a été en contact, alors qu'il était malade, avec 172 personnes dont 112 élèves et professeurs dans trois écoles et un ski-club.  Il n'a contaminé personne, même pas les deux autres enfants de sa fratrie.

    Dans l’étude de l’institut Pasteur sur les écoles primaires de Crépy en Valois, les scientifiques ont étudié 1340 personnes, dont 139 infectées (81 adultes et 58 enfants). Parmi 510 élèves de six écoles primaires Ils ont identifié trois enfants de trois établissements différents qui étaient infectés au moment où les écoles étaient encore ouvertes. Or, ces trois enfants n’ont contaminé personne à l’école, qu’il s’agisse d’autres élèves ou d’adultes.

    L’étude Coville, du groupe Activ (Association clinique et thérapeutique infantile du Val-de-Marne) dirigé par le professeur Robert Cohen, vice-président de la Société française de pédiatrie, a porté sur 600 enfants, de la naissance à l’âge de 15 ans permet de conclure que : « sans histoire de Covid parental, l’enfant n’a rien. »

    Et Benjamin Lee et William V. Raszka confirment dans la grande revue pédiatrique américaine(26) : transmission du COVID-19 et enfants : l'enfant n'est pas à blâmer.

    Aux Pays-Bas, les enfants âgés de 0 à 17 ans ne représentent que 1,3% de tous les patients déclarés avec COVID-19, bien qu'ils représentent 20,7% de la population. Seulement 0,6% des hospitalisations signalées concernaient des enfants de moins de 18 ans. Il n'y a pas de rapport d'enfants décédés du COVID-19. Une étude des ménages aux Pays-Bas a rapporté des données sur 116 enfants de 1 à 16 ans et les résultats préliminaires ont montré que rien n'indique que les enfants de moins de 12 ans aient été les premiers infectés de la famille(27).  

    En Irlande(28) , aucun cas de contamination scolaire n'a été détecté après analyse de 125 à 475 contacts de 3 cas détectés chez des élèves de 10 à 15 ans avant la fermeture des écoles le 12 mars 2020. 1 cas était asymptomatique.

    En Australie, 9 élèves et 9 membres du personnel infectés par le SRAS-CoV-2 dans 15 écoles ont eu des contacts étroits avec un total de 735 élèves et 128 membres du personnel(29) . Seules 2 infections secondaires ont été identifiées, aucune chez le personnel adulte. 1 élève du primaire a été potentiellement infecté par un membre du personnel. 

    En Suisse(30)  : sur un total de 4310 patients atteints du SRAS-CoV-2, 40 étaient âgés de moins de 16 ans (0,9%). Parmi les 111 contacts familiaux positifs des enfants étudiés, les mères prédominaient (n = 39), suivies des pères (n = 32), des frères et sœurs pédiatriques (n = 23), des frères et sœurs adultes (n = 8) et des grands-parents (n = 7). 

    En Suède, de nombreuses écoles sont restées ouvertes pendant la pandémie, représentant une occasion unique d'évaluer l'impact la poursuite des activités scolaires sur l'incidence et la gravité de la maladie en pédiatrie(31) . L'incidence cumulée des hospitalisations avec diagnostic de COVID-19 chez les enfants scolarisés était de 9 pour 100 000 enfants, versus 230/100 000 hospitalisés et à 99/100 000 décès dus au COVID-19 parmi la population adulte de Stockholm (n ≈ 1,84 million) au cours de la même période.

    Cela montre que la poursuite des activités scolaires n'a pas aggravé l’évolution de la pandémie pour les enfants en Suède, par rapport aux pays ayant des mesures de verrouillage strictes.

    Les avocats du masque citent les foyers d’infections constatés dans des écoles israéliennes et dans une colonie de vacances américaine, mais ne précisent jamais que dans tous ces cas la contamination des enfants a été secondaire à la présence d’accompagnants adultes malades. Si le masque peut se discuter à l’école, c’est uniquement pour les adultes malades, mais il serait certainement plus simple et plus efficace d’isoler 2 semaines ces adultes malades. En effet de nombreux professeurs expliquent à quel point le port du masque perturbe la qualité relationnelle avec l’enseigné.

    Oserons-nous emprunter ce cri sorti du cœur d’une enseignante de mathématiques de terminale, qui fait écho au désespoir du professeur de philosophie René Chiche qui explique sur tweeter son refus et surtout son impossibilité d’enseigner la philosophie avec un masque ? 

    « Je suis révoltée par l'ingérence d'une majorité du corps médical qui résiste décidément mal à l'ivresse du pouvoir en proclamant  : "Il est urgent de rendre obligatoire le port du masque dans tous les espaces clos, dans tous les bu-reaux, dans toutes les salles de classe et amphithéâtres et aussi d'encoura-ger sans ambiguïté le télétravail, les cours à distance etc...

    Cette décision ne fait pas partie des compétences d'un médecin. Ce que l'on attendait de vous, c'est que vous respectiez votre cœur de métier : le soin qui passe par l'écoute, étape fondamentale d'une prise en charge indivi-dualisée, et par un traitement dès l'apparition des symptômes, fût-il perfec-tible. Face aux propositions thérapeutiques de vos confrères, vous n'avez eu qu'un regard de mépris, trop souvent condescendant, manifestant un agace-ment que vous n'avez même pas eu la pudeur de dissimuler ... sous un masque par exemple car on vous rappelle qu'un plateau de télévision est un espace clos. »  et encore : 

    «  Il ne faut pas se tromper  : l'enseignement à distance, l'école numé-rique n'est pas et ne sera jamais la solution. C'est une régression, pas un progrès. Il ne faudrait pas que cette crise d'une covid soit le prétexte d'une expérience grandeur nature pour modifier de manière définitive les conditions de l'enseignement en France. Un apprentissage digne de ce nom, c'est un échange, ce sont des questions, des confrontations, des doutes qui s'expriment sur des visages, dans des regards. Enseigner, c'est tenter de rendre libres en développant l'esprit critique, ce dont on a grand besoin en ce moment. Bien sûr qu'il est temps que les lycées notamment, grands sacri-fiés de la crise, rouvrent leurs portes comme il est urgent que la vie reprenne ses droits » 
     

    Les mesures de distanciation sociale et les masques sont totalement inutiles pour les enfants de zéro à 19 ans 

    et nuisent au bon fonctionnement de l’école tellement indispensable au bien-être des petits et à l’avenir de la société. Ne cédons pas à l’hystérie-panique. Laissons-les profiter pleinement de la rentrée scolaire.

    Ne sous-estimons pas les graves troubles psychologiques liés au port du masque, à l’impossibilité d’échanges non verbaux avec l’interlocuteur qui porte lui aussi un masque. Cette position de médecins est complètement à l’opposé de celle des pédiatres qui s’étaient exprimés rapidement pour rassurer les familles en mai, afin que l’ouverture des classes se fasse sans distanciation sociale entre les enfants et évidemment sans masques. 

    Pourquoi ce discours qui verse dans la dépression collective et menace fortement les enfants et adolescents engagés par cette psychose collective instrumentalisée par les politiques ?

    Chacun sait aujourd’hui que l’épidémie est terminée, que le virus, s’il circule a muté et ne menace guère que de gros rhumes, que si cette fameuse vague revenait contre toute attente, un traitement efficace existe peu coûteux même si son existence contrarie les multinationales.

    Ne sacrifions pas nos enfants à cette pandémie terminée et aux appétits financiers qui manipulent nos médias. 
     

    Le port du masque chez un enfant peut être assimilé à une maltraitance et nous supplions nos collègues sincères d’ouvrir les yeux et de lire dans leur totalité les articles cités, et de retirer cette fake news d’autant plus nuisible qu’elle est publié dans un journal qui influence encore trop de gens honnêtes, via son passé et son magnifique nom de « libération ». 

    Mais libérons-nous à nouveau. Retrouvons notre indépendance.

     

    (2) Selon le bulletin épidémiologique de Santé Publique France du 6 août
    (5) Célèbre pour ses infractions répétées à la loi française qui oblige tout médecin qui prend la parole en public à déclarer ses liens d’intérêts avec les entreprises du médicament.  Résistance laïque a indiqué qu’elle aurait touché 212 209 €, dont 28 412 € de Gilead. https://resistancerepublicaine.com/2020/06/26/france-soir-balance-le-top... . D’après des sources américaines, elle a de plus été advisor/consultant/speaker board member pour Abbvie, BMS, Gilead, Janssen, and Merck. Indépendance quand tu nous tiens…
    (6) « Les cas augmentent » répètent ils en boucle mais les cas ne sont que des tests positifs et non pas des malades ! et il faut se réjouir que les cas augmentent sans malades car ces cas constitueront la barrière aux infections futures si elles veulent revenir
    (7) Shu Yang Early estimation of the case fatality rate of COVID-19 in mainland China: a data-driven analysis Annals of Translational Medicine, Vol 8, No 4 February 2020 Page 5 of 6
    (8) L’UFML réclamait (à juste titre) des masques pour les soignants mais pas pour la population dans son ensemble
    (10) Weiyong Liu .et al: Detection of Covid-19 in Children in Early January 2020 in Wuhan, China N Engl J Med. 2020 2 Avril; 382 (14): 1370-1371
    (11) Liu Y, Yan L-M, Wan L, et al. Viral dynamics in mild and severe cases of COVID-19. Lancet Infect Dis. 2020. https://doi.org/10.1016/ S1473 -3099(20)30232 -2
    (12) Hong H, Wang Y, Chung H-T, Chen C-J, Clinical characteristics of novel coronavirus disease 2019 (COVID-19) in newborns, infants and children, Pediatrics and Neonatology, https://doi.org/10.1016/j.pedneo.2020.03.001.
    (13) Wu Z, McGoogan JM. Characteristics of and important lessons from the coronavirus disease 2019 (COVID-19) outbreak in China: summary of a report of 72 314 cases from the Chinese Center for Disease Control and Prevention. JAMA 2020; published online Feb 24. DOI:10.1001/jama.2020.2648
    (14) Jonas F Ludvigsson macroanalysis of Covid 19 in children. Acta Paediatr. 2020 23 mars.
    (15) Peter Brodin Why is COVID-19 so mild in children? Editorial Acta Paediatrica 24 March 2020
    (16) Ji Young Park First Pediatric Case of Coronavirus Disease 2019 in Korea J Korean Med Sci. 2020 Mar 23;35(11)
    (17) LiangSua the different clinical characteristics of corona virus disease cases between children and their families in China – the character of children with COVID-19 Emerging Microbes & Infections 2020, VOL. 9
    (18) Qinxue Shen Novel Coronavirus Infection in Children Outside of Wuhan, China Pediatr Pulmonol. 2020 Apr 7. doi: 10.1002/ppul.24762. Online ahead of print
    (19) Ya-Nan Han et al A Comparative-Descriptive Analysis of Clinical Characteristics in 2019-Coronavirus-infected Children and Adults Pediatrics April 2020
    (20) Haiyan Qiu Clinical and epidemiological features of 36 children with coronavirus disease 2019 (COVID-19) in Zhejiang, China: an observational cohort study Lancet Infect Dis. 2020 25 mars; S1473-3099 (20) 30198-5.
    (21) Zhonghua Er Ke Za Zhi pour la Société de pédiatrie et Association médicale chinoise : Recommandations pour le diagnostic, la prévention et le contrôle de la nouvelle infection à coronavirus 2019 chez les enfants (première édition intermédiaire). 2020; 58: 169–74.]., Chinese Journal of Pediatrics
    (22) Wen Yan Jiao et al Behavioral and Emotional Disorders in Children during the COVID-19 Epidemic THE JOURNAL OF PEDIATRICS 2020 www.jpeds.com
    (23) Guanghai Wang, Yunting Zhang, Jin Zhao, Jun Zhang, *Fan Jiang fanjiang@shsmu.edu.cn Mitigate the effects of home confinement on children during the COVID-19 outbreak Published Online March 3, 2020 https://doi.org/10.1016/ S0140-6736(20)30547-X
    (24) OMS  Coronavirus disease (COVID-19) Situation Report – 209
    (25) Kostas DANIS et al pour Santé Publique France Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020 Clinical Infectious Diseases Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America.
    (26) Et Benjamin Lee et William V. Raszka Covid19 transmission children are not to blame Pediatrics août 2020, 146 (2) e2020004879; DOI: https://doi.org/10.1542/peds.2020-004879
    (27) National Institute for Public Health and the Environment. Ministry of health, welfare and sport. Netherlands. Children and COVID-19. Available: https://www.rivm.nl/en/novel-coronavirus-covid-19/ children-and-covid-19
    (28) Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020;25:2000903.
    (29) Centre national de recherche et de surveillance de la vaccination. COVID-19 dans les écoles - L'expérience en NSW . Nouvelle-Galles du Sud, Australie : Centre national de recherche et de surveillance sur l'immunisation ; 2020Google Scholar
    (30) Posfay-Barbe KM, Wagner N, Gauthey M, et al. COVID-19 in Children and the Dynamics of Infection in Families. Pediatrics. 2020;146(2):  https://pediatrics.aappublications.org/content/146/2/e20201576
    (31) Hildenwall H, Luthander J, Rhedin S, et al. Paediatric COVID-19 admissions in a region with open
    schools during the two first months of the pandemic. Acta Paediatr. 2020;00:1–3. https://doi.org/10.1111/apa.15432

    Professeur Laurent TOUBIANA, Directeur Général de l'IRSAN, épidémiologiste et chercheur à l'INSERM...


    IRSAN : Institut de Recherche pour la valorisation des données de santé

    INSERM : Institut national de la santé et de la recherche médicale


    vendredi 21 août 2020

    SoftDan...

     

    Ces chiffres que l’on nous cache...

    Ces chiffres que l’on nous cache...


    Informations du mercredi 19 août 2020

    www.neosante.eu/ces-chiffres-que-lon-nous-cache/

     

    Pour créer et entretenir la panique, les autorités sanitaires et leurs relais médiatiques nous ont bombardés de chiffres. Beaucoup a déjà été dit sur leur exagération ou leur présentation tronquée. Mais qui s’indigne que des informations chiffrées pourtant essentielles manquent à l’appel ? Une autre façon de manipuler, c’est de dissimuler des données importantes, soit en les rendant invisibles soit en les mettant bien à l’abri des regards. Cette semaine, je vous propose une petite liste de choses qui vous ont été cachées ou tellement peu médiatisées qu’elles sont passées inaperçues. En Belgique comme en France, certaines de ces infos continuent à être occultées alors que leur dévoilement permettrait une lecture très différente des événements et une désescalade de la terreur. Sur plusieurs sujets, l’État pratique carrément une politique de l’omerta. De là à penser qu’il y a volonté de camoufler la vérité et de nous apeurer jusqu’à l’arrivée automnale du messie vaccinal, il y a un pas que je vous laisse franchir… ou pas.


    1) La vraie surmortalité globale

    Comme le rappelait encore François Jortay dans l’interview décoiffante que je vous offrais hier gracieusement, la seule et unique façon de mesurer la gravité d’une épidémie, c’est d’établir la surmortalité toutes causes confondues avec suffisamment de recul. Mais encore faut-il ne pas fausser le calcul ! En Belgique, le journal Le Soir (l’équivalent du Monde, en pire encore) s’est livré à une telle falsification : il a affirmé qu’il y avait eu chez nous 37% de morts en plus par rapport aux années précédentes. Or, ce bilan funèbre a été établi en ne retenant que les semaines du pic épidémique, de la mi-mars à la mi-mai. C’est un peu comme évaluer la pollution automobile d’une ville en ne prenant les mesures que dans les rues les plus embouteillées et durant les heures de pointe. Dans une émission radio, la RTBF a été encore plus malhonnête : elle a prétendu qu’il y avait un excès de décès de 25% depuis le début de l’année. Notre journaliste Hughes Belin a vérifié et remis les pendules à l’heure : en comparaison avec la moyenne des onze dernières années, la surmortalité 2020 est seulement de 11%. Et par rapport à 2015, année de grippe sévère, elle n’est plus que de 6 % ! Vu l’effondrement de la létalité du covid depuis la mi-printemps, il est probable que ce pourcentage va encore diminuer et que nous terminerons cette année « terriblement meurtrière » avec des statistiques ne s’écartant guère de la normale. Et dire que le monde entier nous perçoit comme un cimetière à ciel ouvert !


    2) Les décès dus aux mesures

    Quand bien même la grande faucheuse n’aurait pas chômé, il importe de savoir avec quoi elle a fauché. On sait qu’il ne faut pas se fier aux chiffres officiels, l’étiquette « covid-19 » ayant été collée sur tous les décédés, ou presque. En ce mois d’août, ce sont les morts de chaud qui sont abusivement catalogués victimes du coronavirus, comme l’a reconnu avant-hier un infectiologue belge estimant que « la canicule faussait tout ». Lors du remplissage printanier de la coque vide, les faussaires ont évidemment comptabilisé tous les trépas survenus dans les maisons de retraite par « syndrome du glissement » ou par abandon des soins. Pas sûr que cette opération de camouflage pourra être démontrée et que les responsables du génocide pourront être traduits, comme ils le méritent, devant la Cour Pénale Internationale. En revanche, on pourrait se pencher sur les certificats de décès. Malgré leur fréquente falsification, il se pourrait bien qu’ils révèlent les immenses dégâts du confinement et des autres mesures adoptées par les gouvernements. Ce travail d’enquête a été fait par des chercheurs américains qui ont examiné la mortalité de janvier à avril dans cinquante États US et qui l’ont comparée avec celle des cinq années précédentes. Publiée le 1er juillet dans le prestigieux journal médical JAMA, leur étude révèle que le « pic covid » a coïncidé avec un grand nombre de décès excédentaires sans mention de troubles respiratoires et causés par les pathologies non infectieuses habituelles (maladies cardiaques, diabète, maladies cérébro-vasculaires ou maladie d’Alzheimer). Par exemple, New York City a enregistré 398% de surmortalité par maladie du cœur et 356% par diabète ! À moins de croire aux coïncidences temporelles surnaturelles, ça signifie clairement que la réponse à la pandémie a bien plus tué que la pandémie elle-même. Aux États-Unis mais pas ici ? On demande à voir !


    3) La mortalité par hôpital

    Dans sa vidéo d’hier, l’infectiologue Didier Raoult a exhibé les tableaux montrant les énormes différences de mortalité selon les régions, les départements et les préfectures. Ces statistiques affinées mettent en lumière que l’Île-de-france a été le théâtre d’une authentique tragédie, avec 40% de morts en plus. Mais pourquoi ne pas aller plus loin et examiner ce qui s’est passé dans chaque établissement hospitalier ? Pourquoi refuse-t-on de montrer les chiffres hôpital par hôpital ? Officiellement, c’est pour ne pas permettre une comparaison malsaine alors que les écarts de performances pourraient s’expliquer par des facteurs confondants, étrangers à la prise en charge des patients. Mais c’est une excuse, ça ! Avec une bonne méthodologie, de bons chercheurs peuvent facilement évacuer les biais de confusion. En juin, j’ai demandé à un journaliste d’appeler tous les hôpitaux belges et de réclamer leur bilan épidémique. Aucun n’a accepté de nous ouvrir ses livres ! Suite à quelques indiscrétions, nous avons néanmoins appris que deux grands hôpitaux universitaires, prétendument submergés par le tsunami de mars-avril, n’avaient déploré respectivement que 67 et 50 morts en 70 jours de crise. Où sont les 4 000 autres « covidécédés » en hôpital ? Quels sont les centres de soin où l’hécatombe a eu lieu, si elle a bien eu lieu ? Et comment s’est-elle produite ? Remballé de partout, notre journaliste a toutefois appris que dans une clinique bruxelloise, 88% des malades placés sous respirateur artificiel avaient succombé alors que le taux d’échec de cette technique est généralement évalué à 50%. Comment expliquer cet affolant désastre thérapeutique ? Il y aurait sûrement plein de choses à découvrir et de leçons à retenir si les autorités sanitaires jouaient le jeu de la transparence. Mais la glasnost, visiblement, on ne sait plus ce que c’est sous nos longitudes.


    4) La grippe saisonnière

    Où est passée la 7ème Compagnie ? Au sein de l’équipe de Néosanté, c’est ainsi que nous avons pris l’habitude de surnommer la grippe saisonnière. Comme nous vous l’avons déjà dit, celle-ci a étrangement disparu des statistiques 2020, tant en France qu’en Belgique. Cette disparition s’explique pourtant aisément : l’incidence de la grippe annuelle est en effet mesurée par le nombre de consultations pour ce motif et par les tests effectués pour dépister la présence d’Influenza. Or à partir de début mars, il n’y en avait plus que pour le coronavirus, comme si les deux particules avaient échangé leurs matricules. Les toubibs n’ont plus rapporté que des covid et les instances sanitaires n’ont plus testé que ça. Évaporées dans la nature, la grippe « classique » et ses 60 000 victimes par an sur le sol européen ! Contactée par nos soins, Santé Publique France a répondu qu’elle ne disposait pas de données finales sur la grippe saisonnière cette année. Le compteur reste bloqué aux cent victimes comptabilisées au 1er avril. Idem en Belgique où l’institut Sciensano nous a fait savoir qu’il n’avait pas de chiffres à communiquer sur les affections grippales. La 7ème compagnie est bel et bien perdue et il n’est franchement pas sûr qu’elle réapparaîtra au clair de lune. À l’heure qui court, aucune étude n’a été menée pour définir la proportion de coronavirus et de virus grippaux dans l’épidémie 2019-2020 ! Dans ma lettre du 10 juin, j’ai écrit que le covid-19 était bien UNE grippe banale à tous points de vue. Mais je me demande de plus en plus si cette maladie n’est pas tout simplement LA grippe rebaptisée pour les besoins de l’hystérie collective.


    5) Les tests aberrants

    Dans sa vidéo d’hier, Didier Raoult fait une révélation fracassante : à l’Institut hospitalo-universitaire de Marseille, 21% des « cas confirmés » ailleurs et qui ont été retestés étaient négatifs ! Pour l’infectiologue phocéen, ce pourcentage ahurissant de faux positifs vient du fait que la méthode PCR exige une procédure parfaite et « une grande qualité d’interprétation ». Oui, vous avez bien lu : cet outil de diagnostic soi-disant fiable et indiscutable repose sur la compétence et l’expérience du laborantin qui examine les résultats. À vrai dire, vous n’aurez rien appris si vous avez lu le dossier paru dans la revue Néosanté de juin : feu David Crowe y expliquait que le test PCR n’est pas binaire et qu’il laisse place à une bonne dose d’arbitraire. Dans la bouche du Panoramix marseillais, voilà donc la choquante confirmation que le testing par « Polymerase Chain reaction » repose sur la subjectivité humaine et non sur des données objectives. Il serait hautement intéressant que d’autres hôpitaux s’y mettent et qu’ils retestent les patients préalablement diagnostiqués. Et qu’ils retestent encore sans attendre, car il y a de nombreux récits attestant que le verdict peut varier d’un jour à l’autre et d’un labo à l’autre. Récemment, un ami architecte m’a raconté qu’un ouvrier portugais croisé sur un chantier s’est fait tester trois fois dans un court laps de temps : deux fois "négatif " et une fois "positif" ! Parmi les « cas confirmés » dont on fait actuellement grand cas, il y a plein de gens qui sont multitestés à intervalles rapprochés (sportifs professionnels, personnel soignant, employés d’entreprises zélées…) et qui sont reconnus positifs après un ou plusieurs test(s) revenu(s) négatif(s) peu de temps auparavant. Sont-ils rangés dans les deux colonnes ou seulement dans celle des malades potentiels ? N’est-ce pas ainsi qu’on bidouille le fameux ratio nombre de cas/nombre de tests ? En tout état de cause, on ne peut plus se (et nous) voiler la face : la fausse positivité est un phénomène largement sous-estimé !


    6) L’effet du climat

    Arguant de la situation au Brésil ou en Floride, l’Organisation Mondiale de la Santé réfute la saisonnalité du covid et l’impact des températures sur son évolution. Mais il leur faut quoi, à ces négationnistes climatosceptiques ? En date du 25 mai, l’Académie française de Médecine a publié une enquête effectuée en zone tempérée (France et Italie) et en zone africaine intertropicale, ainsi que dans les DOM/TOM. Il en ressort indubitablement que le facteur chaleur est prépondérant : une augmentation de un degré de température induit une diminution de 3,1% des nouveaux cas et de 1,2% des décès. La corrélation est encore plus éclatante quand on contemple les chiffres africains : début août, ce continent comptabilisait 24 282 morts alors qu’il compte 1 milliard 216 millions d’habitants. Par exemple, le Sénégal dénombrait 9 681 cas confirmés et seulement 63 victimes. Chez nous, la virose saisonnière s’est volatilisée avec l’arrivée du printemps et ses quelques rebonds microscopiques localisés ont correspondu avec des chutes éphémères du mercure. Nous vivons globalement un très bel été et on voit bien que les circonstances atmosphériques favorables vont de pair avec un effondrement des hospitalisations et des décès. Un seul à l’IHU de Marseille depuis le 1er juin ! Pire que leur dissimulation, le refus d’admettre les chiffres existants et éloquents ne peut que susciter l’incompréhension.


    7) Le rôle improuvé de la densité

    Parmi les dogmes qu’on nous assène depuis des mois, il y a celui selon lequel la propagation du virus dépend étroitement de la densité de la population. C’est ainsi que nos doctes experts expliquent en bonne partie l’infortune de la Belgique, pays très peuplé et donc très touché par la pandémie. C’est aussi sur cette base que les médias dominants pointent un doigt réprobateur vers la Suède, vaste pays qui a fait nettement moins bien que ses voisins nordiques pourtant plus denses en êtres humains. Nonobstant le fait que les Pays-Bas ont eu deux fois moins de morts que la Belgique malgré un confinement beaucoup plus léger et une densité équivalente, qu’est-ce qui prouve que le coronavirus a plus sévi dans les régions densément peuplées ? Une preuve du contraire a été apportée par une étude américaine publiée le 18 juin dernier. Pour leur analyse, les chercheurs ont examiné les taux d’infection et les taux de décès par covid-19 dans 913 comtés des États-Unis. Après avoir pris en compte d’autres facteurs tels que la race ou l’éducation, les auteurs ont constaté que la densité des comtés n’était pas associée au degré de contamination. Plus étonnant encore, ils ont constaté que les comtés les plus denses avaient des taux de mortalité plus faibles, peut-être en raison de meilleurs systèmes de soins de santé. Pensez-vous que ce travail scientifique intéresse les virocrates et leurs perroquets à plume ou à micro ? Que nenni : imperturbablement, il nous bassinent que le nombre d’habitants au km² conditionne grandement la transmission du virus et la gravité de l’épidémie. S’ils gardent le dogme avec une telle vigilance, c’est parce qu’il leur faut justifier l’interdiction des rassemblements, la distanciation sociale, les bulles de contacts, et autres inepties inaugurées par le Corona Circus. Sans aucun chiffre pour les avaliser !


    8) Les soignants tués au front

    Last but not least [enfin et surtout], on ne veut toujours pas nous dire exactement combien de membres du personnel de soin (médecins, infirmièr(e)s, aide-soignant(e)s...) ont succombé au terrifiant virus couronné. Depuis ma lettre du 22 avril, on ne sait toujours pas si les blouses blanches ont réellement payé le « lourd tribut » que les médias, les experts et les politiques leur attribuent. En France comme en Belgique, c’est apparemment une information classée « secret défense » puisque les autorités refusent obstinément de la communiquer. Chez nous, c’est Ubu le roi de l’embrouille : l’institut Sciensano soutient qu’il n’a pas collecté le métier des personnes décédées « parce qu’on ne le lui a pas demandé », mais le même organisme a fait savoir que plus de 2 000 soignants avaient dû être hospitalisés durant la crise. Ils savent donc dire combien de pros sont entrés à l’hosto, mais ils ne savent pas dire combien en sont sortis les pieds devant. On se moque de qui ? C’est vraiment du grand foutage de gueule. Cette omerta est d’autant plus troublante que les syndicats médicaux réclament également le nombre de morts sur le front afin d’honorer leur mémoire et leur élever une stèle. Pourquoi ce silence ? J’ai évidemment ma petite idée : les cas rapportés par la presse (huit seulement en Belgique) forment probablement le total du contingent des décédés. Le mythe de l’héroïsme (para)médical est donc menacé et il ne faut pas dévoiler cette anomalie sapant également – et pas qu’un peu ! – les fondements de la religion pasteurienne. Car, si les plus exposés ont été largement épargnés par le covid, c’est tout le mythe infectieux qui a du plomb dans l’aile. C’est tout le château de cartes de la médecine moderne occidentale qui pourrait s’effondrer d’un coup. Comptez sur nous pour ne pas lâcher le morceau et exiger le vrai bilan chiffré de la mortalité parmi les soignants. Les menteurs qui nous gouvernent ne pourront pas le cacher éternellement.

    Yves Rasir

     

    P.S. : Il y a quinze jours, je vous informais que Youtube avait scandaleusement fermé la chaîne publique de Jean-Jacques Crèvecœur. Malheureusement, je vous ai donné un mauvais lien pour déjouer la censure et accéder à sa chaîne privée. Voici le bon : https://formations.emergences.net/iln0002-chaineprivee. Vous pouvez également retrouver notre ancien collaborateur sur une nouvelle plateforme publique garantissant la liberté d’expression : www.fulllifechannel.com.