mardi 21 décembre 2021

Principes essentiels des droits de l'homme...

Une infirmière s'oppose au vaccin covid19...


 

Principes essentiels des droits de l'homme

 Dans une Résolution 2361 (2021) "Vaccins contre la covid-19: considérations éthiques, juridiques et pratiques" adoptée par l’Assemblée le 27 janvier 2021 (5e séance)(1) l’Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe devant la prolongation de la situation sanitaire a préconisé des garanties pour une vaccination contre la COVID-19 qui soit contrôlée, ni obligatoire, ni discriminante.

Article 7.3.1 de s'assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n'est pas obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s'il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement

Article 7.3.2 de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner 

Article 7.3.5 de communiquer, de manière transparente, le contenu des contrats avec les producteurs de vaccins et de les rendre publics pour examen par les parlementaires et le public

Article 7.5.2 d’utiliser les certificats de vaccination uniquement dans le but désigné de surveiller l’efficacité du vaccin, les effets secondaires potentiels et les effets indésirables

 

1) Résolution 2361 (2021) "Vaccins contre la covid-19: considérations éthiques, juridiques et pratiques https://pace.coe.int/fr/files/29004/html

STE 164 – Convention sur les Droits de l'Homme et la biomédecine, 4.IV.1997  - https://www.coe.int/fr/web/bioethics/oviedo-convention ratifiée par la France le 13/12/11, entrée en vigueur en France le 01/04/12 (https://rm.coe.int/inf-2017-7-rev-etat-sign-ratif-reserves/168077dd22)

mercredi 1 décembre 2021

Oscar Wilde...

« Soyez vous-même, tous les autres sont déjà pris. »

Pas de panique : le covid c'est fini...

Pas de panique : le covid c'est fini

Quand les politiciens ne veulent pas abandonner leur pouvoir...


De la joie ! A Toulouse...

 

De la joie !

Voilà sans doute ce qu’a cherché la Cave Po’ la saison dernière, malgré ces 202 jours de fermeture, à travers toutes les propositions qu'elle n’a eu de cesse d’inventer, dans la rue, les vitrines de librairie, de restaurants, de cinéma et autres magasins de musique…

De la joie contre cette tristesse imposée par le pouvoir.

Un virus certes mais des choix politiques qui ne laissent pas d’interroger.

De la joie donc, contre, comme un cri libérateur, une puissance de vie.

La vraie cité propose aux citoyens l’amour de la liberté plutôt que l’espoir des récompenses ou même la sécurité des biens ; car « c’est aux esclaves, non aux hommes libres, qu’on donne des récompenses pour leur bonne conduite ». Baruch Spinoza n’est pas de ceux qui pensent qu’une passion triste soit quelque chose de bon. Avant Nietzsche, Spinoza dénonce toutes les falsifications de la vie, toutes les valeurs au nom desquelles nous déprécions la vie : nous ne vivons pas, nous ne menons qu’un semblant de vie, nous ne songeons qu’à éviter de mourir, et toute notre vie est un culte de la mort.

C’est le philosophe Gilles Deleuze qui écrit ça à propos de Spinoza…

Vous pouvez retrouver sur Internet [webdeleuze.com] les enregistrements de ses cours sur le Prince des philosophes, à la fac de Vincennes dans les années 80… limpide et libérateur.

Alors de la joie, merci au photographe Thibault Lévêque pour cette photo libératrice.

De la joie pour construire cette saison nouvelle, des spectacles qui donnent à penser, à rire, à s’émouvoir, qui donnent surtout la force de continuer.

Jeu – joie – jouir… étymologie commune à n’en pas douter.

Bienvenue au théâtre, dans les théâtres et à la Cave Po’, ici et maintenant…

www.cave-poesie.com

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Créée en 1968 par René Gouzenne et quelques amis amoureux du théâtre et de la poésie, la Cave Poésie a débuté par des créations du TUT (Théâtre Universitaire de Toulouse) et aussi par des actions de création, de formation et de diffusion de spectacles régionaux, la Fédération des œuvres laïques de la Haute-Garonne en était l’organisme de tutelle. La suite sur www.cave-poesie.com/lhistoire/


           Photo libératrice de Thibault Lévêque


















    

vendredi 12 novembre 2021

Edifiant !...

 Réflexions Insignifiantes


1) La population mondiale augmente chaque année :

      - 7,7 milliards en 2019

      - 7,8 milliards en 2020

      - 7,9 milliards en 2021

2) + de 4 milliards d’humains sur la terre qui ne bénéficient ni de vaccination contre le covid19, ni de masque de protection.

3) C’est la première fois dans l’histoire qu’il y a une augmentation de la population mondiale lors d’une « pandémie » !

lundi 2 août 2021

Le passe sanitaire pourrait signer la fin de notre conception de la liberté en Occident...

 

Le passe sanitaire pourrait signer la fin de notre conception de la liberté en Occident

 «Le passe sanitaire pourrait signer la fin de notre conception de la liberté en Occident»

FIGAROVOX/ENTRETIEN - Alors que le passe sanitaire a été validé par le Parlement, le Défenseur des droits et la CNIL alertent contre une remise en question de nos libertés. Si l'avocat Thibault Mercier considère ces mises en garde nécessaires, il estime que c'est de l'outil même dont il faut discuter.

 

Par Aziliz Le Corre

Publié hier à 12:22, mis à jour hier à 17:41

 

Thibault Mercier est avocat au barreau de Paris, essayiste et président du Cercle Droit & Liberté.

 

FIGAROVOX. - Alors que le passe sanitaire a été validé par le Parlement, le Défenseur des droits et la CNIL mettent en garde à propos des «transformations profondes pour l'exercice de droits et libertés qui sont au fondement de notre pacte social et républicain ». Partagez-vous ces inquiétudes ?

Thibault MERCIER. - Il est bon de rappeler que le Défenseur des droits a alerté sur les nombreux risques de dérives de ce passe sanitaire. En revanche, on peut regretter qu'il en valide le principe puisque c'est l'outil même qu'il aurait fallu remettre en question.

En effet, avec ce passe sanitaire généralisé aux actes de la vie quotidienne, nous rentrons dans une société où la liberté devient l'exception et cède sa place à la restriction généralisée, laquelle se voit justifiée par la recherche de sécurité et le principe de précaution. Comme l'écrivait le sociologue allemand Ulrich Beck, cette société du risque zéro «a tendance à générer un totalitarisme légitime de la prévention qui, sous couvert d'empêcher que ne se produise le pire, finit par créer (...), les conditions d'apparition de ce qui est encore pire». Et c'est ce à quoi nous assistons avec la mise en place de ce passe sanitaire. Car sous couvert de protéger le droit à la santé (et quelle santé !), on crée un outil qui fait qu'un citoyen n'est désormais libre de jouir de l'ensemble de ses droits et libertés que s'il est en mesure de produire la preuve de sa bonne santé dans l'espace publique. En outre, par cette révolution copernicienne, l'individu est désormais vu d'abord comme un danger potentiel pour son concitoyen (un “super contaminateur”), ce qui vient créer un sentiment de méfiance généralisée et briser la confiance et les liens d'amitié nécessaires à toute vie en société.

Nous en voyons d'ailleurs déjà les effets délétères sur notre société: le représentant de la Fédération Nationale des Cinémas Français indiquait en ce sens vendredi dernier en audience devant le Conseil d'État que les employés des cinémas se faisaient désormais régulièrement insulter par les clients soit par excès, soit par manque de zèle, dans la vérification du passe sanitaire.

Le gouvernement met en avant que cet outil est acceptable car temporaire (il devrait prendre fin le 15 novembre) et nécessaire au vu de la situation épidémique. L'expérience très récente nous incite pourtant à penser le contraire et il y a fort à parier que cet outil de régulation sociale sera renouvelé aussi régulièrement que l'état d'urgence sanitaire l'a été.

Cet outil de contrôle social pourrait signer la fin de notre conception de la liberté en Occident et constitue de surcroît un dangereux précédent: quelle sera la prochaine étape ?

Qu'en sera-t-il également de la procédure de suspension du contrat de travail pour les récalcitrants au passe sanitaire ? Les sénateurs et députés se sont félicités d'avoir contré le gouvernement qui lui souhaitait introduire la possibilité d'un licenciement dans la loi. Dans les faits on voit néanmoins assez peu de différences pour le salarié qui se verra contraint de quitter son emploi s'il ne peut en récupérer les fruits. Au-delà du droit on a aussi pu remarquer que depuis le 12 juillet et les annonces du Président, de nombreux salariés ont reçu des pressions orales ou écrites (en toute illégalité) leur imposant d'aller se faire vacciner sous peine de licenciement.

Cela renvoie d'ailleurs à un problème plus global depuis le début de cette crise: le gouvernement produit tellement de textes législatifs et réglementaires et de recommandations qu'il devient extrêmement difficile, même pour un juriste aguerri, de savoir ce qui est autorisé ou non. Si même les professionnels s'arrachent les cheveux imaginez alors le casse-tête pour le citoyen...

«Le rebond de l'épidémie peut justifier des mesures exceptionnelles, pour éviter un nouveau confinement, mais l'extension du passe sanitaire doit être paramétrée au plus près », précise la CNIL. Aurait-il fallu organiser un débat démocratique public de fond, comme le préconise d'ailleurs le Défenseur des droits ?

Je rejoins les propos du Défenseur des droits, le gouvernement a, comme d'accoutumée depuis le début de cette crise, quasiment mis le couteau sous la gorge du Parlement en lui présentant ce projet de loi rédigé en urgence et en lui imposant un calendrier intenable. Sans compter la communication culpabilisante et anxiogène de l'Exécutif qui voudrait que les Parlementaires aient du sang sur les mains s'ils ne votaient pas dans le sens voulu. Comment voulez-vous dans ces conditions que nous puissions avoir un débat sain et apaisé sur des questions qui sont pourtant décisives sur l'avenir de notre société ?

On a l'impression que l'Exécutif vient de découvrir cette pandémie alors qu'elle est désormais connue (ampleur, succession de vagues, personnes vulnérables, létalité, etc). Il paraît difficilement acceptable aujourd'hui que le gouvernement mette en avant une situation exceptionnelle pour tordre le droit et se passer de la représentation nationale. Il me semble que le gouvernement s'est un peu trop accoutumé à ce type de gouvernance non démocratique, l'état d'urgence n'a pas été créé juridiquement pour durer aussi longtemps (bientôt 18 mois). La gestion de la crise est désormais une politique publique comme une autre et il serait temps que les parlementaires jouent leur rôle de contre-pouvoir et reprennent les rênes de notre démocratie.

Le Défenseur des droits pointe «des risques considérables d'atteinte aux droits de l'enfant »…

Le Défenseur des droits rappelle en effet que ce passe sanitaire entraînera de nombreuses restrictions dans l'accès aux loisirs, aux activités sportives et à la culture qui sont pourtant primordiaux pour le bon développement de l'enfant. Il me semble plus que légitime d'être interloqué du fait que cette mesure s'applique à eux. C'est en effet la première fois me semble-t-il que l'on fait peser sur des enfants autant de restrictions alors même qu'ils ne sont pas sujets à développer la maladie.

Si l'entrée en vigueur de ce laissez-passer n'interviendra que le 30 septembre pour les plus de 12 ans (pour ne pas les priver d'été ?), notons que dans les faits ce délai a pour objectif de permettre aux parents d'aller vacciner leurs enfants avant que ces derniers soient soumis à cette obligation de laissez-passer.

Le gouvernement semble avoir voulu contourner les difficultés posées par la légalité d'une vaccination obligatoire. Mais si cette vaccination obligatoire est rendue si difficile en droit (notamment par le Code civil ou certaines résolutions du Conseil de L'Europe) c'est évidemment parce que de nombreuses considérations éthiques, morales, religieuses et philosophiques sont venues y poser des limites. Il semble que l'Exécutif n'a pas souhaité que ces questions primordiales soient abordées sereinement et c'est tout à fait regrettable qu'il ait préféré hystériser le débat en opposant ses citoyens.

Au-delà de ces nombreuses barrières il faut aussi s'interroger sur la société que nous allons créer pour les générations futures. En effet, qui a envie de voir son enfant de 12 ans présenter plusieurs fois par jour un laissez-passer numérique pour avoir le droit de mener une vie quasi normale ? Cela pose une question plus globale de l'emprise de la technologie sur nos vies alors même que l'accoutumance aux écrans est déjà grande parmi les enfants et les adolescents.

En quoi ces nouvelles restrictions risquent-elles d'isoler certaines populations ?

En termes d'isolement, notons que c'est déjà l'ensemble de la population qui sera concernée puisque cette nouvelle loi d'extension du passe sanitaire prévoit également la possibilité de placer à l'isolement forcé pendant 10 jours toute personne sur la base d'un simple test positif au Sars-Cov-2. La loi prévoit certes la possibilité de contester cette décision devant le juge des libertés mais en pratique cela ne sera que très peu utilisé. Ce dispositif est donc sans précédent dans notre droit et permettra donc à l'État de placer chaque jour en quarantaine forcée plusieurs dizaines de milliers de Français qui seront alors coupés de leurs concitoyens pour une maladie dont on sait pourtant désormais qu'elle n'a rien à voir avec Ebola… Il y a encore une fois un problème de disproportion dans ces mesures.

Mais le passe sanitaire pourra aussi accroître l'isolement des plus vulnérables d'entre les nôtres, son application aux EPHAD et hôpitaux aura certainement des conséquences supplémentaires pour les malades ou les personnes âgées qui seront peut-être sauvés du Covid mais pas de la solitude.

dimanche 25 juillet 2021

Journée estivale à Annecy où se déroule une manifestation contre le pass sanitaire...


 Nous allons tranquillement en famille au restaurant L’Heure Bio à Annecy où nous déjeunons en terrasse. Francette regarde d’anciennes machines à coudre dans la vitrine du magasin Reinier où une dame s’affaire à la couture sur une veste avec une ancienne machine à pédale. Nous optons pour le menu « Le temps des délices végétariens » avec la formule dessert. La dame qui nous sert nous remercie pour les commentaires élogieux publiés précédemment sur le restaurant. Les oiseaux gazouillent sur la terrasse animée des bavardages de la clientèle. Les nuées se promènent. Les rayons solaires se baignent sur la toile café des parasols. Une brise légère caresse les visages. Le Thiou s’écoule paisiblement. Les délices végétariens exhalent un parfum d’aventure et de poésie pleinement apprécié par les papilles des convives. Le bien-être culinaire côtoie le bien-être estival. Les buissons et les arbustes fleuris alentour, et la végétation luxuriante de la place des Cordeliers participent à l’enchantement du repas. Une des tours carrées du château se profile dans le paysage presque bucolique. La saveur du tiramisu à la framboise est une fête pour les papilles tout comme celle du fondant au chocolat qui donne naissance à des sourires de contentement dans un voyage gourmand. Un thé rooibos, un thé Earl Grey et un café allongé pour Jean termine le repas. Nous quittons le restaurant vers quatorze heures trente et nous allons nous promener dans la vieille ville. Du thé Earl Grey est acheté chez « Les Notes de Thé - Thés et Rooibos Mariage Frères » rue Jean-Jacques Rousseau. Je regarde avec Jean la beauté de l’architecture des balcons de l’immeuble d’angle en face de la terrasse de Mariage. Plus avant dans la rue, une célébration de mariage se termine dans l’ancien conservatoire de musique devenu provisoirement une antenne de la mairie suite à l’incendie de la mairie d’Annecy; les époux partent en minibus rouge et blanc. Toujours dans la rue Rousseau, pendant que Patrick achète à La Procure d'étincelles le livre « Ulysse » de Joyce, je regarde passer un beau jeune homme qui marche avec une jeune fille. Il sent mon regard, se retourne et m’offre un superbe sourire. Je prends en photo dans la vitrine du libraire une citation de La Boétie écrite en 1576 : « Mais ils ne font guère mieux ceux d’aujourd’hui qui, avant de commettre leurs crimes les plus graves, les font toujours précéder de quelques jolis discours sur le bien public et le soulagement des malheureux ! » qui montre que peut de chose change sous le soleil au niveau politique. Nous nous attardons presque trente minutes à côté du Pont Perrière, qui enjambe le Thiou dans la vieille ville, traversé par une manifestation qui défile contre le pass sanitaire. Un journaliste de l’Agence France Presse (AFP) interviewe quelques manifestants pendant que son caméraman filme. Les deux slogans qui viennent en boucle sont : « Macron, ton pass, on n’en veut pas » et « Liberté ». Nous restons trente minutes à regarder le défilé qui n’en finit pas. La manifestation doit bien totaliser plus de quatre mille personnes munies de pancartes, de haut-parleurs, de drapeaux… Nous suivons le quai des vieilles prisons pour contourner la manifestation. Nous retournons ensuite à l’appartement en flânant. Nous suivons la rue Carnot où des étals, comme dans la rue Royale, sont installés devant des commerces. Dans la rue Jean Jaurès, je profite de la senteur paradisiaque d’une fleur de l’arbre à papillon qui ressemble à du lilas...






















Quelques remarques sur le documentaire Netflix « How to become a tyrant »...

 Quelques remarques sur le documentaire Netflix « How to become a tyrant », comment devenir un tyran !

  • La tyrannie est pour ceux qui veulent des résultats, peu importe les conséquences.
  • Les tyrans ont une confiance mégalomane en leurs propres capacités.
  • Les tyrans recherchent la conformité. Ils doivent convaincre les gens qu’il ne s’agit pas vraiment de conformité mais bien d’unité.


mercredi 14 juillet 2021

Macron t'es foutu... quelque 2000 Savoyards sont dans la rue aujourd'hui... les manifestants scandent les slogans : « Liberté », « Macron démission », « Non à la dictature », « Non au pass sanitaire », « Non au vaccin »...


 Au retour de la promenade quotidienne, en arrivant vers Bonlieu, nous voyons vers quatorze heures dix un attroupement sur l’herbe. L’attroupement se constitue en manifestation qui commence à défiler dans la rue du Président Favre. Nous prenons des photos et nous suivons la manifestation jusqu’à Courier. Nous nous intégrons ensuite à la foule des manifestants qui scandent les slogans : « Liberté »« Macron démission », « Non à la dictature », « Non au pass sanitaire », « Non au vaccin ». Nous marchons avec la foule que quelque deux mille personnes plus d’une heure dans le centre d'Annecy et dans la vieille ville. Toute se passe dans la bonne humeur, les véhicules patientent à notre passage, les passants nous regardent, certains applaudissent comme certaines voitures qui klaxonnent en soutien. La manifestation arrive devant la préfecture vers quinze heures trente où des manifestants tambourinent sur les grilles en scandant les slogans. Je continue de prendre des photos. Une partie de la foule entre dans l’enceinte et monte sur le perron. Le mot « liberté » est scandé dans une litanie musicale accompagnée d’applaudissements rythmés. Tel un leitmotiv, le mot « liberté » a été scandé maintes fois durant la manifestation dans les rues d'Annecy...