dimanche 27 décembre 2020

Agir...

 Maître Carlo Brusa et Ema Krusi - Plainte relative aux vaccins dans une action internationale en cours...


www.youtube.com/watch?v=U6rCJgIqOeA

samedi 19 décembre 2020

Médecin humain...

 Médecin humain

https://twitter.com/Stalec_/status/1340031942364950528



Maître Carlo Alberto Brusa dépose une plainte pénale relative aux vaccins auprès du Procureur de la République près le Tribunal Judiciaire de Paris sous le numéro 20351000746...

 


https://guyboulianne.com/2020/12/17/me-carlo-alberto-brusa-depose-une-plainte-penale-relative-aux-vaccins-aupres-du-procureur-de-la-republique-pres-le-tribunal-judiciaire-de-paris-sous-le-numero-20351000746/

Me Carlo Alberto Brusa, président du cabinet CAB Associés, dépose une plainte pénale relative aux vaccins COVID-19 auprès du Procureur de la République près le Tribunal Judiciaire de Paris, en France, sous le numéro 20351000746. Me Brusa est un exemple à suivre par tous les avocats, de tous les pays.

Cette plainte de l’association Réaction 19, présidée par Messieurs Carlo Alberto Brusa et Riccardo Mereu, sera assurément transmise aux Premiers Ministres du Canada, du Québec et des autres provinces canadiennes, aux Directeurs de la santé publique du Canada, aux Ordres professionnels, aux personnes et organismes impliqués, à des degrés divers, dans les restrictions injustifiées et imposées au peuple canadien dans le cadre de la crise de Covid-19. Cette plainte française leur sera transmise pour les avertir que des procédures légales très sérieuses seront bientôt entreprises contre eux.

Le Gouvernement use d’une stratégie visant à faire régner la terreur au sein de la population, et d’une interdiction de déplacement et d’accès à certains lieux publics afin de contraindre moralement la population à adopter une thérapie génique. En effet, au vu de l’ensemble des études réalisées et des risques constatés, ainsi que de la stratégie mise en place, il ne fait aucun doute que le Gouvernement avait conscience qu’il ne pouvait obtenir l’accord de la population sans exercer cette contrainte morale.

Le délit d’extorsion est donc caractérisé. Au surplus, l’extorsion, lorsqu’elle est commise au préjudice d’une personne dont la particulière vulnérabilité, due à son âge, à une maladie, à une infirmité, à une déficience physique ou psychique ou à un état de grossesse, est apparente ou connue de son auteur, est aggravée. « Commet une extorsion quiconque, sans justification ou excuse raisonnable et avec l’intention d’obtenir quelque chose, par menaces, accusations ou violence, induit ou tente d’induire une personne, que ce soit ou non la personne menacée ou accusée, ou celle contre qui la violence est exercée, à accomplir ou à faire accomplir quelque chose. » (Code criminel (L.R.C. (1985), ch. C-46))

En l’espèce, ce délit est commis en priorité à l’encontre des personnes âgées et présentant des comorbidités, c’est-à-dire souffrant d’une pathologie préexistante à l’infection. La condition d’âge avancé et de maladie ne peut être ignorée par le Gouvernement puisque ces conditions constituent l’objet même de leur intervention. Le délit d’extorsion aggravé est donc caractérisé en tous ses éléments.


Crime contre l’humanité — Le code de Nuremberg

Nous avisons aussi les Gouvernements fédéral et provinciaux du Canada, les Ordres professionnels du Canada, les personnes et organismes canadiens impliqués, à des degrés divers, dans les restrictions injustifiées et imposées au peuple canadien dans le cadre de la crise de Covid-19, que des procédures judiciaires sont actuellement entreprises auprès de la Cour pénale internationale dans le cadre d’une plainte pour crime contre l’humanité.

Il s’agit d’un travail international incluant des avocats français, allemands, italiens, américains. On y retrouve bien sûr Me Carlo Alberto Brusa du cabinet CAB Associés, Me Reiner Fuellmich (médecin légiste) du cabinet Dr Fuellmich, ainsi que Robert F. Kennedy Jr., fils de Robert F. Kennedy et neveu de l’ancien président John F. Kennedy. Ce dernier est associé dans le cabinet d’avocats Kennedy & Madonna, LLP. Évidemment, cette plainte s’étendra au Canada devant la Cour pénale internationale.

Le code de Nuremberg n’est nullement le point de départ de la réflexion éthique et juridique sur l’expérimentation humaine : il récapitule des principes connus et acceptés très antérieurement au jugement, depuis au moins le début du XXe siècle. Toutefois, il constitue bien le premier texte à prétention universelle (internationale) sur le sujet. Ainsi, le tribunal n’a pas jugé sur des règles qui auraient été inventées spécialement pour le procès (ce qui aurait été contraire à tous les principes du droit pénal), mais selon les règles coutumières communément acceptées « dans les nations civilisées ».

Trials of War Criminals Before the Nuernberg Military Tribunals Under Control Council Law No. 10. October 1946 – April 1949, Vol. II, Chap. XII Judgment, « Permissable Medical Experiments », pp. 181-184.

Les expériences médicales acceptables :

  1. Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel ;
  2. L’expérience doit être telle qu’elle produise des résultats avantageux pour le bien de la société, impossibles à obtenir par d’autres méthodes ou moyens d’étude, et pas aléatoires ou superflus par nature ;
  3. L’expérience doit être construite et fondée de façon telle sur les résultats de l’expérimentation animale et de la connaissance de l’histoire naturelle de la maladie ou autre problème à l’étude, que les résultats attendus justifient la réalisation de l’expérience ;
  4. L’expérience doit être conduite de façon telle que soient évitées toute souffrance et toute atteinte, physiques et mentales, non nécessaires ;
  5. Aucune expérience ne doit être conduite lorsqu’il y a une raison a priori de croire que la mort ou des blessures invalidantes surviendront ; sauf, peut-être, dans ces expériences où les médecins expérimentateurs servent aussi de sujets ;
  6. Le niveau des risques devant être pris ne doit jamais excéder celui de l’importance humanitaire du problème que doit résoudre l’expérience ;
  7. Les dispositions doivent être prises et les moyens fournis pour protéger le sujet d’expérience contre les éventualités, même ténues, de blessure, infirmité ou décès ;
  8. Les expériences ne doivent être pratiquées que par des personnes scientifiquement qualifiées. Le plus haut degré de compétence professionnelle doit être exigé tout au long de l’expérience, de tous ceux qui la dirigent ou y participent ;
  9. Dans le déroulement de l’expérience, le sujet humain doit être libre de mettre un terme à l’expérience s’il a atteint l’état physique ou mental où la continuation de l’expérience lui semble impossible ;
  10. Dans le déroulement de l’expérience, le scientifique qui en a la charge doit être prêt à l’interrompre à tout moment, s’il a été conduit à croire — dans l’exercice de la bonne foi, de la compétence du plus haut niveau et du jugement prudent qui sont requis de lui — qu’une continuation de l’expérience pourrait entraîner des blessures, l’invalidité ou la mort pour le sujet d’expérience.

Sur les dix principes énoncés, ce qui nous intéresse judiciairement, bien entendu, ce sont les exigences qui sont de nature purement juridique — ou qui, au moins, sont si clairement liés aux questions juridiques qu’elles nous aideront à déterminer la culpabilité et la sanction criminelles. Aller au-­delà nous conduirait sur un terrain qui excède notre sphère de compétence. (Plus d’information sur cette page)

EXPOSÉ DES FAITS ET DE LA PROCÉDURE :

1. Le contexte sanitaire et politique :

Depuis le début de la crise sanitaire liée à la maladie virale Covid-19, le « vaccin » est désigné comme l’unique solution pour mettre un terme définitif à la pandémie de la Covid-19, dont l’origine demeure encore inconnue. Dès mars 2020, les laboratoires se sont engagés à fournir un « vaccin » contre la Covid-19 dans les 12 à 18 mois à venir, et ce alors même que « l’élaboration d’un vaccin s’échelonne habituellement sur 10 à 15 ans ».

À la mi-novembre, plusieurs laboratoires pharmaceutiques ont diffusé, par voies de communiqués de presse, les premiers résultats d’efficacité. Les laboratoires Pfizer, BioNTech puis Moderna annoncent à tour de rôle avoir créé un « vaccin » contre la Covid-19 efficace à plus de 90%, puis 95%. L’ensemble de ces études a été réalisé de manière totalement opaque, en un temps record préoccupant, et sans permettre la moindre vérification de leurs résultats par un organisme indépendant.

En ce sens, le Professeur Christian Perronne a alerté lors d’une déclaration publiée par France Soir le 8 décembre 2020 dans les termes qui suivent :

« Le plus inquiétant : de nombreux pays, dont la France, se disent prêts à vacciner dans les semaines qui viennent, alors que la mise au point et l’évaluation de ces produits se sont faites à la va-vite et qu’aucun résultat de l’efficacité ou de la dangerosité de ces vaccins n’a été publié à ce jour. Nous n’avons eu le droit qu’à des communiqués de presse des industriels et fabricants, permettant de faire flamber leurs actions en bourse. »

En effet, il est avéré qu’il n’y a, aujourd’hui, aucune certitude quant à l’efficacité de ce « vaccin ». Preuve en est, Monsieur Alain Fischer lui-même, médecin immunologue désigné par le Premier Ministre pour coordonner la stratégie vaccinale de l’État contre le Covid-19, a déclaré le 5 décembre 2020 :

« La solution prendra du temps, c’est de savoir si le vaccin, d’une part, protège l’individu vacciné contre l’infection {.) mais aussi protège contre la transmission (…) Il faudra probablement plusieurs mois pour avoir ce dernier type d’information qui aura un impact sur les politiques de vaccination » (mis en gras par nos soins).

Ainsi, la personne en charge de la vaccination en France explique clairement, qu’au 5 décembre, et ce pendant encore plusieurs mois, il est impossible de connaître l’efficacité du « vaccin » proposé par les différents laboratoires. Plus troublant encore, le groupe pharmaceutique Pfizer à déjà fait l’objet d’une plainte aux États-Unis pour « pratiques commerciales frauduleuses » à propos de la commercialisation de plusieurs médicaments (le Bextra, le Zyvox, le Geodon et le Lyrica) et a été contraint de verser une amende « record » de 2,3 milliards de dollars.

En outre, les essais cliniques ont alerté sur les effets secondaires constatés après avoir reçu le vaccin Pfizer contre la Covid-19 :

« Après avoir reçu l’injection, 63 % des sujets de l’essai ont signalé de la fatigue et 55 % ont déclaré souffrir de maux de tête. Des frissons ont été signalés par 32% des participants, 24 % se sont plaints de douleurs articulaires et 14 % ont développé une fièvre. »

Plus grave encore, certains patients auraient contracté la paralysie de Bell, un trouble du nerf facial qui entraîne une paralysie du visage, et six d’entre eux sont décédés pendant les essais cliniques.

Or, c’est dans ce contexte de risques et d’incertitude la plus totale que le Président de la République a affirmé, lors de son allocution du 24 novembre 2020, en violation évidente du principe de précaution, que la « campagne de vaccination » commencerait « dès fin décembre, début janvier ».

Au surplus, cette annonce a été réalisée alors que l’opportunité du principe même de la vaccination dans le cadre du virus de la Covid-19 est très controversée dans le milieu médical, notamment eu égard à sa faible efficacité, à sa dangerosité et au manque de recul face à cette nouvelle technologie.

VOUS POUVEZ TÉLÉCHARGER :

À propos de Maître Carlo Alberto Brusa

Maître Carlo Alberto Brusa préside le cabinet CAB Associés et coordonne l’ensemble des dossiers traités par les avocats collaborateurs. Il a été chargé de cours de Droit à l’Université de Paris II Assas et de l’Université Paris IV, Panthéon Sorbonne et a commencé son activité d’avocat en 1994. En 1996 il créait son cabinet individuel dont l’enseigne est devenue Cabinet Brusa en 2001. Le Cabinet Brusa s’est développé jusqu’à devenir, au 1er janvier 2017, la société d’avocats CAB Associés, dont Maître Carlo Alberto Brusa est le président.

Il a créé avec Riccardo Mereu et Hélène Plumet une association sans but lucratif, ayant pour dénomination « Réaction 19 ». Le premier objectif de cette association est :

« De mettre en œuvre toutes les voies de droit, toutes les actions juridiques et judiciaires, tant civiles que pénales, pour voir sanctionner et réparer toutes les atteintes portées aux personnes physiques et morales à la suite notamment des mesures législatives, décrétales et réglementaires, des décisions administratives individuelles et collectives, prises par toutes les autorités de l’Etat français et de l’Union européenne dans le cadre de la pandémie du Covid-19, ayant eu comme effet de priver les citoyens de leurs droits essentiels, notamment le droit à la santé, le doit d’aller et venir, le droit au travail, le droit d’entreprendre, le droit au commerce ainsi que le droit à sauvegarder un lien générationnel avec les personnes âgées. »


  • Loi sur les crimes contre l’humanité et les crimes de guerre (L.C. 2000, ch. 24) : Loi concernant le génocide, les crimes contre l’humanité et les crimes de guerre et visant la mise en oeuvre du Statut de Rome de la Cour pénale internationale, et modifiant certaines lois en conséquence.
  • Le Statut de Rome de la Cour pénale internationale (le Statut) : « Aux fins du présent Statut, on entend par crime contre l’humanité l’un quelconque des actes ci-après lorsqu’il est commis dans le cadre d’une attaque généralisée ou systématique lancée contre toute population civile et en connaissance de cette attaque : Extermination, Réduction en esclavage ; (…), Stérilisation forcée, (…), Autres actes inhumains de caractère analogue causant intentionnellement de grandes souffrances ou des atteintes graves à l’intégrité physique ou à la santé physique ou mentale. »

mardi 15 décembre 2020

Dans quel état on a mis le monde ?!...

 Les grandes gueules !

 Sur RMC, les grandes gueules :



Le taux de mortalité du covid-19 serait en moyenne dans le monde de 0,05% par rapport à la population globale. La population mondiale d'êtres humains vivant sur Terre a été estimée à 7,8 milliards en mars 2020 ; celle de la France à 67 millions, soit 33500 morts du covid-19 en moyenne pour l'année 2020 alors qu'il y a plus de 600000 morts en France chaque année, toutes causes confondues. On a perdu la raison...


mercredi 9 décembre 2020

Le temps est venu de nous unir...

La culpabilisation collective, arme idéologique absolue

Thomas Verden pour FranceSoir

 

« Nous sommes en guerre » ! Cette phrase prononcée il y a quelques mois par le président Macron n’est pas seulement un slogan politique destiné à frapper la population, elle exprime une manière de comprendre la relation à la maladie : l’ennemi est en face et il faut le supprimer.

Tout le monde ou presque sait pourtant aujourd’hui au moins deux choses : premièrement que nous sommes porteurs d’une quantité énorme de virus en tous genre qui stimulent et renforcent notre système immunitaire, autrement dit notre capacité à nous défendre. Deuxièmement, qu’un virus n’est viable qu’au sein d’un organisme et absolument jamais de façon isolée telle une entité indépendante. Or ces deux principes connus de tous ont été totalement occultés dans la manière dont le problème « corona » a été médicalement et médiatiquement traité.

Le virus a été présenté à la manière d’une entité autonome, indépendante des facteurs organiques individuels. On a donc complètement objectivé le concept de virus en en faisant un ennemi en soi justifiant une attitude frontale de « déclaration de guerre ».

L’image qui a été façonnée correspond exactement à celle d’un terroriste frappant n’importe qui, n’importe où, n’importe quand.  Le portrait-robot de la covid 19 est donc celui d’un psychopathe meurtrier lâchant ses bombes virales dans les populations du monde entier et risquant d’en décimer une partie importante.

Mais outre cette gigantesque menace qui, numériquement parlant, dépasse de bien loin Al-qaida ou Daech, ce terroriste d’un genre nouveau possède une propriété supplémentaire qui fait de lui un danger sans précédent. Tout comme dans le jeu du « loup » des enfants, celui qui est touché devient lui-même le loup, le prédateur. Autrement dit tout le monde se sent porteur potentiel de cette explosive « bombe virale », tout le monde devient potentiellement ce terrifiant terroriste vis-à-vis de tout le monde.

C’est très rigoureusement cette image qui a été créée et implantée dans les consciences. Et l’effet premier de cette image, qu’on l’admette ou non, c’est la terreur.

 

De la terreur à la culpabilisation

 

La peur est certes un prodigieux levier idéologique. Ce phénomène a souvent été relevé dans le cadre de cette épidémie mais il en est un autre possédant une puissance encore supérieure.

Il y a quelques années, l’atout de toute politique médicale préventive était la protection personnelle. Mais en peu de temps le « protégez-vous » s’est transformé en « si vous ne vous protégez pas vous mettez en danger les autres » ! Un retournement de paradigme d’une prodigieuse puissance psychologique.

En étant saisi par une valeur profondément éthique où la pensée vers autrui l’emporte sur l’intérêt personnel, l’individu est directement touché au cœur de sa conscience morale : quelle sorte d’être humain suis-je donc si je ne fais pas ce qu’exige la protection d’autrui ?

Or dans le cadre de l’image « virus meurtrier », que signifie ne pas protéger les autres ? Pesons de tout leur poids les conséquences d’airain d’une problématique posée de cette façon-là. Il en découle une logique implacable : par ma faute, quelqu’un peut contracter le virus et en mourir. Je deviens donc un criminel en puissance !

Dès lors que l’on est captif d’un réseau de pensées qui prend sa racine dans le concept « virus terroriste et meurtrier », dès lors que l’on implante dans ma conscience que je suis potentiellement ce terroriste meurtrier, l’injonction « mettre en danger les autres » acquiert une force illimitée et devient la pièce à double face d’un puissant levier idéologique et psychologique : côté face, la bonne intention morale de protection d’autrui et côté pile, le jugement implacable envers celui qui n’agit pas conformément à la préconisation dominante et officielle !

L’union du couple peur/culpabilité devient le ferment actif d’une véritable dictature par le bas : chacun exige de l’autre qu’il se soumette à une nécessité éthique de groupe, laquelle devient l’acte obligé de la totalité des individus.

L’Etat, la version scientifique officielle, l’opinion publique se tournent vers l’insoumis : si tu n’agis pas conformément à la préconisation générale, tu deviens un criminel potentiel ! Pire encore, lorsque cette injonction semble sortir tout droit de ma propre conscience!

Une bien singulière éthique que celle qui s’appuie sur le ressort psychologique de la culpabilité !

 

De la culpabilisation à l’obligation vaccinale

 

« Tant que nous n’aurons pas un vaccin, nous ne parviendrons pas à éradiquer cette pandémie !»

La phrase culte rabâchée à satiété sur toutes les ondes ou presque du monde entier, fait apparaître, en face de l’entité conceptuelle « virus terroriste », une autre entité conceptuelle à caractère quasi messianique : « le vaccin sauveur ». C’est donc lui, l’unique, le seul... que l’on appelle de nos vœux, que l’on attend avec ferveur !

Là encore, la même logique déroule son fil d’airain : puisque le terroriste est potentiellement en chacun de nous, le sauveur doit entrer en chacun de nous. Logique implacable ! Dès lors, l’exception doit être bannie.

Et c’est ici que le concept « d’obligation vaccinale » fait son entrée en scène.

Bien que le 24 novembre dernier, le président Macron ait annoncé « Je ne rendrai pas la vaccination obligatoire », tout donne à penser que la question est sans doute très loin d’être définitivement réglée. D’une part parce cette perspective concerne de très nombreux pays de par le monde. D’autre part, parce qu’à la suite de l’annonce présidentielle, nous serions tentés de demander si cette « promesse » reste valable quoi qu’il arrive ?

Autrement dit, est-ce une décision ponctuelle relative à la situation présente ou est-ce une décision définitive qui relève de la conviction éthique du droit au libre choix ? Cette « petite » précision ne me semble pas inutile dans le contexte général dans lequel nous nous trouvons.

Pour ces différentes raisons il est urgent que la question de l’obligation vaccinale soit réellement pensée dans ses implications les plus profondes du point de vue humain.

 

Une éthique…. totalitaire.

 

L’infectiologue Karine Lacombe déclare : “[…] Comme dans toute société solidaire et altruiste, ce sont ceux qui accepteront de se faire vacciner qui vont protéger les autres… car lorsque l’on accepte de se faire vacciner on se protège soi mais aussi les autres »”* interview Marie Claire 16/11/2020

L’élément premier qui me semble le plus profondément pervers dans une telle déclaration réside dans le ligotage d’une valeur humaniste à une obligation de ce genre !

Une merveille de manipulation psychologique permettant d’imposer ce que l’on veut à une population ! Le propos des plus simplistes vise implicitement à diviser d’emblée la société en deux groupes : d’un côté, les individus solidaires, altruistes, ceux qui possèdent de vraies valeurs morales et éthiques et, de l’autre côté, les purs égoïstes méprisant le danger de mort qu’ils font courir à autrui !

Chers lecteurs, vous avez donc le choix : le volontariat vaccinal et vous êtes du côté du bien, de l’altruisme, ou le refus d’obligation et vous représentez le mal, l’égoïsme. L’individu est littéralement pris en étau entre ce qu’il ne souhaite pas et ce qu’il est contraint de faire s’il veut rester un individu moral aux yeux de la société.

Quant aux insoumis, les humanistes plein de bonté qui veillent sur l’avenir de l’humanité pointeront vers eux le doigt accusateur : « La persistance des épidémies et des morts seront votre fait ! ».

Karine Lacombe, qui s’inscrit dans la droite ligne de l’approche gouvernementale n’ajoutait-elle pas à ses propos cités plus haut : « Malheureusement, si la défiance est trop importante, la vaccination devra être rendue obligatoire […]. »

Dans l’esprit de cette dernière, la liberté vaccinale ne peut être conservée que sur la base d’un volontariat massif. L’arrivée annoncée du vaccin pour les mois, voire semaines qui viennent, va de toute évidence de pair avec une campagne médiatique destinée à en faire comprendre à la population l’enjeu... éthique, puisque « ce sont ceux qui accepteront de se faire vacciner qui vont protéger les autres ».

Ce n’est donc que si la population ne devient pas massivement altruiste à la manière dont madame Lacombe le conçoit, que « la vaccination devra être rendue obligatoire. […] ».

Dès lors, la loi apparaîtra en justicier dont la tâche sera de « contraindre à la raison », celui qui s’en écartera. Au « mieux » on isolera les rebelles en leur interdisant tout accès à la vie commune, au pire...

Pas à pas, étape par étape, la divergence se transforme insensiblement en dissidence, la conviction personnelle en obligation morale, la préconisation médicale en contrainte juridique.

L’idée de la vaccination « pour autrui » engendre, non pas un altruisme véritable mais une grave atteinte à la liberté de conscience. Des valeurs aussi profondes que la solidarité et l’altruisme sont ici placées sur un plan illégitime, ayant pour effet d’engendrer le plus insidieusement qui soit une forme d’éthique par la culpabilité, une éthique excluant toute altérité d’opinion, une éthique… totalitaire.

Cette prise en otage odieusement manipulatrice des bons sentiments doit être mise à jour et dénoncée !

 

Les sophismes de l’obligation vaccinale

 

Premièrement, à celui qui accuserait mes propos d’égoïstes, je réponds en premier lieu que l’approche médicale qui aboutit à une telle « préconisation », est tout sauf une vérité scientifique absolue et unique. Il y a donc d’autres façon de penser la résolution du problème ! Les plus grands scientifiques mondiaux se sont diversement expliqués sur ce point. La volonté d’obligation vaccinale est donc d’abord l’expression d’une idéologie médicale qui se croit absolue. Elle représente déjà une dictature de la pensée. Cette dernière conduit inévitablement à une dictature de l’action.

Il ne s’agit donc en aucun cas d’égoïsme ou d’irresponsabilité mais d’une autre façon de concevoir la résolution du problème ! L’obligation vaccinale interdit cette altérité.

Que l’on regarde seulement, avec honnêteté, le fossé existant entre le fait d’être positif à un test PCR (dont le CT est situé entre 35 et 50) et le fait d’être réellement porteur d’un virus actif : un premier décompte engendrerait déjà une chute vertigineuse des chiffres. Que l’on regarde ensuite, à partir de ce qui reste, le second fossé existant entre ceux qui sont vraiment porteurs du virus et ceux dont la vie est réellement en danger, un deuxième décompte ferait encore chuter les chiffres de façon tout aussi vertigineuse.

Sur la base de chiffres réalistes et honnêtes qui rendraient compte qualitativement des risques réels, une fois retranchées les personnes déjà atteintes de pathologies graves après soixante-dix ans, les diabétiques et quelques autres affections, on arriverait à un taux de létalité totalement dérisoire !

Au mépris du réel, on inonde la population de chiffres globaux, gonflés, qu’on illustre en dénichant les cas d’exception servant la thèse dominante.

Deuxièmement, pourquoi un individu non vacciné mettrait-il en danger des individus vaccinés ? Sauf si le vaccin est inefficace, nulle personne vaccinée ne devrait se sentir mise en danger puisque justement la vaccination est, pour celui qui le souhaite, la garantie de sa protection ! Sauf génocide de la logique, nul n’a besoin de la vaccination d’autrui pour se protéger lui-même !

Précisons bien qu’il n’est pas question ici d’opposer les pour et les contre la vaccination ; nous parlons de l’obligation vaccinale, laquelle relève d’une discrimination négative pénalisant des gens sains qui ne souhaitent pas la vaccination pour eux-mêmes.

La conservation de son intégrité corporelle et intellectuelle comme principe éthique supérieur à toutes les autres.

A la spoliation du principe d’autodétermination qui garantit le respect de la personne individuelle s’ajoute la violation de l’intégrité corporelle. Car peut-on imposer à des individus sains de corps et d’esprit d’introduire, sous la contrainte, des substances dans leur propre corps ?

De la science-fiction ? Non cette menace est aujourd’hui bien réelle et ne manque pas de faire frémir toute personne attachée à l’exercice de sa liberté de choix. Il semblerait que l’humanité actuelle doive de nouveau mener un combat pour la conserver.

Dans les temps qui viennent, l’être humain devra absolument exiger jusque dans la loi, de garder le pouvoir absolu de décision concernant sa propre entité corporelle. L’intégrité corporelle doit rester affaire individuelle ! Ce principe doit être placé au-dessus de tous les autres.

Nul ne saurait être obligé de consentir à un acte qui aurait la valeur d’un viol. Nul ne doit faire l’objet d’une répression morale et juridique pour un tel choix.

Au Danemark, le projet de loi qui vient d’être fermement contesté par une minorité lucide et active consistait à octroyer au ministère de la santé « ... la capacité d'isoler, de traiter de force et de vacciner de force des groupes de population si cela vise à enrayer la maladie contagieuse".

Avons-nous bien lu ? Il est question d’obliger des groupes de population, à une vaccination, manu militari ! Au nom de la protection de tous cela va sans dire !

La question est donc d’une extrême gravité ! Que l’on soit favorable ou défavorable pour soi-même à tel ou tel vaccin n’est pas la question. La seule question ici est de savoir qui doit en décider ? Est-ce chaque individu selon sa conscience ou est-ce une autorité de tutelle qui prétend posséder la connaissance ultime de ce qu’il convient de faire ?

Tout le monde doit donc se sentir concerné par un tel enjeu. Quels que soient ses choix médicaux, tout être humain qui aime la démocratie, doit revendiquer avec force le même degré de liberté de choix pour celui qui pense autrement que lui !

 

Ce n’est pas une question d’égoïsme, c’est une question de dignité !

 

Toute obligation de ce type revient à destituer l’individu de son droit à se déterminer lui-même. Seul un individu qui conserve cette liberté peut encore être appelé individu. Ou alors ne parlons plus de démocratie, de liberté mais d’un troupeau de moutons guidés par les bons bergers de la conscience morale universelle...

Gardez votre obligation vaccinale solidaire, je garde ma dignité

Madame Lacombe, j’ignore quelle est la valeur marchande, pour vous et vos frères d’armes, de cette « éthique du vaccin pour le bien d’autrui », que vous défendez si bien en vous drapant de rigueur scientifique et d’altruisme. Je refuse votre morale vrillée et manipulatrice qui à mes yeux n’est rien d’autre que le signe avant-coureur d’une monstrueuse dictature.

Je souhaite pouvoir me vacciner si je le veux, et ne pas me vacciner si je ne le veux pas ! C’est mon affaire. Je l’affirme comme principe souverain.

Et je récuse l’idée simpliste et perverse de l’égoïsme ou de la mise en danger d’autrui si je ne souscris pas à votre logique. Le danger, le vrai, c’est le totalitarisme qui sévit dans les consciences de directeurs de conscience sans conscience.

Nul argument fallacieux, nulle propagande, nuls détours par une troisième, une quatrième vagues… ne me feront abandonner mon bien le plus précieux, gage de la dignité humaine : ma liberté de penser, de choisir, d’agir, de devenir !

En d’autres temps, les hommes ont dû lutter pour conquérir leur liberté. Faut-t-il désormais en faire de même pour la conserver ? Humains qui voulons le rester, il nous faut réclamer avec force une garantie de droit, pérenne et non négociable du pouvoir souverain de tout individu à disposer de son intégrité corporelle. Plus encore, la protection juridique contre toute discrimination d’accès à quelque service que ce soit au seul motif de la non-vaccination doit être, dans un état démocratique, garantie par la loi. Une ostracisation par voie détournée équivaudrait à un asservissement déguisé en libre choix et reviendrait à mettre un costume de démocrate sur une dictature.

Le temps est venu de nous unir, indépendamment de toute appartenance, de toute nationalité, sur la base du seul attachement à une valeur universelle, qui fait de nous des êtres humains à part entière, porteurs de nos idées, de nos choix, de notre liberté.

 

Thomas Verden, conseiller pédagogique et philosophe

 

Auteur(s): Thomas Verden pour FranceSoir

La tyrannie de la bienveillance...

 La tyrannie de la bienveillance...

 Dans la matinée, je lis l’article sur le Monde Diplomatique de Evelyne Pieiller, intitulé « La tyrannie de la bienveillance ».

Qui décide de la vulnérabilité de chacun ?

Surtout pas les politiques et le gouvernement. Chacun est à même de ressentir s’il est vulnérable ou non. L’équilibre journalier de chacun étant fluctuant, la vulnérabilité suit le mouvement de l’état mental, émotionnel, psychologique et physique. Sous prétexte de vouloir préserver le citoyen, l’état porte atteinte à son intégrité individuelle, rompt le lien avec soi-même et prive chacun de son libre arbitre et de sa liberté d’être. La conscience de soi est soumise à une manipulation perverse. Comment garder une vision claire quand la manipulation frappe chaque jour à la porte de la conscience ?... 

Les enfants sont en danger...

Les enfants sont en danger...


mardi 1 décembre 2020

Le test PCR, qui va au tribunal, prend du plomb dans l’aile...

 

« Le test PCR va au tribunal » : au Portugal, mais aussi en Allemagne et dans de nombreux pays

 Publié le 30/11/2020 à 15:14

 www.francesoir.fr/societe-sante/le-test-pcr-va-au-tribunal-au-portugal-mais-aussi-en-allemagne-et-dans-de-nombreux

Le test PCR va au tribunal

Auteur(s): FranceSoir

Poursuite intentée à Berlin - infections non détectables

Traduction libre du communiqué de presse fourni par l’avocat Reiner Fuellmich par mail.[1]

« Le test PCR est suspendu comme une épée de Damoclès sur des millions d'Allemands depuis des mois. Selon le résultat, il existe un risque d’interruptions massives dans la vie quotidienne.

Ce test a maintenant trouvé son chemin vers les tribunaux : une action a été déposée auprès du tribunal régional de Berlin.

 L'argument principal : le test n'est ni adapté ni destiné à la détection d'une infection. Et cela rendrait la chaîne : test positif - infecté – contagieux- danger – ce schéma est faux.

 

Première étape : le procès en diffamation

Globalement, la plainte de 54 pages aborde le procès en diffamation contre le site Web « Volksverpetzer ». Ce dernier en tant que « vérificateurs de faits », a insulté des personnes qui se sont exprimé de manière critique à propos des mesures anti-coronavirus et les ont diffamées en les qualifiant de menteurs, d'idiots et d'extrémistes de droite.

Le spécialiste du poumon bien connu, le Dr. Wolfgang Wodarg, ancien chef d'un service de santé et membre du Bundestag et du Conseil de l'Europe est concerné. Rappelons

Qu’avec la grippe porcine, il a exposé les machinations de l'industrie pharmaceutique en 2010 et a probablement sauvé d'innombrables personnes du mal. Malheureusement, des centaines d'enfants vaccinés malgré sa mise en garde souffrent maintenant de narcolepsie[2].

Début 2020, le Dr Wodarg a reconnu des parallèles inquiétants entre ce qui s'est passé alors et le Covid19 aujourd'hui.  

 

Stratégie globale des avocats allemands

Cette action en diffamation n'est qu'une partie d'une stratégie plus globale : il s'agit essentiellement d'exposer l'utilisation incorrecte et abusive du test PCR.

"Nous voulons faire d'une pierre deux coups ", a expliqué l'avocat de Göttingen, Dr. Reiner Füllmich, dans le bureau duquel la plainte a été rédigée sur la base des travaux préliminaires du Comité Covid19 de Berlin. Le lien est Wodarg, qui a également critiqué les tests.[3]

« Le test PCR inadapté est la pierre angulaire de toute la débâcle liée au coronavirus. Cette pierre doit être brisée pour que tout le château de cartes s'effondre finalement », a déclaré Füllmich, expliquant le but réel du procès.

« Le test PCR est inadapté pour déterminer une infection » - c'est la conclusion unanime de plusieurs scientifiques de la pratique clinique et de la recherche quotidienne.

En juillet, un groupe d'avocats composé de Viviane Fischer, Dr. Justus Hoffmann, Antonia Fischer et Dr. Fuellmich a fondé le « Comité d'enquête sur la gestion du Covid » de Berlin et a par la suite, invité toute une armada d'experts de divers domaines spécialisés pour découvrir le contexte de la crise. Le test PCR a été discuté encore et encore.

Les experts ont confirmé que le test PCR n’es[nd1] t pas adapté pour poser le diagnostic de Covid19. Ce jugement critique est confirmé par le CDC - la plus haute autorité sanitaire américaine. Le test PCR recherche des extraits de virus.

Le CDC a déclaré : "La détection de l'ARN viral peut ne pas indiquer la présence d'un virus infectieux ou ni que le COVID-19 est l'agent causal des symptômes cliniques."

L'agence conclut qu’une grande proportion de décisions lourdes sont très probablement   basées sur des résultats de tests incorrects ".

Même certains membres de l'industrie pharmaceutique avouent la supercherie. Dr. Mike Yeadon, ancien directeur et scientifique en chef du géant pharmaceutique Pfizer, aurait déclaré : "Ce test est fatalement défectueux et doit être retiré immédiatement.

Les tests sont à environ 90% de faux positifs. Ils seraient « utilisés uniquement pour créer la peur ».

Une évaluation similaire vient du Canada : le professeur de médecine Roger Hodgkinson a récemment déclaré lors d'une audition au Parlement à Ottawa : « je tiens à souligner que je suis actif dans l'industrie du dépistage du COVID et que des résultats de tests positifs ne signifient pas une infection clinique. Cela ne fait que susciter l'hystérie publique. »

Le risque pour les moins de 65 ans de mourir du COVID-19, est inférieur à un pour 300 000 personnes.

 « Il y a une hystérie publique totalement infondée qui est menée par les médias et les politiciens. C'est la plus grosse fraude jamais commise contre un public sans méfiance. "

L'inventeur du test PCR, le lauréat du prix Nobel Kary Mullis, décédé en 2019, avait souligné à plusieurs reprises que le test PCR ne peut diagnostiquer une infection virale.

Même le virologue en chef allemand Christian Drosten, développeur du test PCR pour COVID-19, avait déclaré dans le « Wirtschaftswoche » en 2014 que le test PCR testerait positif également des personnes saines et non contagieuses.

Depuis mi-janvier 2020, cependant, le « test Drosten » est l'outil utilisé pour évaluer les « personnes infectées ». Une contradiction flagrante.

En outre, la plainte indique clairement que lors du développement du test Drosten PCR, qui a été vendu des millions de fois aux États-Unis sur la base de la recommandation de l'OMS, des erreurs flagrantes ont été commises.

 

Stratégie plus gobale

 « Ce procès n'est que le premier pas vers une stratégie encore plus large », a expliqué l'avocat Füllmich.

« Toutes les mesures, du confinement - avec des conséquences économiques et psychologiques dévastatrices - au déclin de l'éducation, de l'art et de la culture et à l'obligation de porter un masque, reposent sur ce test inadapté ».

Pour l'avocat, la crise du coronavirus est une « pandémie à étages » qui constitue également une menace pour la démocratie et la liberté d'expression. Tout cela doit être traité dans le cadre juridique et les responsables doivent rendre des comptes.

Füllmich travaille en étroite collaboration avec les autres avocats du comité Corona Viviane Fischer, Dr. Justus Hoffmann et Antonia Fischer, leurs conseillers médicaux Prof. Dr. Ulrike Kämmerer et Dr. Wolfgang Wodarg et leur conseiller juridique, le Prof. Dr. Martin Schwab[4].

 Il existe également une coopération étroite avec des cabinets d'avocats renommés aux États - Unis – dont le groupe d'avocats dirigé par Robert F. Kennedy, jr. et sa défense de la santé des enfants - [5] et le Canada. Les premiers procès y sont attendus ces jours-ci.

L'Autriche est également dans les starting-blocks avec un procès avec le même contenu. Un tribunal portugais a récemment levé les mesures de quarantaine en raison du test PCR inadapté, car il s'agissait d'une "détention sans fondement factuel".[6]

« Sur la base des données que nous avons méticuleusement collectées, tout avocat peut désormais travailler ici en Allemagne et à l'étranger », a déclaré Füllmich.

Cela s'applique à la fois à une attaque contre les tests PCR et aux poursuites judiciaires contre d'autres médias coupables de diffamation de personnes ayant une attitude critique La valeur en litige du procès contre le « peuple perfide » est de 250 000 euros. »

 Ce communiqué de presse a été commenté dans la presse. Nous vous proposons ici quelques extraits d’une interview de Maitre Fuellmich de début Novembre dans la presse en langue allemande. Notons que la presse française a oublié cette étape très importante de la lutte contre la manipulation des peuples à travers la pratique de tests PCR à grande échelle sans obligation des laboratoires de communiquer le nombre de cycles d’amplification utilisé (et même interdiction de le transmettre aux patients).

 Informer les français sur cette arnaque qui encore en ce jour les conduit à être interdits de visite dans les EHPAD, à se voir isoler sur injonction des ARS dont on attend les documents légaux leur permettant de persécuter des cas dits contacts, à fermer leur échoppe ou à abandonner leurs élèves sous prétexte d’un cas … On a dans la foulée oublié que les cas ne sont en aucun cas  des malades, et que les asymptomatiques ne sont pas contagieux comme l‘a avoué une représentante de l’OMS dès juin et cela a été confirmé récemment dans un article de Nature.

L’interview avec Dr. Reiner Füllmich a eu lieu début novembre 2020. Il a été publié le 11 novembre 2020 dans le Fuldaer Zeitung imprimé et également le 11 novembre 2020 dans une version légèrement abrégée en ligne sur fuldaerzeitung.de . 

Extraits de cette interview en traduction libre « Critique sévère du confinement de la covid19 : l'avocat Reiner Füllmich attaque le virologue Drosten et le patron du RKI Wieler parVolker Nies[7]

Recours collectif aux États-Unis et procès devant les tribunaux allemands : l'avocat de Göttingen Dr. Reiner Füllmich (62 ans) réclame des dommages-intérêts pour les entreprises qui ont subi des pertes en raison du confinement lié au covid.

Monsieur Füllmich, vous représentez des entreprises qui ont subi des pertes en raison des exigences de la crise Covid19. Qui poursuivez-vous avec votre équipe ? 

« Nous accusons ceux qui disent que le test PCR permet de diagnostiquer les infections. Ce sont avant tout le virologue Prof. Dr. Christian Drosten et Lothar Wieler, président de l’Institut Robert Koch (RKI) ».

 « Les poursuites visent également les politiciens qui se sont appuyés sur les conseils de Drosten et Wieler.  Au tribunal, nous demanderons pourquoi les politiciens n'ont pas également entendu d'autres experts - tels que le lauréat du prix Nobel et le professeur de Stanford John Ioannidis : selon lui, le virus est beaucoup moins dangereux que Drosten et le RKI le prétendent. Il a calculé que 0,14% des patients atteints de Corona meurent. Cela signifie que le coronavirus n'est pas plus dangereux que la grippe. »                    

 

Les restrictions ont été ordonnées par les gouvernements fédéral et des États. Pourquoi ne les poursuivez-vous pas ?

« Nous voulons que les personnes responsables - droit civil et pénal - soient responsables dans tous les cas. Nous commençons là où nous sommes sûrs de réussir ». 

De quoi accusez-vous les experts médicaux ?

« Si nous pouvons prouver à MM. Drosten et Wieler devant le tribunal qu'ils ont délibérément menti, alors il y a des dommages immoraux intentionnels selon l'article 826 BGB. Lors de l’obtention des preuves, les politiciens devront bien entendu également répondre ».      

 Question du journaliste : même si les conseils de Drosten et Wieler étaient erronés, ils ne sont pas responsables du confinement. 

« La politique de confinement du Conseil de Drosten et Wieler est familière. Les deux ont fait deux fausses déclarations : ils disent que s’il y a une infection asymptomatique - des personnes sans signe de maladie- elles pourraient propager le virus - et l'infection peut être détectée par les tests PCR.

Les personnes qui diffusent ces fausses déclarations en sont responsables. Nous sommes devant la cour et prouvons que les tests PCR ne sont pas appropriés pour détecter une infection. »                       

 Question : l'Institut Robert Koch explique que la précision du test PCR est de près de 100% s'il est effectué et évalué correctement.

 Réponse de R F : « Mais il s'agit de la bonne utilisation. Dans le processus du test PCR, des traces du génome du virus sont reproduites - dans de nombreux cycles. En Allemagne, tous les tests sont évidemment ajustés à des valeurs élevées sur un grand nombre de cycles afin de produire autant de résultats positifs que possible.  

Cependant, un résultat positif ne signifie pas que la personne affectée est toujours contagieuse. Même les composants génétiques d'une grippe antérieure peuvent conduire à un résultat positif. »      

 Q : le problème est le nombre élevé de cycles dans l'analyse ?

 R : « Entre autres choses. Le "New York Times" rapporte que la majorité des vrais résultats de PCR « faux positifs » aux Etats-Unis sont basés sur des valeurs de cycles aussi élevées. Là, il est discuté de rejeter généralement les tests avec plus de 30 cycles. Le département de la santé de Francfort discute maintenant complètement correctement dans le but de tout ignorer à partir de 25 cycles. »      

 

Cela signifie ?

« Si le danger du coronavirus est de 0,14%, donc au niveau de la grippe, et que les tests PCR sont pour la plupart faux positifs, alors le covid est transformé en une maladie très dangereuse, ce qui n'est pas la vérité.

 Les tests PCR ne sont évidemment qu'un outil de panique ».           

 Q : encore une fois : le RKI dit que le test PCR est extrêmement précis lorsqu'il est effectué correctement.

 « Alors pourquoi ne pas faire les tests correctement ? Alors pourquoi Drosten, contre son propre jugement, fait-il 45 cycles ? Pourquoi, contre un meilleur jugement, une seule séquence de gène est-elle généralement examinée - et non six, comme l'ont suggéré les Chinois ?  Leur méthode est beaucoup plus précise, mais c'est évidemment le but dans le monde occidental de produire autant de cas positifs, mais de faux positifs que possible. Cette pandémie est une pandémie de tests. »           

Q : si les résultats positifs sont pour la plupart faux et que Coronavirus est aussi dangereuse que la grippe, comment se produisent les nombreux décès - en Italie, en Espagne, aux États-Unis ?

« Ici, en Allemagne, il n'y a aucune surmortalité d'une année sur l'autre. Cela est également dû au bon système de santé. En ce qui concerne les pays étrangers, la question du lien de causalité ne doit en aucun cas être simplifiée.

Abus dans le système de santé, traitements médicaux excessifs prescrits par peur[8] et population particulièrement âgée en Italie - vous ne pouvez pas simplement tout attribuer au danger d'un virus sans examiner plus en détail les circonstances.

Mais il fallait évidemment des photos de panique pour garder la population sous le choc et empêcher quiconque de poser des questions. Ces images d'horreur venaient de Bergame et de New York. J'étais aux États-Unis à l'époque. J'y vis partiellement et je suis autorisé à pratiquer le droit en Californie ».        

 

 Qu'avez-vous entendu là-bas ?

« Mon ami Wolfgang Wodarg, pneumologue et ancien membre du SPD du Bundestag, entretient d'excellentes relations avec les médecins de New York. Certains hôpitaux n’étaient pas surpeuplés du tout. [9]

Le navire-hôpital de 1 000 lits envoyé par les militaires était occupé par 20 ou 30 patients. Les hôpitaux touchés souffrent chaque année pendant la saison grippale de conditions que le professeur Ioannidis a qualifiées de « zone de théâtre de guerre ».

 

Comment le nombre élevé de morts s'est-il produit ?

« Cette question a également un contexte complexe. À cause de la panique, des gens se sont précipités dans les hôpitaux qui, autrement, auraient guéri une petite infection à domicile. Dans les salles, ils peuvent avoir été infectés par des germes hospitaliers, ou ils ont été traités à des doses excessivement élevées avec des agents tels que l'hydroxychloroquine, qui ont pu augmenter la mortalité - en particulier chez les personnes de couleur qui souffrent souvent de favisme et ne peuvent donc souvent pas tolérer ce médicament.

Beaucoup trop de patients en Italie et à New York ont également été connectés à des respirateurs à un stade très précoce, ce qui peut être mortel s'ils sont utilisés pendant de longues périodes »                  

Mais il y a eu non seulement de nombreux décès par corona à New York, mais partout aux États-Unis - 240 000 à ce jour.

« 330 millions de personnes vivent aux États-Unis, dont environ 7 300 meurent chaque jour, cela ne doit pas être oublié. Sur les 9,9 millions de personnes testées positives, environ 0,2% sont décédées. Cependant, il n'est pas précisé ici s'ils sont morts avec ou de covid. Le nombre absolu peut être effrayant car il n'est pas lié à d'autres décès ».   [10]

 

Quand souhaitez-vous intenter une action en justice ?

« Cette semaine[11]. Aux États-Unis, notre équipe travaille avec l'avocat Robert F. Kennedy et son équipe.   Bob Kennedy et moi nous sommes rencontrés pour la première fois le 29 août à Berlin, lors de la manifestation contre les mesures liberticides en Allemagne. Il n'y avait pas un mot dans les médias grand public alors qu'un Kennedy y assistait ! Les médias ont parlé de 30 000 à 40 000 participants, mais on sait que c'était plus près d'un million. »     

 

Pourquoi poursuivez-vous aux États-Unis ?

« En Amérique, il est beaucoup plus facile pour un grand nombre de plaignants de mettre en commun leurs intérêts dans un recours collectif. Il n'y a rien de tel en Allemagne. Le droit de preuve est également plus équitable aux États - Unis lorsqu'un consommateur poursuit une puissante société ».     

 

Qui sont les plaignants ?

« Il existe plusieurs recours collectifs. Les plaignants sont principalement des entrepreneurs américains qui réclament l’indemnisation des dommages subis. Au cours du procès, les plaignants diront qu'il y a des millions d'autres victimes dans le monde. Ils demanderont à toute personne lésée par les tests et les confinements de la même manière qu'elle soit admise en tant que plaignant. Les entreprises allemandes aussi ».           

 

Devant quel tribunal américain souhaitez-vous poursuivre ?

« Cela sera décidé dans quelques semaines. Mais d'abord, nous frappons ici en Allemagne. Les constatations de fait nous utilisent alors également aux États-Unis ».    

 

Où voulez-vous intenter une action en Allemagne ?

« Nous poursuivons les responsables devant les tribunaux lorsque cela est possible. L'accusation permet d'intenter une action en dommages-intérêts devant les 200 tribunaux allemands, et cela va se produire maintenant. Nous représentons des entreprises qui disent : cela suffit, je veux savoir, et les coûts n'ont pas d'importance ».     

 

Voulez-vous demander une indemnisation au tribunal ou poursuivez-vous un objectif politique ? 

« Pour moi, il s'agit des deux : nous sommes un groupe de plus de 100 avocats. À l'origine, nous y sommes allés pour les dommages. Mais la question de la responsabilité politique est au moins aussi importante. » 

Concernant la demande de dommages-intérêts, les procédures peuvent durer des années. Nous pensons que le cap sera fixé dès le début. Les tribunaux étudieront les preuves, au sujet de la question : que sont vraiment ces tests PCR ? »

Nous supposons que les choses bougeront très vite si, par exemple, le lien entre Christian Drosten et l'entrepreneur Olfert Landt est discuté en public. »      

 

Le 2 novembre, le tribunal de district de Dortmund a déclaré les restrictions liées au covid invalides car fondées sur une ordonnance du gouvernement et non sur une loi du Bundestag. Comment évaluez-vous le jugement contre lequel le procureur a déjà porté plainte ?

« C'est un très bon jugement. Il  est sur la même ligne que la cour Constitutionnelle d'Autriche et de nombreux tribunaux américains

Le gouvernement peut prendre pour quelques jours des mesures d'urgence.

 Des durées plus plus longues, comme nous l'avons fait et nous le faisons actuellement en Allemagne, ne peuvent être décidées que par le législateur. Il y a un débat public - même au - delà des questions immédiates : Que fait un masque, et que montre un test PCR ?       

Le Bundestag souhaite désormais clarifier la loi sur la protection contre les infections : les décisions que l'État peut ordonner doivent être déterminées plus précisément.  Cela arrive trop tard, mais au moins il y a maintenant une discussion sur ce que l'État peut et ne peut pas ordonner. »   

 

Y aura-t-il vraiment une discussion ouverte ?

« Ce qui est visible en surface n'est pas tout à fait la réalité. Les deuxième et troisièmes couteaux des groupes politiques ont une vision très différente. Nous avons reçu des signaux de nombreux membres du Bundestag pour la CDU / CSU et le SPD, y compris les Verts, et bien sûr l’AfD. Les députés nous demandent n'y a-t-il pas d'alternative au confinement ? À quel point la puissance de la première ligne est encore grande, cela reste à voir. »    

Voici un feuilleton très intéressant à suivre, si comme l’espère R. Fuellmich, la dénonciation de l’arnaque des tests PCR sur lesquels les confinements et toutes mesures liberticides reposent, entraine l’effondrement du château de cartes. Informons car la peur doit disparaitre en même temps que les tests PCR avant que les gouvernants au service du vaccin ne trouvent un moyen de les remplacer pour poursuivre leur entreprise de panique.   Remercions les avocats de la commission extraparlementaire allemande qui a initié les enquêtes auprès des experts internationaux en vue d’un Nuremberg du Covid19 et stimulé les juristes internationaux pour mettre en évidence la supercherie des tests Covid et des mesures dramatiques qui en ont découlé et ruiné dors et déjà des milliers, voire millions de personnes dans le monde.  Diffusons leurs travaux afin que la tricherie ne soit plus cachée et que les citoyens du monde cessent d’avoir peur, et retrouvent leurs forces pour défendre leur liberté.

 

La vidéo de l’avocat Reiner Fuellmich (liens dans le premier article sur le Nuremberg du covid vidéo YouTube) a été censurée par YouTube. Son discours, dans lequel il décrit les mesures Corona comme un « crime contre l’humanité », a été partagé 670 000 fois sur YouTube - la version anglaise encore plus d'un million de fois.

 

[1] Our reference (always indicate) Date Z-99/20-rf/nw23.11.2020 Wodarg, Dr Wolfgang./. Kreißel, Philip Plainte du Dr. med. Wolfgang Wodarg, Wiesenweg 40, 24646 Gardien - Demandeur - représenté par : Rechtsanwälte Dr. Fuellmich & Associates, Senderstrasse 37 à 37077 Göttingen contre Philip Kreißel, [adresse] - Défendeur - pour omission, révocation et compensation monétaire. Montant provisoire du litige : 250.000 € Nous nous désignons comme représentants du plaignant

[2] En France au moins 800 enfants dont les familles ont bien du mal à se faire indemniser.

[3] Nous avons signalé en octobre le projet de Nuremberg 2 contre les responsables de cette fausse pandémie et des conséquences économiques, psychiques sociales tragiques.

Nuremberg-Covid : les confinements furent inutiles, et le demeurent (3)

Nuremberg-Covid : un crime contre l'humanité qui doit être jugé !

Vers la mise en place d'un Nuremberg du Covid – site ripostelaique.com 

[4] Kurzbericht_Corona-Ausschuss_14-09-2020-1-4.pdf   voir leurs informations sur leur site

[5] Pandemic Exposes How Science Is Suppressed for Political, Financial Gain • Children's Health Defense

[6] Les implications capitales de la jurisprudence portugaise concernant les tests PCR (francesoir.fr)

[7] „WERKZEUG ZUR PANIKMACHE“

Harsche Kritik an Corona-Lockdown : Anwalt Reiner Fullmich greift Virologen Drosten und RKI-Chef Wieler an

[8]  Penser aux morts de Rivotril dans les EHPAD et à l’interdiction aberrante de l’usage de l’hydroxychloroquine par le ministre de la santé en France. Le chiffre de morts de Rivotril serait au moins de 10000 morts et les décès sont aussi en rapport avec les abandons de soins des maladies chroniques ou non détectées pendant les confinements et les semaines qui ont suivi (infarctus, accidents vasculaires cérébraux, cancers non traités et non dépistés etc.

 Non aux reconfinements mortifères, même locaux ! – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

[9] Rappelons qu’en France malgré les transferts théâtraux en avion ou TGV de quelques patients, les cliniques privées étaient vides dans tout le pays, interdites de soins normaux par le plan Blanc imposé par Edouard Philippe quelques jours avant le confinement (réservées aux urgences jugées telles par les ARS et non le chirurgien ou le malade) et qu’on ne leur envoyait aucun malade covid19 sauf à quelques exceptions. A noter qu’actuellement les cliniques privées ont dû à nouveau annuler de nombreux malades sur ordre des ARS alors que la pseudo deuxième vague est finie et que les services hospitaliers ne sont pas saturés.

[10] Notons que le CDC américain a récemment avoué que seulement 6 % des patients classés morts de covid sont réellement morts à cause du Covid. En France même le ministre a avoué récemment devant le sénat qu’il était difficile de faire la part de décès dus au covid ou associés au covid.

[11] De fait la plainte a été déposée le 23 novembre 2020  Klage des Dr. med. Wolfgang Wodarg, Wiesenweg 40, 24646 Warder – Kläger – Prozessbevollmächtigte: Rechtsanwälte Dr. Fuellmich & Associates, Senderstrasse 37 in 37077 Göttingen gegen Philip Kreißel, [Anschrift] – Beklagter – wegen Unterlassung, Widerruf und Geldentschädigung. Vorläufiger Streitwert: € 250.000 Wir bestellen uns zu Prozessbevollmächtigten des Klägers.

Auteur(s): FranceSoir