jeudi 30 avril 2020

Questions ouvertes à propos de la situation liée au covid-19...


Qu’en est-il de la désinformation sur le covid-19, de la masse d’informations et de la manipulation flagrante des chiffres ?

Qu’en est-il de l’incidence du manque de lits de réanimation [6000 en France] sur les motifs du confinement ?

Quel est le danger du provisoire qui devient définitif à propos de toutes les lois liberticides, supposées temporaires, votées durant le confinement ?

Comment le parent des familles monoparentales a-t-il ou a-t-elle pu effectuer ses courses en laissant son enfant ou ses enfants à la « maison » ?

Que penser des conséquences du confinement dans les Ehpad où bien des résidents sont isolés dans leur chambre, privés de la visite de leurs proches, privés arbitrairement des contacts humains qui apportent du baume au cœur, perdent le goût de vivre et se laissent mourir de désespoir ?

Dans ce régime carcéral, combien de personnes âgées ont fait une chute, cloitrées dans leur chambre, et sont restées plusieurs heures par terre avant d’être secourues ?

Comment imaginer la cascade d’effets indésirables graves qui vont résulter du confinement, de cette séquestration arbitraire et liberticide ?

Un des motifs de cette épidémie opportune, de ce confinement, de cette terreur ressentie par les personnes vulnérables suite aux peurs véhiculées à tout va, serait-il, outre de nous contrôler, de nous enjoindre à nous faire vacciner sans réfléchir aux risques avérés des vaccins expérimentaux ?

Qu’en est-il du serment d’Hippocrate ?

Faudra-t-il reconquérir nos libertés, qui s’amenuisent dangereusement, dans la révolte et la désobéissance civile ? Saurons-nous nous libérer de la férule des gouvernants, et de leurs absurdités politiques, qui accaparent tous les pouvoirs en cherchant à nous tenir en bride en nous contrôlant, en restreignant nos mouvements, en nous surveillant ?

À l’image de la série des années soixante-dix, « L’Âge de cristal », où tout le monde mourait par manipulation des croyances à l’âge de trente ans, allons-nous baisser les bras ou agir comme Logan et Jessica ?

Cette épidémie serait-elle une mystification qui relève de la fiction hypnotique plutôt que de la réalité ?

Qu’en est-il de l'influence de nos pensées sur notre corps en cette période défaitiste baignée de peurs ? Qu’en est-il de l'influence de nos pensées qui se concentrent trop fortement autour de nos craintes, de nos peurs ou de nos préoccupations ?

mardi 28 avril 2020

La mort est un processus normal...


La mort est un processus associé à de grands agissements, méthodes et manigances des sociétés mis en place pour la repousser aussi longtemps que possible. Toutefois, certaines de ces actions, aux répercussions considérables, sont disproportionnées au regard de ce processus normal qui se met en place à la naissance puisque la mort peut intervenir à tous les âges de la vie dès le premier souffle. La peur, le pouvoir, l’argent sont souvent les moteurs de ces décisions qui, à l’exemple du confinement, provoquent plus de morts et de souffrances que la simple confiance en la vie.

Accepter d’être de passage sur Terre et garder présent à l’esprit que chaque jour peut être le dernier, permet de rester conscient de cette évidence finale que nos sociétés occidentales refusent d’admettre en la considérant comme un échec à l’image de la vision de la médecine et de la chirurgie dont les industries de la « santé » et leurs corollaires, au puissant marketing, figurent parmi les organisations les plus influentes au monde, car il y a énormément d’argent à gagner sur le dos de la marée humaine qui suit majoritairement leurs recommandations comme des moutons de Panurge apeurés par les maladies.

Au regard de la population mondiale actuelle avoisinant les 8 milliards d’Humains, dans le cadre de ce « bref » passage de ces Humains sur Terre, il meurt environ 70 à 80 millions de personnes chaque année, soit plus de 1 350 000 personnes chaque semaine… et on nous parle d’une supposée épidémie, aux conséquences humaines, économiques, sociétales sans précédents, qui totaliserait à ce jour quelque 200 000 morts dans le monde, soit quelque 12 000 morts par semaine en divisant ce chiffre par 17 (semaines depuis le début de l’année).


https://fr.statista.com/statistiques/1101324/morts-coronavirus-monde/

On totalise 1 350 000 personnes mortes « naturellement » chaque semaine et 12 000 personnes mortes du covid-19 par semaine… Si le ridicule tuait, nous serions en pleine pandémie !...

Le risque de la promenade sans formulaire en France !?...


lundi 20 avril 2020

La mort peut survenir inopinément...


La mort peut survenir inopinément, indépendamment de cette supercherie opportune du coronavirus, source de peurs irraisonnées, dont les conséquences individuelles dramatiques sans rapport avec la santé dues au confinement ne seront jamais connues.

L’acteur américain d'origine russe Anton Yelchin, qui jouait magistralement le rôle de Bobby dans le film « Cœurs perdus en Atlantide » que nous avons regardé hier, est mort inopinément le mardi 19 juin 2016 dans sa vingt-huitième année, tué accidentellement chez lui à San Fernando par sa propre voiture. Il avait incarné Pavel Chekov dans la trilogie Star Trek.

La peur psychologique, mauvaise conseillère, attire ce qui vous effraie ; prenez garde !...




dimanche 19 avril 2020

Coronavirus...

La vie des citoyens devrait être quelque chose d’agréable et une expérience dénuée de stress, non fondée sur les contraintes actuelles injustifiées. Il est essentiel que les choses soient simples pour que nous puissions apprécier notre vie. Henry David Thoreau disait «  Simplify, simplify ». Le développement de la crise sanitaire démontre une mise en scène complexe de la réalité par le gouvernement et les médias qui dissimulent l’exactitude des faits dans une incohérence chaque jour plus flagrante.

Je pense au mot « anarchie », manipulé et utilisé assez fréquemment de façon erronée, et il me vient à l’esprit une citation, une définition de Pierre Kropotkine qui se rapproche du fonctionnement de notre société : « Anarchisme : nom donné à un principe ou à une théorie de la vie et de la conduite en vertu de laquelle la société est conçue sans gouvernement. Dans une telle société, l’harmonie est obtenue, non pas par la soumission à la loi ou par l’obéissance à une autorité quelle qu’elle soit, mais par des ententes librement consenties entre les divers groupes, territoriaux et professionnels, formés librement pour assurer la production et la consommation, ainsi que pour satisfaire la variété infinie des besoins et des aspirations de tout être civilisé. »

samedi 18 avril 2020

Portons le masque V pour Vendetta...



Avec une mauvaise foi évidente, le matraquage et la propagande étatique et médiatique terrorisent les populations depuis nombre de semaines et justifient le confinement en laissant supposer que chacun pourrait être un « tueur » potentiel. L’immunité collective, empêchée par le confinement, peine à se faire naturellement. La dictature qui terrorise de peur bien des personnes, la séquestration à domicile, les violences verbales, l’interdiction d’aller et de venir, la menace de la vaccination obligatoire, les traitements médicaux subis sans un consentement libre et éclairé, portent une atteinte grave et inacceptable à nos libertés fondamentales.
Pour effectuer une résistance civile, à l'image de Henry David Thoreau à son époque, au lieu de porter le masque médical qui fatigue le cœur, ne devrions-nous pas porter le masque de "V pour Vendetta" pour affirmer et afficher notre insoumission. Le masque de Guy Fawkes, avec son sourire figé, insolent et insondable, fut le symbole de toutes les luttes. Refusons la peur et la manipulation planétaires, car l’humanité n’est pas en danger à cause du nouveau coronavirus.
Aujourd’hui, tous les décès semblent avoir une seule et unique cause, le covid-19, c’est faux ! Les gens continuent de mourir des causes de l’obésité, du tabagisme, de l’insuffisance rénale, de l’insuffisance respiratoire, de l’insuffisance cardiaque, de cancer... qui sont souvent dus à une mauvaise hygiène de vie, alimentaire notamment, comme le dénonce, preuves à l’appui, « L’enquête Campbell ». Pensons aussi aux infections dites nosocomiales que l’on attrape à l’hôpital. La vieillesse est aussi une cause de décès, car nous sommes mortels et de passage sur Terre…

mercredi 15 avril 2020

Qu’en est-il de la crédibilité de nos sociétés ?

Selon la FAO [Food & Agriculture Organisation] l'abattage des animaux pour fournir de la viande représente plus de 2000 animaux tués par seconde, soit 65 milliards d'animaux tués chaque année.
Moins de 120 000 êtres humains morts du covid-19 à ce jour et plus de 18 milliards d’animaux tués depuis le début de l’année !... Qu’en est-il de la crédibilité de nos sociétés ?

Il est facile de voir la paille dans l’œil du voisin et ne pas voir la poutre dans le sien…

mercredi 8 avril 2020

Le confinement participe-t-il à perpétuer la crise sanitaire ?

Le confinement participe-t-il à perpétuer la crise sanitaire ?

Durant cette crise sanitaire, où l’incohérence est reine, les politiques et les médias se servent de la tactique de la controverse pour saper et discréditer les idées simples, pour mettre des bâtons dans les roues des personnes au bon sens avéré, pour semer la confusion dans l’esprit du public et pour amoindrir au maximum les mesures faciles et efficaces. La controverse provoque des troubles sociaux. Les dirigeants et les experts sont-ils en train de marcher sur la tête ? Une autre marche est toutefois bien plus efficace…
Le bon sens proteste. Le confinement participe au développement du virus dans les organismes humains, car le confinement empêche de s’oxygéner, d’aérer les poumons. La marche booste le corps. La marche développe les capacités cardiaques et améliore la circulation sanguine ; cela permet au système immunitaire de s’activer dans tout le corps. Le manque de rayons solaires participe à la baisse de l’immunité, car la vitamine D qui constitue un antibiotique naturel permet l'activation du système immunitaire de défense. Les cellules de l’immunité doivent d’abord trouver de la vitamine D naturellement offerte par le soleil qui permet de la synthétiser pour tuer les bactéries et les virus. Des recherches menées après la fameuse pandémie de grippe espagnole de 1918 où montré que les marins qui travaillaient toujours en extérieur au soleil n’avaient pas été contaminés, alors que les personnes confinées étaient contaminées.

Démocratie autoritaire...


J’emprunte le fond d’une pensée de Gabriel Jaraba, professeur d'université, journaliste , écrivain et musicien, à propos de la crise catalane, dévoilée dans le livre « Un appartement sur Uranus »  de Paul Beatriz Preciado dont j’ai terminé la lecture hier soir : « La crise sanitaire est une expérience mondiale dont la mission stratégique consiste à établir jusqu’à quel point les citoyens et les institutions sont disposés à tolérer une démocratie autoritaire ».

Inquiétant !

La réaction des peuples est quasi nulle ; des moutons de Panurge apeurés qui se laissent mener par le bout du nez. Après cette crise, nous verrons si le comportement des humains va changer ou si la routine va à nouveau l’emporter. Les bonnes résolutions de certains vont-elles fondre au soleil, car les conditionnements familiaux, sociétaux, religieux et autres pèsent énormément dans la balance du libre arbitre. Il y a souvent un gouffre entre la parole et l’action. Vivre en conscience implique de se heurter aux diktats et aux préjugés qui semblent proliférer bien plus que le virus depuis le début du millénaire. « Le vingt et unième sera spirituel ou ne sera pas », disait André Malraux. Sommes-nous sur le bon chemin ? Vivre en conscience implique de faire face à l'inéluctabilité de la mort pour chacun et de s'y préparer ; bien des humains en sont loin. Les peurs actuelles liées au virus en témoignent…

mercredi 1 avril 2020



Quelques informations concernant le Virus Covid-19...

Le Monde 


Comment différencier ce virus d'autres maladies, comme la bronchite ou la grippe saisonnière ?
Il n'est pas possible de différencier la grippe saisonnière du coronavirus sur la simple base de symptômes. Ils ne sont pas spécifiques, puisque dans les deux cas, le malade sera fiévreux et aura des problèmes respiratoires. Seul un test diagnostic permet de distinguer le SARS-CoV-2 d'une grippe hivernale ou d'une bronchite.
Après un prélèvement cellulaire, un laboratoire d'analyse spécialisé permettra, en quelques heures, de vérifier si la souche virale est celle du SARS-CoV-2.

Que sait-on de la contagiosité de ce virus ?
Le virus est au moins aussi contagieux que son ancêtre, le SRAS-CoV. La majorité des études publiées en janvier 2020 montre que le taux de reproduction de base du virus, c'est-à-dire le nombre moyen de personnes qu'un malade va infecter, est d'environ 2,6 (compris entre 1,4 et 4,13). Le virus a donc un indice de contagiosité qu'on peut qualifier de modéré : il est bien moindre que celui des maladies les plus infectieuses, mais se situe nettement au-dessus de 1, ce qui lui confère un potentiel épidémique certain.

Que sait-on de la létalité de ce virus ?
Le taux de létalité du virus, c'est-à-dire le rapport entre le nombre de cas détectés et de personnes décédées, est en moyenne de 3,4 %, ce qui est trois fois moins que le SRAS qui sévissait en 2003 (9,6 %). Mais ce taux varie entre les territoires touchés, il est le plus élevé dans la province du Hubei d'où est partie l'épidémie (3,96 %). Il est également élevé en Italie (3,1 %). Au Japon ou en Corée du Sud, qui sont aussi très affectés, le taux de létalité est par contre plus faible ( < 1 %).

Quel est le profil des personnes mortes jusqu'à maintenant ?
Selon l’étude du Centre chinois de contrôle et prévention des maladies, le Covid-19 est particulièrement mortel pour les personnes âgées ou ayant une autre pathologie, comme le diabète, l'asthme ou les maladies cardiaques (comorbidité). Si le nombre de contaminés est plutôt bien réparti entre les tranches d’âges à partir de 30 ans, le taux de létalité est bien plus élevé à partir de 60 ans.

Quels sont les stades de la maladie ?
Comme dans les autres maladies infectieuses, un individu qui a contracté le SARS-CoV-2 va connaître plusieurs phases. D’abord l’incubation, puis la phase symptomatique, avec des signes cliniques, et enfin, la guérison ou, dans les formes sévères, dans une proportion de l’ordre de 3 % des cas, le décès, notamment chez des personnes présentant d’autres maladies ou vulnérables du fait de défenses immunitaires affaiblies.
Beaucoup de formes mineures passent certainement inaperçues et ne sont pas prises en compte dans les bilans des cas et des guérisons. La principale question en suspens pour évaluer la propagation du SARS-CoV-2 est sa période de transmission. Enfin, il semblerait que la réinfection par ce virus soit possible chez les personnes n’ayant eu qu’une infection de faible ampleur et qui n’auraient pas développé suffisamment d’anticorps spécifiques. Mais cela reste à confirmer.

A quel moment parle-t-on d'une pandémie ?
Selon la définition officielle de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), « une pandémie survient lorsqu’un nouveau virus apparaît et se propage dans le monde entier, en l’absence d’immunité dans la grande majorité de la population ». D’après le dictionnaire Larousse, une pandémie (du grec pan = tout et demos = peuple) est « une épidémie qui s'étend à toute la population d’un continent, voire au monde entier ». L’OMS introduit désormais le terme : le monde doit se préparer à une « éventuelle pandémie », a estimé l’organisation, lundi 24 février, jugeant « très préoccupante (...) l’augmentation soudaine » du nombre de nouveaux cas en Italie, en Corée du Sud et en Iran. Mais « pour l’instant, nous n’assistons pas à la propagation mondiale non confinée de ce virus, et nous n'observons pas de cas sévères ou de morts à grande échelle. »