jeudi 21 mai 2020


« Il n'y a de vent favorable

pour qui ne sait quel port gagner. »

Sénèque

 

 

 

Mercredi 20 mai 2020 - Confinement jour 67



Voici le soixante-septième jour de ce processus de confinement et nous sommes bien vivants dans cette situation de crise où les abus de pouvoir sont légion.

Le soleil illumine l’horizon de tons rosés et ambre. La mer reste tranquille et les hirondelles tournent dans le ciel d’azur.

Le 27 mai 2020, les députés doivent voter pour l’autorisation de l’application « StopCovid ». Cette dernière permet de signaler les personnes atteintes par la maladie du covid-19. Il paraît qu’elle sera gratuite et uniquement sous le couvert du volontariat. Deux petites remarques concernant ce logiciel installé sur les téléphones portables (sauf sur iPhone, paraît-il).

D’abord, elle me fait penser à la crécelle, un instrument de musique idiophone datant du Moyen Âge, aussi appelé tartuleuil ou brouan. On l'utilisait afin d'avertir du passage de personnes infectieuses, atteintes de maladies redoutées au Moyen Âge : la lèpre, la peste. Finalement, notre civilisation qui se dit avancée est encore restée à l’ère médiévale !

Ensuite, notre société est vraiment maniaque de la loi. Nos représentants sont vraiment des maniaques de la loi. Ils légifèrent pour tout et pour rien. Consacrer des minutes pour voter l’autorisation d’une application sur les smartphones, c’est vraiment une perte de temps. Les politiciens sont devenus des tyrans voulant contrôler tout et tous. Ils recherchent comme des affamés la moindre parcelle de liberté afin de la limiter, de la maîtriser ; rien ne doit échapper à leur appétit vorace de contrôle.

Un autre exemple est le port du masque. Certains politiciens prétendent que c’est pour la sécurité de tous. Vraiment ? Quand les cas d’infection et les cas de décès dus au covid-19 baissent, quand tous les pays sont en déconfinement, il me semble curieux que le port du masque, non obligatoire lors du pic de l’épidémie, devienne tout d’un coup nécessaire et impératif. N’est-ce pas plutôt cet insatiable besoin de puissance et de pouvoir des politiciens ? Quand ces mêmes hypocrites de politiciens ont voté les « restructurations » des hôpitaux, avaient-ils en tête la sécurité sanitaire des citoyens ? Bien sûr que non ! Ceux-là mêmes qui imposent le port du masque sont les mêmes politiciens qui ont voté la diminution des dotations pour les hôpitaux !

Puis, j’en viens à ce fameux « état d’urgence sanitaire ». Je trouve curieux que les gouvernements tiennent tant à prolonger indéfiniment cette loi d’exception comme si nous étions en guerre. En quoi est-il nécessaire de posséder des pouvoirs extraordinaires pour appliquer le déconfinement ? Quand le pouvoir vous tient, il devient une véritable drogue. Vouloir les mains libres pour des mesures illimitées, pour quoi faire ? Pourquoi la loi normale ne permettrait-elle pas aux gouvernements actuels d’assurer la continuité de la vie quotidienne ? Rien. Monsieur Sánchez, le Premier ministre espagnol, a assuré que l'état d'urgence est "le seul moyen possible" de combattre le covid-19. Qu’est-ce qui empêche de lutter contre l’épidémie avec les lois normales ? Les pouvoirs exceptionnels ne sont-ils pas des armes contre les citoyens ? Des armes coercitives pour imposer la volonté du gouvernement contre celle du peuple ? Je trouve suspecte cette insistance des gouvernements à vouloir poursuivre cet état d’urgence sanitaire. Dans la vie de tous les jours, en quoi ces lois d’exception peuvent-elles apporter une réponse contre l’épidémie ? Vont-elles apporter une solution de guérison plus rapide pour celles et ceux qui sont malades ? Non ! Vont-elles éradiquer le virus ? Non ! Vont-elles permettre d’augmenter le nombre de lits en réanimation ? Non ! pas besoin de lois extraordinaires pour en construire.

Dans toute cette affaire, le vrai problème est que les gouvernements voient les citoyens comme des criminels ou, pire, comme des idiots qui ne savent pas se protéger contre les maladies.

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La crise sanitaire traversée met en lumière l’importance de prendre soin de soi et de sa santé. Être en forme rend plus fort et fait barrage aux virus. Mettre en place des habitudes de vie qui nous font du bien, c’est bon pour le moral. Prendre sa santé en main, c’est renforcer son immunité pour une vie épanouie...

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Poème du jour de Patrick du jeudi 21 mai 2020

Sans égard, sans scrupule
Ils ont construit un mur autour de nous
Le monde s’enferme sans remous
Aux mains d’une bande de crapules

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Yves Rasir écrit dans son billet du 20 mai : « Les politiciens sont dans une totale déconnexion de la réalité. […] Le confinement ne fait que renforcer les peurs irraisonnées des citoyens. (Ceux) habitués à ne pas paniquer n’ont guère à craindre de l’infection (du coronavirus). […] Cette  pseudo-pandémie est auto-réalisatrice, elle puise l’essentiel de sa mortalité dans le phénomène d’hystérie collective et dans l’effet létal de la frayeur de mourir. Pour la prochaine vague de grippe rebaptisée d’un nom plus effrayant, il faudra impérativement songer à protéger la société de ses dingues les plus dangereux, à savoir ceux qui ont semé l’épouvante sur les plateaux télé. »

 « Ne croyez pas que nous perdons notre « suspect » de vue : la piste vaccinale, explorée dans le Néosanté du mois de mai,  est au contraire le principal facteur qui nous paraît pouvoir expliquer les flambées épidémiques localisées.  Malheureusement, la journaliste qui suit cette piste pour nous doit interrompre ses activités pendant un mois, pour raison privée.  Mais des informations intéressantes continuent à arriver.  Ainsi, il s’avère que l’Italie a été le théâtre de grandes campagnes anti-grippales depuis le mois de septembre. Et que le vaccin employé – appelé VIQCC – est un nouveau modèle  « quadrivalent » très différent des précédents. Et que la ville de Bergame, épicentre du fléau dans la péninsule, a lancé deux vaccinations massives dans les deux mois qui ont précédé la tragédie survenue en Lombardie. Dès le mois de janvier, le Dr Alex Vasquez avait lancé l’alerte sur les risques de ce nouveau vaccin produit sur culture de cellules animales. Selon Sara Cunial, la courageuse députée qui rue dans les brancards à la tribune du parlement, 40% des Italiens décédés du Covid  auraient été  vaccinés avec ce cocktail antigrippal.  Dans la plupart des pays riches, 50% des + de 65 ans sont vaccinés chaque année contre la grippe saisonnière. Et le pourcentage de 90% est souvent atteint dans les maisons de retraite. On doit plus que jamais s’interroger sur le bien-fondé de l’immunisation artificielle et sur ses dangers dissimulés. »

« A contrario,  la surcharge pondérale pèse d’un grand poids dans la mortalité attribuée au virus.  Les études ont montré qu’un surpoids important  augmente fortement le risque de développer une forme  sévère  de Covid-19 et  qu’il est un facteur de très mauvais pronostic vital. Aux  États-Unis, où plus  d’une personne sur trois (36%) est obèse, l’embonpoint est même désigné comme le principal facteur aggravant et celui qui a conduit beaucoup de jeunes hommes et femmes aux soins intensifs.  Mais le même constat a été fait en Europe, où beaucoup de lits de « réa » étaient occupés par des personnes en surpoids prononcé. De nombreux mécanismes peuvent expliquer la susceptibilité accrue des patients obèses face à l’agent infectieux : les déséquilibres hormonaux, des lacunes de l’immunité et la sédentarité conjugueraient leurs effets pour favoriser le Covid 19 et accroître sa sévérité.  C’est au niveau de l’appareil respiratoire que la faiblesse immunitaire serait la plus problématique, d’autant que la mécanique ventilatoire et la mobilité du diaphragme peuvent être entravées par la graisse abdominale.  Et comme le ressenti de peur affecte particulièrement la respiration, il est (bio)logique que celle-ci soit affectée par la psychose ambiante. C’est ce qui a été expliqué par deux articles publiés dans le Néosanté du mois de mai. »            www.neosante.eu/dingue-le-covid-a-fui-les-fous/

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