« Il n'y a de vent
favorable
pour qui ne sait
quel port gagner. »
Sénèque
Mercredi 20 mai 2020 - Confinement
jour 67
Voici le soixante-septième
jour de ce processus de confinement et nous sommes bien vivants dans cette
situation de crise où les abus de pouvoir sont légion.
Le soleil
illumine l’horizon de tons rosés et ambre. La mer reste tranquille et les
hirondelles tournent dans le ciel d’azur.
Le 27 mai
2020, les députés doivent voter pour l’autorisation de l’application « StopCovid
». Cette dernière permet de signaler les personnes atteintes par la maladie du
covid-19. Il paraît qu’elle sera gratuite et uniquement sous le couvert du
volontariat. Deux petites remarques concernant ce logiciel installé sur les
téléphones portables (sauf sur iPhone, paraît-il).
D’abord, elle
me fait penser à la crécelle, un instrument de musique idiophone datant du
Moyen Âge, aussi appelé tartuleuil ou brouan. On l'utilisait afin d'avertir du
passage de personnes infectieuses, atteintes de maladies redoutées au Moyen Âge
: la lèpre, la peste. Finalement, notre civilisation qui se dit avancée est
encore restée à l’ère médiévale !
Ensuite, notre
société est vraiment maniaque de la loi. Nos représentants sont vraiment des
maniaques de la loi. Ils légifèrent pour tout et pour rien. Consacrer des
minutes pour voter l’autorisation d’une application sur les smartphones, c’est
vraiment une perte de temps. Les politiciens sont devenus des tyrans voulant
contrôler tout et tous. Ils recherchent comme des affamés la moindre parcelle
de liberté afin de la limiter, de la maîtriser ; rien ne doit échapper à
leur appétit vorace de contrôle.
Un autre
exemple est le port du masque. Certains politiciens prétendent que c’est pour
la sécurité de tous. Vraiment ? Quand les cas d’infection et les cas de décès
dus au covid-19 baissent, quand tous les pays sont en déconfinement, il me
semble curieux que le port du masque, non obligatoire lors du pic de l’épidémie,
devienne tout d’un coup nécessaire et impératif. N’est-ce pas plutôt cet
insatiable besoin de puissance et de pouvoir des politiciens ? Quand ces mêmes
hypocrites de politiciens ont voté les « restructurations » des hôpitaux,
avaient-ils en tête la sécurité sanitaire des citoyens ? Bien sûr que non !
Ceux-là mêmes qui imposent le port du masque sont les mêmes politiciens qui ont
voté la diminution des dotations pour les hôpitaux !
Puis, j’en
viens à ce fameux « état d’urgence sanitaire ». Je trouve curieux que les
gouvernements tiennent tant à prolonger indéfiniment cette loi d’exception comme
si nous étions en guerre. En quoi est-il nécessaire de posséder des pouvoirs
extraordinaires pour appliquer le déconfinement ? Quand le pouvoir vous tient,
il devient une véritable drogue. Vouloir les mains libres pour des mesures
illimitées, pour quoi faire ? Pourquoi la loi normale ne permettrait-elle pas
aux gouvernements actuels d’assurer la continuité de la vie quotidienne ? Rien.
Monsieur Sánchez, le Premier ministre espagnol, a assuré que l'état d'urgence
est "le seul moyen possible"
de combattre le covid-19. Qu’est-ce qui empêche de lutter contre l’épidémie
avec les lois normales ? Les pouvoirs exceptionnels ne sont-ils pas des armes
contre les citoyens ? Des armes coercitives pour imposer la volonté du
gouvernement contre celle du peuple ? Je trouve suspecte cette insistance des
gouvernements à vouloir poursuivre cet état d’urgence sanitaire. Dans la vie de
tous les jours, en quoi ces lois d’exception peuvent-elles apporter une réponse
contre l’épidémie ? Vont-elles apporter une solution de guérison plus rapide
pour celles et ceux qui sont malades ? Non ! Vont-elles éradiquer le virus
? Non ! Vont-elles permettre d’augmenter le nombre de lits en réanimation
? Non ! pas besoin de lois extraordinaires pour en construire.
Dans toute
cette affaire, le vrai problème est que les gouvernements voient les citoyens
comme des criminels ou, pire, comme des idiots qui ne savent pas se protéger
contre les maladies.
_________
La crise
sanitaire traversée met en lumière l’importance de prendre soin de soi et de sa
santé. Être en forme rend plus fort et fait barrage aux virus. Mettre en place
des habitudes de vie qui nous font du bien, c’est bon pour le moral. Prendre sa
santé en main, c’est renforcer son immunité pour une vie épanouie...
_________
Poème du jour de
Patrick du jeudi 21 mai 2020
Sans égard, sans scrupule
Ils ont construit un mur autour de nous
Le monde s’enferme sans remous
Aux mains d’une bande de crapules
_________
Yves Rasir écrit dans son billet du 20 mai :
« Les politiciens sont dans une totale
déconnexion de la réalité. […] Le confinement ne fait que renforcer les peurs
irraisonnées des citoyens. (Ceux) habitués à ne pas paniquer n’ont guère à
craindre de l’infection (du coronavirus). […] Cette pseudo-pandémie est auto-réalisatrice, elle
puise l’essentiel de sa mortalité dans le phénomène d’hystérie collective et
dans l’effet létal de la frayeur de mourir. Pour la prochaine vague de grippe
rebaptisée d’un nom plus effrayant, il faudra impérativement songer à protéger
la société de ses dingues les plus dangereux, à savoir ceux qui ont semé
l’épouvante sur les plateaux télé. »
« Ne croyez pas que nous perdons notre «
suspect » de vue : la piste vaccinale, explorée dans le Néosanté du mois de
mai, est au contraire le principal
facteur qui nous paraît pouvoir expliquer les flambées épidémiques localisées. Malheureusement, la journaliste qui suit
cette piste pour nous doit interrompre ses activités pendant un mois, pour
raison privée. Mais des informations
intéressantes continuent à arriver.
Ainsi, il s’avère que l’Italie a été le théâtre de grandes campagnes
anti-grippales depuis le mois de septembre. Et que le vaccin employé – appelé
VIQCC – est un nouveau modèle «
quadrivalent » très différent des précédents. Et que la ville de Bergame,
épicentre du fléau dans la péninsule, a lancé deux vaccinations massives dans
les deux mois qui ont précédé la tragédie survenue en Lombardie. Dès le mois de
janvier, le Dr Alex Vasquez avait lancé l’alerte sur les risques de ce nouveau
vaccin produit sur culture de cellules animales. Selon Sara Cunial, la
courageuse députée qui rue dans les brancards à la tribune du parlement, 40%
des Italiens décédés du Covid auraient
été vaccinés avec ce cocktail
antigrippal. Dans la plupart des pays
riches, 50% des + de 65 ans sont vaccinés chaque année contre la grippe
saisonnière. Et le pourcentage de 90% est souvent atteint dans les maisons de
retraite. On doit plus que jamais s’interroger sur le bien-fondé de
l’immunisation artificielle et sur ses dangers dissimulés. »
« A
contrario, la surcharge pondérale pèse
d’un grand poids dans la mortalité attribuée au virus. Les études ont montré qu’un surpoids
important augmente fortement le risque
de développer une forme sévère de Covid-19 et qu’il est un facteur de très mauvais
pronostic vital. Aux États-Unis, où
plus d’une personne sur trois (36%) est
obèse, l’embonpoint est même désigné comme le principal facteur aggravant et
celui qui a conduit beaucoup de jeunes hommes et femmes aux soins
intensifs. Mais le même constat a été
fait en Europe, où beaucoup de lits de « réa » étaient occupés par des personnes
en surpoids prononcé. De nombreux mécanismes peuvent expliquer la
susceptibilité accrue des patients obèses face à l’agent infectieux : les
déséquilibres hormonaux, des lacunes de l’immunité et la sédentarité
conjugueraient leurs effets pour favoriser le Covid 19 et accroître sa
sévérité. C’est au niveau de l’appareil
respiratoire que la faiblesse immunitaire serait la plus problématique,
d’autant que la mécanique ventilatoire et la mobilité du diaphragme peuvent
être entravées par la graisse abdominale.
Et comme le ressenti de peur affecte particulièrement la respiration, il
est (bio)logique que celle-ci soit affectée par la psychose ambiante. C’est ce
qui a été expliqué par deux articles publiés dans le Néosanté du mois de
mai. » www.neosante.eu/dingue-le-covid-a-fui-les-fous/
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