« Vous n'avez pas le loisir de choisir
quand et comment vous allez mourir.
Vous pouvez toutefois décider
comment vous aller vivre. »
Joan Baez
Samedi 30 mai 2020 - Confinement jour 77
Voici le soixante-dix-septième jour de ce processus de confinement et nous sommes bien vivants dans cette situation de crise où nous avons constaté que cette épidémie découle d’une grande manipulation.
Le ciel est d’azur et les hirondelles dansent dans les airs. Les premiers baigneurs s’installent sur la plage. Les vagues lèchent le sable mouillé. Les enfants rient en jouant avec le ressac incessant.
Qu’est-ce que la confiance ? La définition du Larousse est : « un sentiment de quelqu'un qui se fie entièrement à quelqu'un d'autre, à quelque chose. » L’objet de notre confiance doit être fiable, c’est-à-dire que nous pouvons lui accorder du crédit, de la crédibilité. Toute société, toute relation, reposent d’abord sur la confiance.
La crise sanitaire vient d’ébranler les derniers murs de confiance qui tenaient encore dans notre société. Depuis longtemps, les politiciens ont perdu toute crédibilité ; ils ne sont plus dignes de notre confiance. Depuis plusieurs années, la confiance envers la police s’est effritée, en effet, l’institution est devenue une force de répression envers les populations. Lointaine est l’idée qu’elle était au service des citoyens. Et maintenant, c’est le tour de la médecine et de la science.
Les médecins et les scientifiques ont montré lors de cette crise une incompétence patente. Nous avons eu droit à un défilé continu d’experts, de professeurs, de scientifiques, interrogés par les journaux, les radios ou les télévisions pendant la crise du covid-19 et avec une succession de propos contradictoires à donner le tournis. Comme l’écrit justement Laurent Joffrin dans Libération : « Une "grippette" au début, un danger majeur trois semaines plus tard, les masques inutiles soudain devenus essentiels, les tests superfétatoires changés en panacée à un mois de distance, la chloroquine, potion magique pour les uns, poudre de perlimpinpin pour les autres, la "deuxième vague" inévitable devenue friselis à l’usage, le covid phénomène saisonnier disparu à l’été ou spectre toujours présent : tout et son contraire ».
Le problème demeure que nous confions notre santé à ces gens-là. Les gouvernements ont pris des décisions sous les avis (ou opinions) de ces experts-là. Comment les gouvernements ont-ils choisi dans ce concert contradictoire ? Pourquoi avoir suivi les recommandations de l’OMS dans un premier temps, puis effectuer un virage à 360° pour suivre les injonctions des autres experts ? Finalement, les populations ne savent plus vers qui se fier ! Pour ajouter un peu plus de confusion, l’OMS devient un enjeu politique et hégémonique entre les grandes puissances, un peu comme une arme « bactériologique » afin d’annihiler l’autre faction. Le président américain menace de quitter l’organisation parce qu’elle serait contrôlée par les Chinois. Les Chinois accusent les Américains d’ingérence dans les affaires internes chinoises en utilisant leur leadership au sein de l’OMS.
Et dans tout cela, où est l’Humain ? Où se trouve l’être unique que nous sommes tous ? Qui se soucie de notre bien-être ? Qui se préoccupe de notre quotidien ? Personne ! Si la société ne s’intéresse plus aux citoyens, alors la société a failli ; la société n’est plus digne de confiance. La crise sanitaire a révélé que la société n’existe plus ; elle est devenue une institution vide.
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Poème du jour de Patrick
Il y eut la puissance du fer
La terre en enfer
Il y eut la puissance des murs
La terre en armure
Il y a la puissance de la peur
La terre de la terreur
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Message de Dorothée dans les champs de pavots de Oz à destination des citoyens :
« Attention ! Ne vous endormez pas dans la prairie narcotique de vos peurs, sinon vous pourriez bien y passer le reste de votre vie assoupie ! »
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Témoignage d’une infirmière
suite à l’article de Yves Rasir de Néosanté du mercredi 27 mai :
« Bonjour.
En lisant le très intéressant article sur le port du masque, j'ai eu envie de vous faire part de ma petite expérience :
Au début des années 60, toute jeune infirmière nouvellement diplômée, j'ai travaillé plus de trois ans dans un service de pneumologie. La grande majorité des patients étaient des tuberculeux en attente de partir en sana dans les Alpes, pratiquement tous contagieux bien évidemment. Les soins strictement infirmiers m'occupaient la matinée seulement.Le reste du temps, je le passais avec les malades car je considérais que leur moral devait quand même être maintenu "presque" au beau fixe. Je parlais beaucoup avec eux et je me souviens que je faisais aussi... des parties de baby-foot.
Pensez-vous que les poignées étaient désinfectées ? Pensez-vous que je me lavais les mains toutes les cinq minutes ou que je portais un masque ? Le bacille était considéré comme virulent pourtant. Je ne me souviens pas avoir vu un cas de contamination parmi les soignants. Je n'y pensais pas et je n'avais pas peur. »
Dans le cadre de la construction d’un dossier pour dénoncer la gigantesque farce pandémique dont nous avons été les dindons, pour "flinguer" le mythe pasteurien du microbe contagieux et pour ne pas revivre cette psychose coronavirale délirante, Yves collecte des témoignages attestant que la contagiosité est un fantasme parascientifique sans fondement. Les personnes qui ont des témoignages similaires à raconter, peuvent les envoyer à info@neosante.eu.
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