jeudi 17 septembre 2020

Film « Blackbird »réalisé par Roger Michell... à voir absolument...

 


Le film « Blackbird » qui a été tourné en lumière naturelle pour mieux capturer les levers de soleil, sorti dans les salles le 23 septembre 2020, mettant en vedette notamment Susan Sarandon, Kate Winslet et Mia Wasikowska, place le spectateur face à sa propre mort…

Lily et son mari Paul décident de réunir leurs enfants et petits-enfants pour un week-end dans leur maison de campagne. Trois générations se retrouvent. Cette réunion de famille sera un adieu. Atteinte d'une maladie dégénérative incurable, Lily refuse de subir une fin de vie avilissante et a décidé de mettre fin à ses jours. Sa décision entraîne des bourrasques d’émotions, les non-dits s’expriment, les liens se redessinent… La scène du dîner de « Noël » offre magistralement à chacun de se dévoiler... L’espoir d’un au-delà s’éclaire dans les décors, avec le vol et les chants des oiseaux, avec la végétation qui s’exprime... 

Association pour le droit de mourir dans la dignité www.admd.net dont fait partie Nicolas Bedos, le fils de Guy…



Texte de Nicolas Bedos
Texte de Nicolas Bedos

mercredi 16 septembre 2020

Editions Néosanté - www.neosante.eu...

Néosanté : « Vaccin Covid : 10 autres raisons de dire non » www.neosante.eu/vaccin-covid-10-autres-raisons-de-dire-non et « Une grippe ou LA grippe ? » www.neosante.eu/une-grippe-ou-la-grippe.

https://covidinfos.net/covid19/jusqua-90-des-personnes-testees-positives-pourraient-etre-porteuses-dune-quantite-insignifiante-du-virus-selon-un-article-du-new-york-times/1925/.

Docteur Patrick Bellier, pneumologue, sur Cnews...

 

Docteur Patrick Bellier sur Cnews

Dans son cabinet de Sainte-Foy-lès-Lyon, dans la métropole lyonnaise, le pneumologue Patrick Bellier demande à ses patients de retirer leur masque durant la consultation, car cela l'empêche d'établir un véritable diagnostique. Autre argument avancé par ce médecin à contre-courant : le port du masque freinerait le développement de l'immunité collective au moment où la majorité des cas sont asymptomatique…

lundi 14 septembre 2020

"Humain 2.0" ? Un appel au monde pour se réveiller, lancé par le docteur Carrie Madej...

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« Êtes-vous prêt à devenir un Humain 2.0 ? » du docteur Carrie Madej

 Texte en français de la vidéo www.youtube.com/watch?v=ywuCRVJVDqs

 Alors, que pensez-vous de passer de l'humain version 1.0 à l'humain version 2.0 ? Et qu'est-ce que cette question veut dire ? Passer de l'humain tel que nous le connaissons à l'humain version 2.0 a quelque chose à voir avec le « transhumanisme. Si vous n'êtes pas familiers avec ce terme, le transhumanisme consiste à prendre des humains tels que nous les connaissons et de les fusionner à de l'intelligence artificielle. Un peu comme être dans le film « Matrix », si vous avez déjà vu ce film. Ça peut vous sembler cool, nous pourrions avoir des capacités surhumaines, peut être penser à quelque chose et que cette chose se produise, peut être avoir des capacités physiques qui seraient presque surhumaines. C'est ça l'idée, c'est ce que vous voyez dans les films de science-fiction. Pour ma part, en réfléchissant à ce sujet, je me dis : « bon, j'ai du temps, je pense que ça ne verra pas le jour avant de nombreuses années ». Cependant, cette question, cette idée, est présente maintenant et nous devons nous positionner. Et j'ai découvert qu'il fallait se positionner sur cette question, car j'ai fait des investigations sur le vaccin proposé pour la COVID-19. Et cette vidéo est mon cri d'alarme au monde. J'ai examiné les « pour » et les « contres », et cela m'effraie.

 Et je veux que vous sachiez, vous devez être très bien informés parce que ce nouveau vaccin n'est pas comme votre vaccin contre la grippe habituel. Il est très différent, est totalement nouveau. C'est quelque chose de complètement expérimental pour la race humaine. Et ça n'a rien à voir avec être un nouveau vaccin de plus. Il y a des nouvelles technologies qui sont en train d'être introduites avec ce vaccin qui peuvent changer comment nous vivons, qui nous sommes et ce que nous sommes, et très rapidement. Il y a certaines personnes dont vous connaissez peut-être le nom :

 -  Elon Musk, qui est le fondateur de Space X et Tesla Automotive

-  Ray Kurzweil, qui est un des dirigeants de Google

 Ce sont des transhumanistes autoproclamés. Ils pensent que nous devrions passer à l'humain version 2.0 et sont de très grands promoteurs de cette idée. Il y a beaucoup d'autres personnes dont vous reconnaîtrez peut-être les noms, qui sont aussi impliqués dans tout ceci. Je vous invite à faire des recherches de votre côté. Je pense que la manière la plus simple de vous expliquer tout ça, c'est de prendre un des leaders dans la course à la fabrication du vaccin et d'étudier un peu son histoire et comment il souhaite fabriquer le vaccin. Je pense que cela en dira long. Donc, par exemple, Moderna, est un des leaders dans la course à la fabrication du vaccin. Il faut savoir que Moderna a été fondée par une personne de Harvard, Derek Rossi, et ce chercheur a réussi à prendre de l'ARN modifié et de reprogrammer une cellule souche dans le corps et changer la fonction de cette cellule souche. Il l'a modifié génétiquement. Il a donc prouvé que vous pouvez modifier génétiquement quelque chose en utilisant de l'ARN modifié. Ils ont donc fondé l'entreprise Moderna sur ce concept. C'est un petit nouveau, qui n'existe pas depuis très longtemps. D'ailleurs, Moderna n'a jamais fabriqué de vaccins destinés aux humains auparavant, elle n'a jamais fabriqué de médicaments destinés aux humains auparavant. Ce vaccin sera leur première tentative. Vous devez savoir que Moderna a récemment été à la une, car comme toutes les entreprises qui fabriquent le vaccin [contre la covid-19], Moderna a accéléré le processus de fabrication du vaccin. Elle passe de la phase 1 à la phase 2 très, très rapidement. D'ailleurs, elle est passée de la phase 1 à la phase 3 dans ses essais entre Mars de cette année à aujourd'hui. C'est incroyable. Cela prend généralement 5 ou 6 ans. Comment en sont-ils capables vu les niveaux de sûreté et d'efficacité requis ? Il faut savoir qu'en phase 2, ils n'utilisent qu'entre 30 et 45 humains [pour les essais]. Moderna a utilisé 45 humains. Et dans le groupe-test avec le vaccin à forte dose, 100% des humains dans le groupe ont développé des effets secondaires systémiques. 100%. Et nous ne parlons que d'effets secondaires à court terme. Dans le groupe-test avec le vaccin à faible dose, 80% ont eu des effets secondaires systémiques. Nous n'avons aucune idée des effets secondaires à long terme, il faudrait beaucoup plus de temps pour ça, n'est-ce pas ? Peut-être des années. Mais nous savons, sur base d'études menées sur des animaux soumis à cette technologie, que nous pouvons nous attendre à une possible augmentation des taux de cancers, un accroissement de gènes mutés (ou mutagenèse), et de réactions auto-immunes. Par exemple, dans certaines études menées sur des furets [les scientifiques] ont constaté que lorsque le furet a été mis en présence du virus duquel [les scientifiques] essayaient de le protéger, après que le furet ait reçu le vaccin contre ce virus, le furet a développé une réaction immunitaire excessive causant une souffrance chez [l'animal]. Le furet avait plus d'inflammation pulmonaire, plus de liquide pulmonaire, et même des problèmes au foie. Le vaccin les a abîmés, ils ont eu une réponse [immunitaire] moins bonne. Ça, ce sont des réactions à long terme, et cela pourrait se voir avec ce vaccin [contre la covid-19] mais nous n'avons pas encore les données. Donc ça n'est pas sans risque.

 Et comment font-ils ça ? Ils proposent d'utiliser une plateforme. Permettez-moi de vous expliquer comment ils vont administrer le vaccin. Il y a une idée qui s'appelle « Plateforme à microaiguilles ». Cela a été développé par le MIT (Massachusetts Institute of Technology) et ils ont dit que cela pouvait être fabriqué en masse très facilement. C'est pour ça qu'ils proposent cette technologie [pour l'administration du vaccin], et plusieurs millions de vaccins pourraient être fabriqués rapidement. [Les vaccins] pourraient également être autoadministrés. L'idée est de prendre un pansement, que l'on achète pharmacie, il peut vous être expédié par Amazon ou UPS, ou un autre service d'expédition. Vous sortez [le pansement] du paquet, vous le posez sur votre main comme ceci, vous enlevez l'autocollant, et voilà, vous êtes vacciné. Comment cela est-il possible ? Dans ce pansement se trouvent de minuscules spicules, de toutes petites aiguilles, élaborées sur l'exemple de la morsure des crochets de la vipère. Dans ces petits spicules (ils disent que vous ne sentiraient presque rien), il y a de l'hydrogel. Dans cette substance Hydrogel, vous trouverez de l'enzyme Luciférase et plus du vaccin lui-même. C'est quoi [tous ces termes] ? Tout d'abord, vous recevez le vaccin qui est de l'ARN modifié ou de l'ADN modifié. Moderna. Dans cet ARN modifié, l'idée est que les microaiguilles vont percées vos membranes cellulaires, et ce morceau d'ARN synthétique, qui un code pour la partie du virus (ils pourront également utiliser de l'ADM synthétique pour coder la partie du virus) entrerait dans votre nucleus, et votre corps commencera à transcrire [le code], le lire, et fabriquer plus de cette partie du virus. Pourquoi voudrions-nous fabriquer plus de ce virus, ou de cette partie du virus ? L'idée est que votre corps saurait comment fabriquer des anticorps et aurait une meilleure réaction immunitaire. Et donc, quand vous le rencontrerez de nouveau à l'avenir [le virus], votre corps saurait comment le combattre. Et la réponse immunitaire serait meilleure. C'est ça l'idée. Le problème avec ça, c'est qu'ils utilisent un processus appelé « Transfection », et la Transfection est une manière avec laquelle nous fabriquons des organismes génétiquement modifiés. Je pense que vous connaissez ces fruits et légumes [OGM], ils ne sont pas aussi sains que la version naturelle [non-OGM] de ces fruits et légumes. On pourrait potentiellement extrapoler cela à l'homme. Si nous devenons génétiquement modifiés, nous ne serons pas aussi sains. Nous n'avons dans tous les cas pas d'études à long terme sur cela, c'est incroyable ! Et les fabricants de vaccins ont fait cette déclaration : « Ceci ne modifiera pas notre ADN, notre génome. » Moi, je dis que ça n'est pas vrai. Parce que si nous utilisons ce processus [de Transfection] pour créer des organismes génétiquement modifiés, pourquoi cela ne ferait-il pas la même chose chez l'homme ? Je ne sais pas pourquoi [les fabricants de vaccins] disent ça. Si vous regardez la définition de Transfection, vous lirez qu'il peut y avoir un changement temporaire de la cellule. Et je pense que les fabricants de vaccins misent là-dessus, sur le fait que c'est temporaire. Mais, il est possible que [le changement] se stabilise, soit intégré dans le génome, et devienne si stable qu'il commencera à se répliquer quand le génome se réplique. Ce qui veut dire que [ce changement] devient une partie intégrante du génome. Ce le risque que nous prenons. Il pourrait être temporaire ou permanent. Et nous ne le saurons pas avant des années plus tard, honnêtement. Donc voilà, nous avons quelque chose qui peut altérer notre génome. C'est une possibilité. Et un autre point là-dessus : s'ils modifient le génome, quels en seraient les effets ?

 Je vous ai mentionné tout à l'heure, certains des effets secondaires, mais nous devons aussi savoir qu'il s'agit d'un morceau d'ADN or d'ARN synthétique. Et s'il est absorbé par le génome d'un humain, c'est synthétique, ça n'est pas issu de la nature. Et si vous regardez l'arrêt de la Cour Suprême de Justice sur l'ADN ou les gènes synthétiques, ça peut être breveté. Et les brevets ont des propriétaires. Donc qu'est-ce cela veut dire pour nous ? Et si cela rentrait dans notre génome ? Est-ce que cela voudrait dire que Moderna, ou la Fondation Bill et Melinda Gates, ou le ministère de la Défense, toutes ces personnes impliquées dans les brevets, vont-ils en quelque sorte posséder une partie de notre génome ? C'est une possibilité, il faut que vous le sachiez. Donc cela n'est qu'une partie des éléments de livraison [du vaccin]. Juste une. Laissez-moi maintenant passer à la prochaine. Le prochain élément est une enzyme Luciférase. Ils l'ont nommé, ils l'ont breveté Luciférase. Je n'aime pas ce nom. Luciférase parce que [l'enzyme] a des propriétés bioluminescentes, ce qui veut dire qu'elle peut produire une lumière ou qu'elle a une source de lumière. Tout ceci serait sous la peau et vous ne pourrez pas le voir [à l'œil nu]. Le Luciférase est une idée pour qu'ils puissent s'assurer que vous êtes vaccinés. Ils ne font pas confiance aux dossiers médicaux ni à votre parole que vous avez été vacciné, ils veulent en être sûrs. Ils veulent s'assurer que [le vaccin] a été réussi. Une transfection réussie, une modification du génome réussie. Donc quand vous avez le Luciférase [sous la peau], avec un iPhone, ou une application spéciale sur le iPhone, vous scannez au-dessus de la zone [où le Luciférase a été injecté] et un code numérique, une empreinte numérique, un motif numérique s'affiche, quelque chose qui puisse confirmer que vous avez été vacciné. C'est votre carnet de vaccination. Ça donne également un moyen d'identification, un numéro, un code barre, une marque, peu importe ce que vous voulez l'appeler, un tatouage... C'est la même chose. Dorénavant, vous êtes devenu un « produit ». Donc, nous avons ça. Le troisième élément que j'ai mentionné, c'est l'Hydrogel. L'Hydrogel est en fait une invention de DARPA (Department of Advanced Research Projects Agency) [l'Agence des Projets de Recherche Avancée]. C'est un peu un groupe de science-fiction au sein du Département de la Défense, au Pentagone, du gouvernement des États-Unis. Ils font des inventions fantastiques. Et l'une d'entre elles est l'Hydrogel. « Hydrogel », vous pouvez regarder sur YouTube, « Profusa ». Profusa est l'une des entreprises. « DARPA ». Vous trouverez des petits clips de deux minutes où ils décrivent [la technologie de l'Hydrogel]. L'Hydrogel est de la nanotechnologie. Des petits robots microscopiques. Et ces petits robots (et je sais que ça paraît fou, je trouve ça encore fou moi-même, mais ça existe), ils peuvent se désassembler, réassembler, s'assembler, et fabriquer différentes choses. Donc avec cet Hydrogel, c'est concrètement de la nanotechnologie, donc c'est quelque chose de robotique ou quelque chose qui est de l'intelligence artificielle. Il a la capacité de se connecter avec de l'intelligence artificielle. Donc ça veut dire qu'un humain peut maintenant se connecter directement et recueillir de l'information de nos corps, se connecter avec son Smartphone, avec le Cloud, avec un autre appareil intelligent [« Smartware »]. Et une fois que c'est en place, ça sera 24 heures/24, 7jours/7, 365 jours par an. Pensez-y. Pensez combien cela pourrait modifier immédiatement notre vie privée, notre autonomie, nos libertés.

 [Cette technologie] peut recueillir des données telles que votre glycémie, votre oxygénation, votre pression artérielle. Toutes ces choses semblent géniales. Mais ça peut aussi recueillir de nombreuses autres choses. Ça peut recueillir, d'après ce qu'ils disent, vos émotions, votre cycle menstruel, votre activité, si vous êtes tombé, les nutriments dans votre corps, si vous avez un médicament. Cela a le potentiel de voir si vous avez pris une liste de substances. Ça a le potentiel de voir presque n'importe quoi de ce qui se passe dans votre corps. Et toutes ces informations vont où ? Cela n'a pas été abordé. Qui protège cette information ? Dans quels buts s'en servent-ils ? C'est vraiment très sérieux, les gars. Ils proposent de dévoiler [toutes ces technologies] dans le prochain vaccin. Une autre chose à savoir avec cette nanotechnologie, l'Hydrogel, la connexion à l'intelligence artificielle, tout comme votre portable, vous pouvez envoyer un texto, envoyer un e-mail, mais aussi, vous pouvez en recevoir en retour. Donc ça veut dire que nous pouvons recevoir de l'information. Quelles informations allons-nous réceptionner en nous ? Est-ce qu'elles pourraient affecter notre humeur, notre comportement ? Est-ce qu'elles affecteraient notre manière de penser, nos souvenirs ? Si vous n'avez pas regardé le film « Matrix », je pense que vous devriez, je pense qu'il y a des vérités dans ce film. Je vois tellement de choses mauvaises avec ce vaccin, et je vois que nous n'en parlons pas dans les grands médias. Et j'ai le sentiment que ces entreprises [qui sont impliquées dans la fabrication du vaccin] sont carrément en train de nous mentir quand ils disent que ça ne peut pas affecter notre ADN, car sur la base de toutes les définitions qu'ils utilisent, cela peut affecter notre ADN. Donc, je voulais que cette vidéo soit courte, car je voulais vous faire passer un message, je voulais que vous fassiez vraiment vos propres recherches. Donc, sachez qu'il y a énormément de risques que nous voyons ici, il faut vraiment que nous sachions si nous souhaitons passer de l'Humain version 1.0 à l'Humain version 2.0. Et laissez-moi aussi vous dire qu'il y a des noms très connus derrière ces vaccins. Vous allez toujours voir le Département de la Défense du gouvernement des États-Unis, parfois DARPA comme je vous l'ai dit. Pourquoi l'armée est-elle impliquée dans nos vaccins ? Vous voyez la Fondation Bill et Melinda Gates partout. Si vous cherchez, vous trouverez ce nom quasiment toujours. Revenons à la Fondation Bill et Melinda Gates. Regardons l'historique, regardons ce que cet homme représente. Sa famille vient d'une famille d’eugénistes. Que-ce que veut dire eugénique ? Contrôle de population. C'est-à-dire qu'il y a trop de personnes sur cette planète. Il est important de le savoir. Il a été filmé en train de dire qu'il pense qu'avec un très bon nouveau vaccin, nous pourrions réduire la population terrestre de 10 à 15%. Donc qui va rester et qui mourir ? Et qui est-il pour décider ? Il n'a aucune formation médicale, aucune formation en épidémiologie, aucune formation scientifique, il n'est pas médecin. Une formation de technicien informatique. Voilà ce qu'il a. J'aimerais également que vous réalisiez, je regarde toujours qui a un intérêt direct, quelles sont leurs motivations ? Quelle est la motivation [de Bill Gates] ? Nous connaissons déjà son historique familial. Ce qui m'inquiète le plus, c'est que DARPA, cette agence militaire, en plus de la Fondation Bill et Melinda Gates, est très intéressée par la recherche « Gene Drive », ou la Technologie « Gene Drive ». Ou la Technologie « Gene Extinction ». Et c'est exactement ce que ça semble être. En utilisant des mutations génétiques, par le biais de la Transfection par exemple, vous pouvez exterminer toute une espèce de la planète. Il propose d'utiliser [cette technologie] sur les moustiques en Afrique, par exemple. Mais, notre monde est un écosystème délicat. Qui peut dire qu'une espèce doit disparaître ? En détruisant une espèce, vous pouvez affecter tout un écosystème. Donc quand vous exterminez toute une espèce, vous allez affecter tout un écosystème. C'est un équilibre très délicat. Qui peut dire qui doit rester et qui doit partir ? Qui a cette connaissance ? Pourquoi n'en parlons-nous pas ? Eh, les gars, si nous pouvons le faire à un insecte, nous pouvons le faire à un animal, nous pouvons le faire à un humain. Je soulève ce point, car si ces agences, qui sont derrière le vaccin, soutiennent également ça, leur faites-vous confiance avec votre santé, leur faites-vous confiance avec votre famille, leur faites-vous confiance avec nos enfants ?

 Un autre point est que nous précipitons la production [du vaccin]. Quelle est la motivation derrière ça ? Il faut vraiment y réfléchir. J'ai aussi déclaré dans le passé que nous devons savoir, au moins aux États-Unis, qu'il a y des articles de loi qui ont été passés qui font que les fabricants de vaccins sont libres de toutes responsabilités, aucune responsabilité pour des dommages faits à un humain. Si des personnes sont tuées, blessées, paralysées, mutilés à vie, ça n'a pas d'importance. Vous n'avez aucun recours et eux se font encore tous leurs profits. Donc, ils n'ont aucune incitation à rendre [le vaccin] sûr. Je veux aussi que vous sachiez qu'un des articles dans la loi sur la protection civile, qui dit qu'ils peuvent nous imposer un vaccin, [stipule qu'ils ne peuvent nous imposer un vaccin s'il y a un traitement viable pour la covid-19. Et je veux que vous sachiez que des docteurs à travers le monde sont censurés à propos d'options de traitement pour la covid-19 ou de prévention contre la covid-19. Parce que s'il y a un vrai traitement ou une vraie prévention, alors ils ne peuvent pas nous imposer ce vaccin. Je veux soulever ce point, car quelle peut être la motivation pour faire cela ? Est-ce vraiment pour notre bonne santé à tous ? En tant que docteur, je ne vois pas comment ceci est pour la bonne santé du monde entier. Je pense qu'il y a une autre motivation, un autre programme en cours. Plus j'examine la question, plus ça saute aux yeux. Donc, je vais vous laisser avec ça. Je voulais faire court et simple pour que vous puissiez le digérer et y penser. Voulez-vous vraiment passer à l'humain version 2.0 ? Je ne pense pas que ça soit la fantaisie que vous voyez dans les films. Il faut que nous nous rassemblions, et que nous unifiions nos voix parce que des personnes à des postes de pouvoirs qui s'occupent de notre santé n'agissent pas dans nos meilleurs intérêts. Mais ensemble, nous avons du pouvoir. Ensemble et unis, notre voix est forte. Donc, je vous encourage à faire preuve d'esprit critique, faites vos propres recherches, rejoignez des groupes dans votre État, allez à la législature de votre État, et dites leurs "Non". Non à ces expérimentations sur des humains, non à la violation de la vie privée, non à la censure. Nous sommes des âmes humaines souveraines et nous devons reprendre nos droits. Merci de m'avoir écouté. Et, vous savez, je dis toujours dans mes vidéos : avec le plus grand amour et la plus grande paix, je vous remercie…

vendredi 11 septembre 2020

Mesures sanitaires : malgré la vague de contestations, l’État s’entête...

Mercredi 9 septembre 2020

www.nexus.fr/actualite/analyse/mesures-letat-sentete/

 

Mesures sanitaires : malgré la vague de contestations, l’État s’entête

 Depuis l’annonce de nouvelles mesures par le gouvernement, une vague déferle, autre que celle de la contamination annoncée : les prises de parole et de position de tous horizons se multiplient pour dénoncer la politique liberticide et répressive à laquelle le gouvernement s’accroche bec et ongles.

 

Alarmisme officiel

Juste avant le dernier week-end d’août, qui a vu en France la première manifestation anti-masque, Emmanuel Macron s’exprimait devant l’Association de la presse présidentielle à Paris. Ce même jour (vendredi 28), la Direction Générale de la Santé publiait encore une alerte : « En France métropolitaine, la dynamique de progression de l’épidémie est exponentielle ». Formule incantatoire plus que constat épidémiologique, avec cette concentration de trois mots, dynamique-progression-exponentielle vouée à créer, dans les esprits, une seconde vague imaginaire. Cet alarmisme officiel n’a pas, on le sait, pour autre fondement, que le baromètre trompeur de la ritournelle des « cas confirmés supplémentaires de contamination en 24 heures ».

 

Une rentrée-martyre

La veille, jeudi 27 août, le Premier Ministre présentait un train de nouvelles mesures, en compagnie d’Olivier Véran pour la Santé, et de Jean-Michel Blanquer pour l’éducation puisqu’il s’agissait de préparer la rentrée scolaire, autant dire de mettre en place un protocole sanitaire aberrant et sadique imposé aux élèves (et aux parents). Évidemment, on ne pouvait pas s’attendre à autre chose qu’à un nouveau tour de vis (de vice ?), en cette fin d’été lourdement chargée de mesures sans cesse plus liberticides et d’applications toujours plus zélées de consignes absurdes par les mairies, les préfectures, les forces de l’ordre et les directions d’entreprise, toutes emportées dans une « hystérie sanitaire ».

 

Statistiques de la peur orchestrée

Toute honte ayant été bue depuis longtemps, le gouvernement continue de prétendre, à contre-courant de la réalité, que « nous sommes depuis quelques semaines dans une phase incontestable de recrudescence de l’épidémie », et à pourrir la vie de millions de gens, à l’image de celle, pour ne citer que ce seul exemple, des hôtesses de caisse des supermarchés, étouffées à longueur de service (de sévices ?), et persiste à infuser dans toutes les veines de la société le poison de la division comme rançon de son incurie. Et pour justifier de cette politique coercitive, une pitoyable entourloupe statistique qui n’abuse plus personne : « Nous comptions moins de 1000 nouveaux cas par jour à la fin du confinement. Nous sommes aujourd’hui à plus de 3000 nouveaux cas par jour. » Cette manipulation de chiffres, où l’on omet d’indexer le nombre des cas au nombre des tests, se voit dénoncée jusque par des médias comme Arte dans une très courte vidéo, suffisante pour démontrer qu’il y a mensonge d’État.

 

Le spectre du reconfinement

Justification éhontée, donc, d’une politique indéfendable, face à une population théoriquement avertie mais concrètement inerte, à qui l’on impose à bon compte la mascarade et devant qui l’on agite le spectre du reconfinement : le Premier Ministre, en effet, prévient les Français, comme autant de chenapans à qui l’on promettrait de leur taper de nouveau sur les doigts, que les plans pour la prochaine punition sont « prêts, même si, précise-t-il, l’objectif actuel est d’éviter par tous les moyens de prendre de telles mesures ». Traduisons : « On fait tout ce qu’on peut pour lutter contre le terrible Virus, pour sauver votre peau et sauver le pays, mais vous, citoyens infantiles et désimmunisés, tenez-vous à carreau et portez votre masque, sans quoi on va vous remettre au piquet, et tout le pays se retrouvera dans la panade, et ce sera de votre faute. » Ségolène Royal, après avoir tardé à embrayé dans une dénonciation tranchée de ce qu’elle qualifie maintenant de « tyrannie hygiéniste », insiste notamment sur ce point : » Il faut responsabiliser au lieu d’infantiliser ».

 

« Malheur à toi, pays dont le roi est un enfant » (Ecclésiaste 10 : 16)

En vérité, ce peuple qu’on voudrait infantiliser, n’a-t-il pas hérité pour président d’une sorte d’ « enfant-roi », celui-là même qui déclarait à son adversaire, lors du débat d’entre les deux tours : « Je veux être Président de la République », comme un enfant qui dit : « Je veux être pilote de course » ou pire encore : « Je veux mon jouet » ? Le lendemain de la semonce de son Premier ministre, il intervenait à son tour, distillant comme à son habitude quelques tortueuses volutes de fumée sémantique. Évoquant le confinement comme « la mesure la plus fruste pour lutter contre un virus, la chose la plus simple qu’on a faite dès le Moyen-Âge » (mais nous ne sommes plus au Moyen-Âge !), il appelait les Français à être « collectivement très rigoureux », et il ajoutait : « Je n’aurais pas beaucoup appris si j’excluais le reconfinement total ». Mais qu’est-ce donc à dire ? Car ce que nous avons appris, nous, c’est que le confinement n’a pas été efficace ! Et que ses dommages collatéraux sont au moins aussi importants que ceux qu’il aurait permis d’éviter ! Ensuite, Castex ayant joué sur la corde : « Le virus progresse », Macron nous chante l’air du : « Nous devons apprendre à vivre avec le virus », ce qu’il avait déjà lancé dans un tweet trois jours plus tôt. Étrange fatalisme pour un soi-disant jupitérien-en marche, booster de progrès et sauveur d’économies étrangères… Mais faut-il s’en étonner de la part de celui qui, aux tous premiers jours de l’épidémie, la décrétait « inévitable », qui nous martelait six fois, en mars dernier : « Nous sommes en guerre », et qui évoquait, il y a peu, prophétique en diable, l’arrivée de « la bête de l’événement » ? « Nous devons vivre avec ce virus » : autrement dit, il faut que vous vous soumettiez à ce désordre des choses (la peur, la distanciation sociale, le bâillon, le martyre et le traumatisme de vos enfants…) et, sous-entendu, ne vous attendez pas à ce qu’on relâche la pression ! Enfin, en dispensant une injonction à « être vigilant à ce qu’il n’y ait pas une utilisation politique du rejet du masque »,  il entendait naturellement désamorcer par avance un soutien de la contestation populaire par le politique.

 

Une seconde vague épidémique fantôme

Faute de réelle « seconde vague » de l’épidémie de Covid, les autorités s’évertuent donc à en créer de toutes pièces dans l’opinion publique. Mais durant la semaine qui vient de s’écouler, c’est une autre vague qui a déferlé, celle de la dénonciation du mensonge et de l’opposition à une politique inepte, une déferlante de prises de parole, d’initiatives, de prises de position contre le masque et contre la politique liberticide et pseudo-sanitaire en général, sur tous les médias, y compris les médias mainstream, où l’on voit maintenant un Pascal Praud[1] vitupérer contre la «dictature sanitaire»…

Impossible d’être exhaustif, tant il y a d’exemples, mais citons-en quelques-uns.

 

Du côté du corps médical

Le professeur Perronne et le professeur Toussaint reviennent à la charge, avec des argumentaires toujours aussi clairs et percutants. Percutant aussi, l’appel lancé par le docteur Louis Fouché au nom du Collectif soignant pour une politique sanitaire Covid-19 juste, éclairée et proportionnée. Les objectifs de ce collectif, très voisins de ceux du collectif Belgium Beyond Covid, se résument en trois points : « Sortir nos décisionnaires et nos concitoyens de la peur. Infléchir la politique sanitaire locale et générale Covid vers des décisions plus éclairées, plus justes, plus proportionnées. Rouvrir l’espace du débat démocratique et scientifique sur la politique sanitaire COVID. »

Le docteur Yvon Le Flohic, lui, remet en cause la validité et l’opportunité d’un nouveau confinement : « Au rythme actuel avec nos tests RT-PCR, nous allons confiner des dizaines de milliers de gens pour rien », prévient-il.

Sur Médiapart, on a pu lire le témoignage très incisif d’un pneumologue, dans une lettre cependant anonyme que le site retirera rapidement. Ayant « travaillé en mars, avril et mai dans un service où l’on entreposait les “malades” covid », ce médecin affirme, explications à l’appui, que « la majorité d’entre eux n’étaient pas infectés par le virus ! ». S’agissant de la situation d’aujourd’hui : « Le gouvernement, écrit-il, multiplie les “dépistages” et trouve beaucoup de porteurs sains. C’est parfait et c’est tant mieux. Les porteurs sains sont utiles et nécessaires car c’est par eux que la protection de masse va se faire. Il est criminel et assassin d’empêcher cette protection de masse par le port du masque. »

Même son de cloche chez Pascal Sacré, médecin hospitalier anesthésiste-réanimateur spécialisé en soins intensifs. Dans un article sur le site du Centre de recherche sur la mondialisation, il tempête, à propos des masques : « Obliger tout le monde à les porter tout le temps, alors que l’épidémie disparaît, est une aberration scientifique et médicale ! » Il rejette l’idée que les masques seraient « LA protection face à la transmission du virus du COVID-19 » et qu’il vaudrait mieux « porter un masque (n’importe lequel) que rien ». Une « idée reçue », dit-il, « largement partagée par la population traumatisée des pays ayant confiné totalement leur peuple ». Lui aussi, comme tant d’autres désormais, déplore que « les autorités confondent recrudescence de tests RT-PCR positifs et recrudescence d’infections par le COVID-19 ».

Relayé par l’anthropologue Jean-Dominique Michel sur son site, Christian Zürcher, médecin et président de l’Association Santé Suisse, dénonce, comme beaucoup d’autres, des « statistiques falsifiées », un port du masque « manifestement malsain » et une deuxième vague « mise en scène par les médias et les autorités. »

 

Une semaine décisive également au plan juridique

En Alsace, le tribunal administratif de Strasbourg a demandé à la préfète du Bas-Rhin Josiane Chevalier de revoir son arrêté imposant, depuis le 30 août, une obligation totale de port du masque à l’extérieur dans les communes de plus de 10.000 habitants du département. Deux professionnels de santé strasbourgeois, Vincent Feireisen (psychologue hospitalier) et Christian Chartier (médecin), sont à l’origine de ce recours. Ne se disant « pas du tout anti-masque », ils dénoncent cependant « le caractère disproportionné » de l’arrêté : « On met en place des contraintes, ce n’est pas de la prévention, mais une forme de contrôle social qui viole ostensiblement la vie privée car disproportionnée et inadéquate à ce qui est visé : la protection de la santé. » La préfecture ne fera pas appel de la décision du tribunal.

Même chose dans la région Rhône-Alpes : le préfet du Rhône a été sommé de revoir l’arrêté qui rend obligatoire le port du masque dans les rues de Lyon et Villeurbanne, suite à un recours déposé par le collectif Victimes Coronavirus France au tribunal administratif, arguant notamment « des intempestifs changements d’attitudes et d’opinions du gouvernement sur le port du masque ».

Fabrice Di Vizio, l’avocat qui mène cette initiative, annonce qu’il va attaquer tous les arrêtés obligeant les citoyens à porter le masque en extérieur. Il a lancé un appel sur Tweeter pour « avoir une idée la plus précise possible des villes les plus stupides en termes de masques à l’extérieur, avec si possible les références des arrêtés pour être certain de ne pas en oublier ». Rappelons que Di Vizio est aussi l’avocat du collectif qui a porté plainte contre Edouard Philippe et Agnès Buzyn dès le mois de mars.

Sur le site de France 3-Auvergne-Rhone-Alpes, en conclusion de son article rendant compte de cette initiative, notre confrère Daniel Pajonk écrit, très significativement, et à l’unisson de la voix que porte également Nexus : « Le mouvement se développe sur tous les fronts. »

Sur tous les fronts, à une exception près, celui de la population elle-même, où le « suivisme » est presque absolument unanime. Il reste donc à convertir dans les actes et les faits l’exigence de justice et de vérité qui se fait jour tous azimuts sur les plateaux de la télévision et les sites internet.

jeudi 10 septembre 2020

Comment sommes-nous arrivés à ce stade de non-sens dans la gestion de l’épidémie du covid-19 ?

 

Comment sommes-nous arrivés à ce stade de non-sens dans la gestion de l’épidémie du covid-19 ?

 La question qui revient souvent est : comment sommes-nous arrivés à ce stade de non-sens dans la gestion de l’épidémie du covid-19 ?

Derrière cette affaire, il n’y a pas de complots, aucune intention de nuire ou plan afin d’obtenir une vaccination obligatoire. Cet événement découle d’un fait fort connu en sciences humaines : l’engrenage des actions lorsqu’une décision simple est prise dans une affaire complexe.

L’événement débute en décembre 2019 en Chine où apparaît une nouvelle maladie nommée covid-19 qui résulte d’un virus étiqueté SRAS-COV2. Comme l’Organisation Mondiale de la Santé le fait pour n’importe quelle maladie, elle effectue des rapports. Ce qui apparaît fin 2019 comme une simple épidémie d’un virus bénin (selon l’OMS) devient en mars 2020 : l’événement de l’année !

Comment en sommes-nous arrivés là ? Sous l’impulsion de deux phénomènes, le premier est la pression d’activistes qui alarment l’opinion publique sur la maladie dans une matraquage de nouvelles inquiétantes et le deuxième est le relais systématique par les médias de cet événement. Au début, le gouvernement ne prend pas au sérieux la maladie, c’est normal, ces deux dernières décennies il y a eu l’apparition de nouvelles épidémies qui n’ont pas exigé l’attention des autorités. Habituellement, ce sont les médecins qui sont compétents en la matière et gèrent la situation épidémique.

Cependant, dans un contexte politique difficile et avec une crise économique qui se profile à l’horizon, les gouvernements tiennent là l’occasion de montrer leur capacité à maîtriser la situation. Or, ce qui paraît dans un premier abord être un problème facile à régler s’avère beaucoup plus complexe.

En effet, une décision simple ne peut pas résoudre une situation complexe, car les affaires humaines sont toujours complexes. Elles le sont parce que chaque être humain demeure unique, même si le gouvernement préfère voir les citoyens comme une masse. Ainsi, chaque décision simpliste prise par le gouvernement devient ce que nous appelons un effet domino. La première décision entraîne toute une série d’autres décisions, réactions en chaîne, qui finissent par créer la confusion et l’incohérence.

Je vais donner un exemple pour être plus clair. Je vais prendre celui du port du masque. Le conseil scientifique recommande le port du masque (qu’il avait déconseillé au mois de mars). Le gouvernement trouve cette recommandation simple et efficace à appliquer. Or, cette recommandation est simple à appliquer en théorie sous les beaux discours du conseil scientifique, mais en pratique, c’est bien plus compliqué. Alors, arrive au gouvernement une série de questions concernant le port du masque : peut-on l’enlever pour fumer, pour manger du pop-corn, faut-il le mettre pour le jogging, etc. Et cela n’en finit jamais. Pourquoi ? Parce que la vie réelle est bien plus complexe que celle étudiée par les scientifiques (par exemple, ils simplifient les équations pour rendre les calculs plus efficaces). Aucune simulation informatique ne peut appréhender la complexité de l’ensemble des existences humaines.

Revenons à la décision simple prise par le gouvernement. Lorsque les autorités s’aperçoivent de l’avalanche des questions qui complexifient la situation au lieu de solutionner le problème, que se passe-t-il alors ? À ce moment-là, il faut trouver des boucs émissaires ; là encore la solution la plus simple est choisie : c’est la faute aux citoyens qui mettent de la mauvaise volonté, etc.

À partir de là, apparaît le deuxième cycle de l’engrenage, après celui des actions simplistes. Les solutions, qui paraissaient si simples, complexifient le problème ; les gouvernements mettent alors en place le premier degré de répression : la coercition. L’objectif est de faire plier les citoyens récalcitrants afin d’obtenir le résultat promis par les solutions simplistes. Or, comme aucune solution simpliste ne peut résoudre une situation complexe, la coercition est un échec qui entraîne un nouveau cran dans la répression : l’engrenage commence.

Comment sortir d’un engrenage circulaire ? C’est très simple ; n’importe où, n’importe quand. Il suffit que les autorités le décident. Y a-t-il une solution simple à un problème complexe ? Non. Il y a que des solutions multiples.

Jusqu’à présent, lorsque apparaissait une nouvelle épidémie, c’était les médecins qui la géraient. Jusqu’à l’épidémie du covid-19, qui a été prise en main par les gouvernements, les médecins ont toujours été efficaces. Leur gestion s’est toujours effectuée localement, au cas par cas, avec des quarantaines ciblées.

Quel doit être le rôle de l’État lors d’une épidémie ? Sa tâche consiste à pourvoir les médecins des ressources nécessaires pour endiguer l’épidémie.

Souvenons-nous…

 Souvenons-nous…

«Il ny a pas besoin dun masque quand on respecte la distance de protection vis-à-vis des autres.» Sibeth Ndiaye porte-parole du gouvernement, le 25 mars 2020

«Il faut sortir de ce fantasme autour des masques. Respecter une distance de plus d’un mètre, c’est beaucoup plus efficace qu’un masque. Et, surtout, on a des cas de contamination de gens qui portent des masques et le tripotent toute la journée.» Agnès Pannier-Runacher, ministre, le 19 mars 2020

«Il ny a pas de preuve que le port du masque dans la population apporterait un bénéfice. Ce serait même plutôt le contraire, à cause dune mauvaise utilisation.» Édouard Philippe, Premier ministre, le 1er avril 2020

« Le port du masque, en population générale dans la rue, ça ne sert à rien. » Édouard Philippe, Premier ministre, le 13 mars 2020

mardi 8 septembre 2020

Nouveau livre « Chronique d'un Confinement - Covid 19 »...

Bonjour,

Le livre de Patrick Vuargnoz-Dumont et Gerard Nazunov, intitulé « Chronique d'un Confinement - Covid 19 », écrit à quatre mains, sorti au mois d'août, est maintenant disponible à la vente sur les différents sites d'Amazon.

Cette missive est une invitation à acheter leur livre, au format broché ou e-book. Voici les liens directs pour la France :


Ce témoignage offre de mieux connaître les auteurs au travers de leurs réflexions, de leurs impressions et de leurs commentaires.

Merci…

George Orwell...

 « En ces temps d'imposture universelle,  dire la vérité est un acte révolutionnaire »



lundi 7 septembre 2020

L’immunité physique et psychique...

 



L’immunité physique et psychique

Il est temps d’agir et de reprendre le pouvoir sur son corps et sur son psychisme, sur sa vie. Il est temps de refuser d’être ballotté comme une feuille morte au gré de ce que les médias inoculent à chaque instant dans les cerveaux depuis six mois. Il est temps de quitter le mode « victime automatique »…

La santé psychique de chacun, les comportements, le niveau de lucidité sur les événements ont des répercussions sur la société entière, sur le monde entier interconnecté. Les décisions que nous tolérons ont une incidence sur l’avenir de l’humanité. Chacun détient un pouvoir pour contrer l'autorité subie. Les décideurs de tous bords ont placé la population mondiale en état de soumission profonde par la peur de la mort et maintenant par celle de la contamination. L’autre est devenu un pestiféré…

Outre le facteur alimentaire, l’immunité psychique dépend de vos comportements face à l’existence. Aujourd’hui, après des mois de pollution mentale et de contamination émotionnelle par les médias, par les écrans des télévisions, il existe chez nombre de personnes un état irrationnel psychique très perturbé qui fatigue l’organisme et le cerveau, paralysé par la peur essentiellement. Chez nombre de personnes, le cerveau n’est plus en mesure d’exercer sa capacité à réfléchir. Il ne se défend plus. Il perd tout esprit critique, il gobe tout et transforme ces personnes en victimes consentantes qui ne réagissent plus que sur le plan émotionnel. La faculté de réfléchir par soi-même et de faire appel à son esprit critique, la capacité de se forger par soi-même un avis justifié sont altérées au plus haut point.

Les médias, les gouvernements, les experts, les laboratoires pharmaceutiques, ravivent « la peur du loup » de l’enfance en manipulant la raison. Les uns plongent les citoyens dans la peur et l’incertitude, avec un grand risque de dépression, les autres développent chez les citoyens la colère, le rejet, la rébellion, la délation... Il est grand temps de reprendre ses esprits, d’effectuer une prise de conscience intérieure, calme, justifiée et sans émotion, de s’informer avec des sources écrites, pour redresser la barre du navire de l’Humanité…