vendredi 19 juin 2020


« Si une patte de lapin porte bonheur, 
qu'a-t-il bien pu arriver au lapin ? » 
Jean-Loup Chiflet 

Mercredi 17 juin 2020 - Confinement jour 95 

Voici le quatre-vingt-quinzième jour de ce processus de confinement et nous sommes bien vivants dans cette situation de crise où le fiasco des mesures liberticides du confinement se révélera sous la plume des historiens. 

Le ciel estival écrase la matinée. Les vagues s’étirent sur le sable où les premiers baigneurs s’installent pour un moment de détente. Le vent est en berne. Les hirondelles ont effectué leur petite farandole avant de se reposer. 

Cette crise a mis en lumière un fait indéniable : l’homme a perdu toute clarté sur sa condition. Les gens ont-ils oublié la chose la plus puissante et la seule nécessaire pour notre existence : l’amour. Il n’y a aucune dignité à choisir la violence. Il est souvent mis en avant que seul l’État a le monopole de la violence. Qu’est-ce que cela veut dire un état violent ? L’État aurait-il le droit de violenter ses propres citoyens ? C’est un non-sens, la société doit être un lieu paisible où tous nous devons vivre « libre » et selon notre propre chemin. Chacun d’entre nous doit pouvoir vivre dans la dignité. 

Lors de cette crise, j’ai pu constater les manquements des pouvoirs publics, l’atteinte à la dignité des personnes est flagrante. Est-ce respecter la personne humaine que de la parquer dans sa résidence comme un animal dans un zoo ? Est-ce respecter les personnes âgées que de les empêcher de voir leurs proches ? Est-ce respecter les gens que de les obliger à porter des masques comme des malfaiteurs ? Jamais la suspension ou la suppression des libertés n’est digne ; l’une et l’autre révèlent uniquement l’échec des pouvoirs publics. Elles dévoilent leur incapacité à dialoguer sereinement avec les populations, leur incompétence et leur inaptitude à expliquer aux gens comment se protéger. Au lieu d’avoir une attitude de confiance envers les citoyens, les gouvernements ont préféré jouer la carte de la coercition et de la répression. 

Une société qui ne fait plus confiance en sa population n’est plus une société. Je l’ai déjà écrit et je le répète. Une société se construit dans la confiance mutuelle, dans la réciprocité qui lie réellement les gens entre eux. Dans notre société, les relations des gens sont régies par la loi. Chaque lien doit être sanctionné par le droit. Le mariage doit être légal ! Nos liens avec nos enfants sont déterminés par la loi ; et nos droits parentaux peuvent être remis en question à n’importe quel moment par l’État. La loi dirige toute notre existence dans notre société. Elle ressemble de plus en plus à une tyrannie. Il suffit de voir la panoplie de lois que les gouvernements ont déployée pour mettre en œuvre l’état d’urgence sanitaire. 

_________ 


La contagion, ce mythe à abattre 

On va tous mûrir ! Aperçu sur un réseau social au début de la mascarade Covid-19, ce joli slogan m’a d’emblée paru pertinent : non seulement les Terriens n’allaient pas massivement mourir de cette pseudo pandémie, mais les quelque 7,7 milliards de survivants allaient jouir d’une chance inouïe, celle d’échapper à une médecine obscurantiste qui voit la maladie comme une malédiction et nous impose sa biophobie délirante depuis plus d’un siècle. Enfin, nous allions pouvoir en finir avec cette mystification scientifique consistant à croire que les microbes nous font la guerre et envahissent nos corps pour les détruire. Espérance naïve ? Optimisme béat ? Cinq mois après le déclenchement de la « crise sanitaire », je continue de penser qu’elle sera salutaire et qu’elle permettra à l’humanité de réaliser à quel point elle s’est fourvoyée en adhérant à la « théorie du germe » chère à Louis Pasteur et à ses disciples. Certes, le dogme du microbe contagieux semble plus solide que jamais. À l’heure où une « deuxième vague » semble se dessiner à Pékin, la croyance que les virus exogènes se transmettent d’humain à humain pour leur nuire semble quasiment indestructible. Ce credo est tellement implanté dans les cerveaux qu’on ne voit pas très bien comment l’en déloger. Le mythe pasteurien a des allures de montagne de granit impossible à dynamiter. C’est pourtant une illusion car ce récit a été construit par les Hommes il y a à peine plus de cent ans. Ce n’est pas une montagne immuable mais un simple mur fait de bric et de broc, et déjà considérablement lézardé. Dans une de ses vidéos récentes, Jean-Jacques Crèvecœur explique qu’il suffit que 5%, ou même 3% de la population commence à penser autrement pour ébranler une société et faire basculer l’opinion publique vers un nouveau paradigme. La mythologie et les contes de fées fourmillent de légendes montrant qu’un David peut terrasser Goliath ou qu’un petit poucet peut vaincre l’ogre. Chez les Romains, on savait que « la roche tarpéienne est proche du capitole », autrement dit que le sommet de la gloire précède souvent de peu la chute. Il y a trente ans, le mur de Berlin s’est déconstruit en quelques nuits lorsque quelques individus ont commencé à le piocher et que les foules ont suivi. Bref, la démolition du pasteurisme n’est pas un rêve inaccessible et il suffit de se mettre au boulot. Ce n’est pas parce que la durée du chantier est inconnue qu’il faut renoncer à l’entamer ! 


Quelques outils existants 

Chez Néosanté, ça fait déjà longtemps qu’on a entrepris d’attaquer les fondations et d’agrandir les fissures. Pour ce faire, nous avons notamment diffusé et promotionné l’excellent livre du Dr Eric Ancelet « En finir avec Pasteur ». Dans ses tout premiers numéros, en 2011, la revue a d’ailleurs publié plusieurs articles de son auteur, une série intitulée « Vaccination : science ou croyance ? ». Il y a quelques années, à l’occasion de la quatrième édition de son ouvrage, Éric Ancelet a enregistré une conférence qui est en ligne sur Youtube et que vous pouvez écouter en cliquant ici*. Soyez aux aguets sur la toile car notre ami et ancien collaborateur Jean-Jacques Crèvecœur va également diffuser très prochainement une interview qu’il a réalisée d’Éric Ancelet. Ce vétérinaire-homéopathe très cultivé vaut vraiment la peine d’être écouté en ce moment ! Dans notre mensuel, nous avons aussi publié plusieurs textes du Dr Alain Scohy, ce médecin rebelle qui œuvre inlassablement à faire connaître les travaux d’Antoine Béchamp, médecin et chimiste qui s’opposa à l’époque aux conclusions de Pasteur et qui perdit malheureusement la bataille des idées, non sans avoir été pillé par son rival. Cette toute autre vision de la vie, des bactéries et des virus, a été présentée dans les numéros 44 et 52 de Néosanté. À travers sa rubrique « Sentiers de santé », qu’il a tenue de 2011 à 2016, Jean-Jacques Crèvecœur a lui aussi entrepris, à plus d’une reprise, de faire vaciller le mur des fausses certitudes pasteuriennes. Et pour ma part, je lui ai donné de multiples coups de marteau via de nombreuses infolettres et éditoriaux. Depuis janvier, je me suis attaché à montrer que cette doctrine monolithique dévoilait à présent, grâce au virus couronné et à sa protéine en forme d’épée, ses failles béantes et ses incohérences évidentes. Maintenant, il est l’heure de passer à la vitesse supérieure ! 


Opération déconstruction 

Pour accélérer la prise de conscience que la théorie de Pasteur est une monumentale erreur, nous allons d’abord, comme je vous l’ai annoncé, monter un dossier scientifique « alternatif ». En francophonie, il n’y a plus guère de chercheurs et de praticiens qui osent remettre en cause la médecine dominante. Dans le monde anglo-saxon, en revanche, il y a de plus en plus de voix qui s’élèvent pour contester « The Infectious Myth » et qui commencent à trouver une audience. Je suis occupé à les (faire) traduire, à rassembler de la documentation et à confier les premières tâches rédactionnelles à mon équipe de journalistes. D’ici fin 2020, nous allons notamment publier une enquête sur la « théorie des exosomes », une vision assez décoiffante du microcosme viral et de son rôle d’épurateur corporel. Certains scientifiques américains vont jusqu’à dire que les virus sont en réalité des excrétions de toxines accumulées ! Dans l’immédiat, j’ai le plaisir de partager aujourd’hui un texte rédigé par Catherine Courson, fidèle abonnée et « compagne de route » de Néosanté depuis ses débuts. Intitulé « Appel aux humains dépossédés d’eux-mêmes », ce texte invite à revisiter « nos mythologies pasteuriennes » et à se mobiliser, chacun à son niveau et avec ses compétences, pour faire reculer cette idéologie mortifère et pour lui substituer une « médecine coopérative » respectueuse des lois de la vie. Vous pouvez découvrir cet appel en cliquant ici** et vous pouvez le télécharger au format PDF. N’hésitez pas à diffuser le lien un maximum ou à envoyer ce document à toutes vos connaissances, c’est un élément important du plan de démolition ! Pour augmenter sa diffusion, nous l’avons traduit en anglais et vous pouvez trouver ici*** cette version plus internationale. Envoyez-la aux quatre coins du globe ! Mais il y a encore plus important pour faire avancer le chantier : votre vécu et vos témoignages relatifs à l’inexistence de la contagion infectieuse ! Votre expérience et vos connaissances empiriques valent en effet toutes les études scientifiques du monde car elles n’ont pas besoin de démonstration. Elles parlent d’elles-mêmes et elles expriment tellement de bon sens qu’elles sont, à mon avis, de nature à convaincre plus efficacement que les longs discours savants. 


Vos témoignages en partage 

Suite à mon billet du 27 mai, vous avez été nombreux à m’envoyer des récits attestant que la transmission de prétendus assaillants microbiens au sein de l’espèce humaine est une fable risible et dénuée de fondement. Les faits infligent de constants démentis à cette vision totalement fausse de la santé et de la maladie ! Histoire d’influer – pourquoi pas ? - sur le cours de l’Histoire, j’ai donc sélectionné quelques-unes de vos histoires que j’ai « copié-collé » ci-dessous. Une douzaine parmi la centaine reçue. Celles qui revenaient le plus souvent et qui m’ont semblé les plus éloquentes. Émanant de médecins ou d’infirmières, mais aussi de parents et de quidams confrontés à des porteurs de pathologies prétendument contagieuses, ces récits sont autant de brèches potentielles dans « le mur de Berlin » du paradigme pasteurien. Lisez-les, savourez-les, et faites en profiter tous vos contacts : ils ne risquent rien, sauf commencer à s’éveiller à la vraie logique du vivant. Et si vous avez encore des expériences de vie à partager, n’hésitez pas à me les envoyer à l’adresse info@neosante.eu. La semaine prochaine, je publierai une deuxième douzaine d’entre elles. Je profiterai probablement de l’été pour en publier la plus grande partie, sinon la totalité. Les petits ruisseaux finissent par former de grandes rivières auxquelles peu de digues résistent. Avec votre aide, notre futur pilonnage informatif finira bien par faire s’effondrer ce mythe séculaire stupide. Le microbe n’est véritablement RIEN, le terrain est véritablement TOUT. La contagion, ça n’existe pas ! 

Yves Rasir 



« À titre personnel, en complément de ma lettre à L'Ordre des médecins, je peux ajouter ceci à propos de mon histoire personnelle : Mon grand-père était médecin, mon oncle médecin et ma mère pharmacienne. Mon père travaillait à l’hôpital de Besançon et j'allais faire mes devoirs dans son bureau. Étudiant en médecine, j'ai fait un stage de quatre mois dans un établissement qui accueillait les patients tuberculeux. Interne, j'ai fait un stage de six mois dans un service de pneumologie qui accueillait également des patients tuberculeux. Depuis mes plus jeunes années dans la pharmacie de ma mère, et plus tard à l’hôpital ou en cabinet privé, j'ai été exposé sans la moindre protection ni précaution, ni "geste barrière" et sans jamais contracter une maladie transmise par un patient, ni personne d'autre de notre grande famille, puis de mes enfants. » 
Dr Jean-Michel Crabbé 



« Fin décembre I968, j'étais infirmière libérale dans la Loire. Durant plus d'un mois cet hiver-là, il y eut une épidémie de grippe classique nécessitant un séjour de quelques jours au lit... et je me souviens avoir pratiqué des antibiotiques en intramusculaire quotidiennement pendant cinq jours à plus de quarante patients par jour ; et s'il y avait contagion dans les familles elle était banale, et plutôt bien vécue ! Bien sûr, je me désinfectai les mains avec l'alcool avant et après chaque soin normalement, mais pas de peur, ni de "bavette", ni de distance "sociale", (!!!) mais plutôt un vrai et grand sourire échangé fraternellement, et parfois même, plus rarement une bise... Je me souviens m'être interrogée, à cette période-là, sur le fait que le plus important n'était peut-être pas seulement dans la seringue !... Mais il y a 50 ans, le soin n'était pas un objet de "consommation" ni présenté avec le discours de propagande ; au contraire l'"humain" passait avant tout le reste !... Je n'ai jamais contracté cette grippe ni les médecins locaux à qui je m'en étonnais... » 
Madeleine B. 



« Lors de l'épidémie de H1N1 de 2009-2010, j'exerçais le métier de conducteur de bus urbain à Nice. J'étais en contact journalier avec plusieurs centaines de personnes, contacts proches (50 cm environ de visage à visage) lors de l'achat des tickets, échange de paiement par pièces de monnaie et billets, demandes de renseignements. Je n'ai jamais attrapé cette fameuse grippe, et à ma connaissance, sur à peu près 700 chauffeurs de la société, personne ne l'a attrapée. Je dois ajouter que pendant les dix ans où j'ai effectué ce métier dans cette ville, j'ai côtoyé des centaines de milliers de personnes, et je suis toujours en excellente santé et à la retraite maintenant. » 
Pascal L. 



« Voici mon expérience : je suis médecin généraliste en France installée en libéral depuis 32 ans. Je ne me suis jamais fait vacciner contre la grippe ni jamais pris de précautions particulières, même ces dernières années (masques, gants, gel hydroalcoolique, désinfection...) et je n'ai jamais eu la grippe ni moi ni mes proches ni d'ailleurs aucune gastro-entérite ni autre maladie dite contagieuse en dehors des rhumes. Mon expérience conforte tout à fait vos dires. Par ailleurs je ne crois pas avoir vu un seul patient ni une seule personne utiliser un masque de façon correcte (c'est-à-dire mis de façon efficace et ne pas le toucher...). Lors des épidémies de grippe, j'ai rarement vu tous les membres d'une même famille touchés par la maladie : comme quoi le virus n'est rien et le terrain est tout. Merci pour votre approche et votre revue (à laquelle je suis abonnée depuis 2013) qui sont un soutien pour moi au quotidien dans ma pratique centrée sur l'Homme dans sa totalité, c'est-à-dire avec son vécu psycho-émotionnel et pas seulement des symptômes. » 
Agnès B. 



« Infirmière à la retraite, diplômée en 1978 (pour situer), je n'ai reçu aucun vaccin, je n'étais pas convaincue de leur utilité mais déjà convaincue de leur toxicité ! - je me suis "débrouillée " - très discrètement bien sûr... J'ai travaillé avec des tuberculeux, sans protection particulière, sans peur ; élève, j'ai vidé, nettoyé les crachoirs, sans gants bien sûr ; ils n'étaient pas à usage unique à cette époque ! Plus tard, j'ai soigné des malades du SIDA, avant les trithérapies, sans protection particulière non plus. Je n'ai JAMAIS attrapé de maladie contagieuse. » 
Anne-marie F. 



« Ce dont je peux témoigner, c'est que j'ai exercé la profession de déléguée à l'information médicale des années 2000 à 2015 avec un secteur géographique majoritairement rural. Dans ce cadre, j'ai eu, à de multiples reprises, en période hivernale, l'occasion de passer de longs moments en salle d'attente close, avec une dizaine de personnes dont plusieurs consultaient pour bronchite, état grippal... et je me souviens être sortie une fois parce que ça avait été particulièrement pesant, en me disant : "si je n'attrape rien, j'aurais de la chance". Au final, je ne sais ce qui était à l'œuvre, toujours est-il que sans jamais avoir été vaccinée, je n'ai jamais attrapé la grippe et même les rhumes ont été rarissimes. Ce qui est sûr ,c'est que je ne vivais pas quotidiennement dans la peur, qu'il n'y avait pas de masque, pas de mesures d'hygiène drastiques ni même parfois un simple lavage de mains entre le serrage de main du patient qui sort et celui qui rentre, sachant que la plupart du temps c'était de la même porte qu'il s'agissait et que les patients se suivaient les uns après les autres. » 
Édith C. 



« Un petit témoignage suite à votre appel : quand j'étais en CM2, en 1978/79, j'ai porté les devoirs pendant plusieurs semaines à une camarade qui avait une hépatite (jaunisse) A ou C je ne sais plus, qui était dite contagieuse. J'ai aussi porté les devoirs à une camarade qui avait une mononucléose. Dans les deux cas, nous avons joué ensemble tous les soirs, et je n'ai rien eu par la suite. J'ai aussi joué une journée avec des enfants qui avaient les oreillons sans rien avoir ensuite. À l'époque nous n'avions pas peur de ces maladies et ne prenions pas de précautions particulières. Il y a quelques années, mon fils a eu les oreillons et je n'ai rien eu non plus. » 
Françoise J. 



« Infirmière en salle d’op, j’ai dû aller aux soins intensifs pendant le confinement pour aider les équipes. Compliqué de se retrouver dans un service qu’on ne connaît pas et d’être efficace!! De tous les malades que nous avons eu et perdu, bien malheureusement, aucun membre de leur famille ne s’est retrouvé à l’hôpital, malade de ce covid, et personne dans le personnel n’est tombé malade. Ill est vrai qu’on a opté pour des procédures difficiles à supporter pour nous, mais comment se fait-il que les membres des familles de ces patients ne sont pas malades ? Une seule solution : ce n’est pas contagieux… » 
Martine D. 



« Dans les années 60, j’avais attrapé une pneumonie et bien sûr, on restait chez soi avec les soins du médecin traitant. Une amie d’école venait me voir et assise sur mon lit elle me demandait de souffler sur elle (elle n’avait pas envie d’aller à l’école, comme ça peut arriver…) et bien sûr je le faisais. On avait 14 ans, je crois. Mais elle n’a jamais été contaminée !!! Elle continuait donc à me donner les nouvelles des profs, etc. En tout j’ai dû rester six semaines chez moi. Si j’ai bonne mémoire, j’avais comme thérapie un sirop blanc (avec de la pénicilline) et des tisanes. » 
Ariane Z. 



« Mon mari souffre d’une maladie depuis son enfance qui lui donne entre autres une immunodépression. Il est donc malheureusement coutumier des infections ORL, bronchites et pneumonies. Au rythme d’au moins une à deux grosses bronchites / pneumonies par an. J’ai pour ma part une santé de fer, je n’ai jamais eu peur de ses microbes et ai toujours été très proche de lui pour le soutenir dans ces moments difficiles. Embrassades, bisous et autres câlins sont toujours au rendez-vous ! Je n’ai jamais porté de masque, de gants, désinfecté quoi que ce soit et je n’ai jamais, jamais été contaminée. » 
Garance B. 



« Une amie est sortie cinq ans avec un séropositif qui a tout fait pour lui refiler le HIV sans qu’elle le sache. Un détraqué. Ils se sont quittés depuis. Elle va bien. Et lui est toujours là depuis 25 ans. Il va bien aussi. » 
Sylvie L. 



« Je travaille dans un foyer de vie pour adultes handicapés (70 résidents et +/- 40 professionnels). Fin février, nous avons eu quelques malades qui présentaient divers symptômes. Courant mars, quelques résidents ont déclaré les symptômes décrits concernant le covid, d'où suspicion. N'étant pas un foyer médicalisé pour adultes ni Ephad, pas de test concernant les résidents et pas de protection (blouses, masques...) pour les salariés. Me concernant, je n'ai jamais eu la moindre crainte et surtout la certitude de ne rien attraper. Mon corps (que j'écoute et ce depuis longtemps) est très réfractaire à l'allopathie. J'ai comme habitude d’utiliser des huiles essentielles, ainsi que du zinc et de l'argent colloïdal. Aujourd'hui 3 juin, je suis en pleine forme et pourtant depuis fin février et jusqu'à ce jour, beaucoup de résidents ont été malades, avec pour certains des hospitalisations. Je me refuse à porter un masque et à utiliser le gel hydro et ce pour diverses raisons. Je suis au contact de ces résidents depuis déjà plusieurs années avec tout ce que cela implique de maladies et, oh bonheur, je n'ai jamais rien eu. » 
Michelle. L 



* www.youtube.com/watch?v=nSpbQwRnx6k&t=1781s 
** www.neosante.eu/livre-pdf/AppelOK.pdf 
*** www.neosante.eu/livre-pdf/CallOK.pdf 
www.neosante.eu/neosante-hebdo-2020/ 

_________ 


La théorie dite du « 100ème singe » 

Ken Keyes Jr est l’auteur de « The Hundredth Monkey » [Le centième singe], une histoire vraie étonnante !... 

Des observations furent effectuées sur des macaques japonais, les Macca fuscata, des singes au long poil argenté et au visage rose qui figurent sur de nombreuses photos prises entre 1952 et 1965. 

En 1952, sur l’île de Koshima, un groupe de scientifiques japonais, qui voulait étudier ces macaques, décida de tenter de les attirer sur la plage en dehors de la forêt avec des patates douces qu’ils épandirent quotidiennement sur le sable. Les singes adorèrent cette denrée, toutefois leur comportement démontra qu’ils les trouvaient désagréables à manger avec la peau recouverte de sable mouillé. Une femelle, qu’ils avaient baptisé « Imo, trouva un jour la solution à ce problème : elle trempa sa patate dans l’eau pour la débarrasser du sable et, satisfaite du résultat, se mit à laver systématiquement toutes ses patates avant de les consommer. 

Au début, elle était la seule à pratiquer ce rituel, mais les scientifiques notèrent que les premiers à suivre son exemple furent les jeunes. Ensuite ce fut au tour des autres femelles. Les plus réticents furent les vieux mâles qui observaient ce comportement en faisant des grimaces interprétées comme réprobatrices. 

Les mois et les années passant, de plus en plus de singes trempèrent les patates douces dans l’eau avant de les consommer. Les scientifiques japonais remarquèrent qu’un seuil critique fut atteint le jour où tous les singes de l’île se mirent à laver leurs patates avant de les manger. Le fait de laver chaque pomme de terre était devenu un comportement normal. L’un des scientifiques décida d’appeler cela « La théorie du 100ème singe » sans toutefois savoir exactement à partir de quel nombre de singes la pratique devint commune. Un basculement s’était opéré à partir d’un certain nombre de singes. D’une pratique individuelle, cela était devenu une pratique communautaire. 

Le plus étonnant, comme par une sorte de contagion énigmatique, les scientifiques constatèrent que les colonies de macaques des îles avoisinantes adoptèrent le même comportement au même moment alors qu’il était rigoureusement impossible que de singes aient pu traverser à la nage la distance qui les séparait de l’île-pilote. Quasi simultanément, la pratique de laver les pommes de terre se transmit de façon simultanée, et inexpliquée, aux colonies de primates habitant sur tout le continent. À partir d’un seuil critique de singes, défini symboliquement par le nombre « cent », une prise de conscience s’était étendue et propagée à l’ensemble de l’espèce, en dépit de la distance géographique. 

Un chercheur américain, Lyall Watson, émit alors l’hypothèse que lorsqu’un nombre suffisant d’individus change de façon de considérer une idée nouvelle, cette dernière se répand très vite, comme une traînée de poudre, comme une onde dans l’air, au point de toucher tous les individus sans la moindre transmission tangible. 

En 1984, Ken Keyes publia son livre sur le sujet où il effectua un parallèle entre le comportement des macaques japonais et celui des sociétés humaines. Il émit l’hypothèse que, lorsque l’addition de l’énergie mentale des individus atteint un certain seuil, une sorte d’explosion se produit qui provoque un changement de conscience généralisé. 

Plus prosaïquement, cela veut dire qu’un changement apporté dans la vie d’un être humain peut être reproduit par un autre et, à un moment donné, par tous les êtres humains quand un certain nombre de personnes l’apporte également dans leur vie. Cela démontre la responsabilité individuelle, le pouvoir de chacun et l'importance de nos actes dont la portée, multipliée par un nombre X de personnes (symboliquement la centième personne), peut changer en profondeur les mentalités, les habitudes et les comportements à grande échelle dans le monde. 

Alors, comme disait Gandhi, soyons le changement que nous voulons voir dans le monde !...

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

andrioucha.blogspot.fr@gmail.com